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Col de Clémencières

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Col de Clémencières (Isère)
Col de Clémencières (Isère)

Le col de Clémencières est un col de montagne des Alpes françaises situé dans le département de l'Isère, au nord de Grenoble. Il permet, avec le col de vence, l'accès au massif de la Chartreuse par le sud.

Extrait de l'article de Wikipedia Col de Clémencières (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Col de Clémencières
Chemin de la Croix de Chorre, Grenoble

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.23415 ° E 5.72564 °
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Adresse

Chemin de la Croix de Chorre

Chemin de la Croix de Chorre
38950 Grenoble
Auvergne-Rhône-Alpes, France
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Col de Clémencières (Isère)
Col de Clémencières (Isère)
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Lieux à proximité

Néron (Isère)
Néron (Isère)

Le Néron est un sommet du département français de l'Isère culminant à 1 299 mètres d'altitude dans le massif de la Chartreuse, dans les Alpes. Parfois appelé Casque du Néron au XIXe siècle en raison de sa forme, son nom signifierait littéralement « le noir » et n'a de rapport ni avec l'empereur romain ni avec l'existence d'un poste antique à vocation de vigie et de refuge dans sa partie méridionale. La montagne a la forme d'une coque de bateau renversée avec une arête principale orientée du nord au sud très prononcée et se compose essentiellement de calcaire urgonien. Son exposition lui vaut de posséder notamment une flore méditerranéenne, bien que celle-ci ait été fragilisée par l'incendie de l'été 2003 qui a ravagé toute sa partie supérieure. La montagne fait d'ailleurs partie du parc naturel régional de Chartreuse. L'extrémité méridionale du Néron est occupée par une grotte appelée balme de l'Hermitage. Le site, occupé dès le Néolithique, accueille à partir du Moyen Âge une luxueuse villa, transformée en château, qui passe tour à tour aux mains de riches familles et d'ordres religieux. À cette époque, les forêts sur les versants de la montagne sont intensivement exploitées pour alimenter les forges en charbon de bois et sont largement remplacées par des vignobles. Ainsi, au XIXe siècle, les premiers explorateurs scientifiques et militaires utilisent en partie les sentiers escarpés tracés par les bûcherons. Le Néron apparaît dans les Guides Joanne mais les victimes se multiplient rapidement et il acquiert une mauvaise réputation. La première traversée intégrale du nord au sud est réalisée en 1884 afin d'évaluer la possibilité d'établir des batteries militaires au sommet de la montagne. Finalement, la construction d'une route est lancée en 1891 pour mener à l'emplacement des batteries, qui sont achevées deux ans plus tard au nord de la montagne, en amont des gorges de la Vence. Dans le même temps, l'exploration du Néron mène à la découverte de l'ancien chemin romain en encorbellement et des vestiges de l'antique passerelle de dix mètres de longueur, dans les escarpements sud-est. Par la suite, des séries de fouilles archéologiques dirigées par Hippolyte Müller permettent la mise au jour de la citerne de l'ancienne vigie et de nombreux artéfacts. De nouveaux accidents conduisent à la création du comité dauphinois de secours en montagne, au balisage des sentiers, à la pose de câbles et, en 1911, à l'inauguration d'une nouvelle passerelle. Le chemin romain devient la voie principale du Néron en remplacement des couloirs instables de la face orientale et des sentiers escarpés du versant occidental. L'auberge Boujard, au hameau de l'Hermitage, est florissante dans la première moitié du XXe siècle. Toutefois, le château de la Balme est incendié en 1932 et définitivement abandonné. Après la Seconde Guerre mondiale, à l'exception de l'ouverture de quelques voies d'escalade autour des années 1970 et des chroniques suscitées par une œuvre représentant Lucky Luke sur une des cimes dominant l'agglomération de Grenoble, le Néron perd une grande partie de son attrait ; des arrêtés municipaux en interdisent régulièrement l'accès en raison des chutes de pierres et de l'abandon d'une grande partie des sentiers.

La Tronche
La Tronche

La Tronche est une commune française, limitrophe de Grenoble, située dans le département de l'Isère et la région Auvergne-Rhône-Alpes. Dénommée « paroisse de Saint-Ferjus » jusqu'en 1790, la commune de La Tronche est située dans la proche périphérie de Grenoble, au nord-est de cette ville et de son agglomération. Au cours du XXe siècle, sous l'impulsion de la forte croissance urbaine de Grenoble, des hôpitaux, civil et militaire, furent installés le long de la route nationale 90, puis le CHU Grenoble-Alpes, ainsi que plusieurs centres de recherche dans le domaine de la biologie cellulaire et moléculaire. Le quartier des Sablons situé au sud de la commune est resté longtemps agricole (hortillonnage). Il accueille le nouveau cimetière de Grenoble dénommé « des Grands-Sablons », le polygone du Génie, qui fut une servitude militaire, et l'usine d'incinération Athanor gérée par Grenoble-Alpes Métropole. L'urbanisation de la commune s'est poursuivie à un rythme soutenu depuis les années 1950 pour atteindre 6 470 habitants au 1er janvier 2021 avec une densité de 1 007,79 hab/km2. La plupart des grandes propriétés ont été morcelées, et des immeubles collectifs ont vu le jour dans les quartiers Doyen-Gosse ou de La Carronnerie. Depuis le début des années 2000, les noyaux villageois des quartiers de la Petite Tronche et de la Grande Tronche, constitués de maisons de ville anciennes et vétustes, font l'objet d'une opération de réhabilitation. Les habitants de La Tronche sont dénommées les Tronchois et les Tronchoises.

La Casamaures
La Casamaures

La Casamaures est une villa située en France à Saint-Martin-le-Vinoux, commune du département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie du paysage culturel de la métropole de Grenoble, sur le coteau du mont Jalla. Cette villa a été construite au troisième quart du XIXe siècle en style néo-mauresque, inspirée des décors ottomans, par le Grenoblois Joseph Jullien dit Cochard qui se ruina pour elle. En changeant de propriétaires maintes fois — 13 fois —, elle décline et tombe dans l'abandon. En 1981, la maison avec une partie du jardin d'origine est achetée par l'artiste Christiane Guichard qui, depuis, gère les campagnes de restauration en la renommant La Casa Maures / Cas'amore. Après avoir été inscrite à l'inventaire en 1985, la Casamaures est classée aux monuments historiques en 1986, et en 1992 pour l'ensemble de la parcelle. Elle représente le premier monument historique en « or gris » construit en France. À ses côtés, dernier témoin de l'ancien parc exotique, un magnolia vieux de 160 ans a reçu le label « Arbre remarquable de France » en 2007. La Casamaures est le siège de trois associations : Casamaures d'hier et d'aujourd'hui, créée en 1985, organise des visites guidées du monument, des événements culturels et des expositions ; l'Atelier Tournesol, créée en 1986, spécialisée dans la gnomonique, la sauvegarde et la création de cadrans solaires ; et Le tilleul de Sully, créée en 2001. L'architecture est ancrée sur le rocher de Chartreuse, entre la ligne E du tramway et la N481 longeant l'Isère, et en haut, la rue de la Résistance (D104). L'entrée visiteurs est située en bas, côté jardins de l'orangerie, au 58, Allée de La Casamaures.