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Gampaloup

Extrait de l'article de Wikipedia Gampaloup (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Gampaloup
Route forestière Barthélémy, Autrans-Méaudre en Vercors

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.15074 ° E 5.56433 °
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Adresse

Gouffre de Gampaloup

Route forestière Barthélémy
38112 Autrans-Méaudre en Vercors
Auvergne-Rhône-Alpes, France
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Lans-en-Vercors
Lans-en-Vercors

Lans-en-Vercors /lɑ̃s ɑ̃ vɛʁkɔʀ/, nommée Lans /lɑ̃s/ avant 1947, est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ce bourg de moyenne montagne est le passage obligé du Vercors septentrional à Grenoble. Il fait de cette situation un privilège. Elle lui permet de s'approprier chaque progrès du val de Lans, dont fait également partie Villard-de-Lans. Il est inclus parmi les quatre paroisses des montagnes de Sassenage. Sa population, de 2 652 habitants en 2022, globalement jeune, est en pleine croissance. Elle connaît un taux de chômage deux fois et demie moindre que la moyenne nationale. Natifs comme nouveaux venus descendent pour la plupart travailler à Grenoble. La commune souhaite concilier son activité agricole et d'élevage, qui préserve son cadre de vie, ainsi que le tourisme avec le développement d'activités durant les intersaisons. Initialement, cette commune isolée dépend des seigneurs de Sassenage qui s'installent parfois sur une motte castrale dont il ne reste qu'une ruine. Lors de la Révolution, cette terre de tradition rurale s'avère peu républicaine et perd son statut de centre administratif. Au début du XIXe siècle, le premier réseau routier qui désenclave le massif du Vercors passe par Lans ce qui permet à l'économie agricole et forestière de s'ouvrir vers l'extérieur et la venue de touristes. Dans le même temps, le chef-lieu communal se développe autour des axes de communication aux dépens du Peuil qui devient un simple hameau. Au XXe siècle, Lans-en-Vercors se transforme en petite station climatique qui s'attache ensuite à développer les sports d'hiver. Lans-en-Vercors est une des entrées du parc naturel régional du Vercors, aux paysages et à la biodiversité remarquables. L'architecture de son habitat est caractérisée par des maisons aux pignons à redents qui entourent l'église Saint-Barthélemy dont une partie, datant du XVIIe siècle, est classée au patrimoine.

Engins
Engins

Engins est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes, autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné. Ce modeste de bourg de moyenne montagne est le passage obligé depuis Grenoble, par Sassenage vers le Vercors septentrional, secteur également connu sous le vocable des « Quatre-Montagnes ». C'est la zone du massif la plus développée économiquement et démographiquement. Le village est bien desservi par une route qui le relie à la vallée de l'Isère et aux grandes métropoles de la région dont l'agglomération grenobloise très proche, et l'agglomération lyonnaise dont l'accès à l'autoroute est situé à moins de 10 kilomètres du bourg. Historiquement, la paroisse d'Engins dépendait des seigneurs de Sassenage dont le château, transformé en musée, est situé en contrebas des falaises d'Engins à l'entrée de la commune voisine de Sassenage. La commune est également une des entrées du parc naturel régional du Vercors. Au cours du XIXe siècle, la première route carrossable qui a permis de désenclaver le massif du Vercors, passe par le territoire d' Engins (hameau des Jaux), permettant ainsi à l'économie agricole et forestière de s'ouvrir vers l'extérieur. La commune, qui héberge sur son territoire le réseau du gouffre Berger, bien connu dans le milieu spéléologique, est incorporée dans le canton de Fontaine-Vercors créé en 2014. Elle est également adhérente à la communauté de communes du massif du Vercors et ses habitants se dénomment les Enginois.

Saint-Nizier-du-Moucherotte
Saint-Nizier-du-Moucherotte

Saint-Nizier-du-Moucherotte est une commune française située géographiquement dans le massif du Vercors, administrativement dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes et autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné. La commune est située dans une zone de moyenne montagne en bordure du massif du Vercors septentrional et isérois. Elle a adhéré, le 1er janvier 2001, date de sa création, à la Communauté de communes du massif du Vercors dont le siège est situé à Villard-de-Lans et appartient au canton de Fontaine-Vercors. Ce secteur du massif est également connu sous l'appellation des « Quatre-Montagnes ». Celui-ci est également la zone du massif la plus développée économiquement et démographiquement. Saint-Nizier-du-Moucherotte est desservie par une route utilisée par une ligne régulière d'autocars qui la relie à la vallée de l'Isère et aux grandes métropoles de la région Grenoble, dont l'agglomération est très proche. Sa population qui a dépassé le millier d'habitants en 2008 continue une croissance régulière du fait de sa proximité avec la métropole grenobloise, le cadre montagneux et encore très rural ayant attiré de nombreux actifs qui se rendent quotidiennement dans la vallée. Le territoire de Saint-Nizier-du-Moucherotte est une des principales entrées routières du Parc naturel régional du Vercors et sa traversée depuis son côté oriental, en provenance de la vallée de l'Isère, permet de découvrir un des plus beaux sites de ce parc avec le Moucherotte et les rochers des Trois Pucelles qui dominent directement le bourg central, sa mairie et son église. La mairie est située à 1 165 mètres d'altitude et les habitants de la commune sont les Saint-Nizard(e)s.

Le Moucherotte
Le Moucherotte

Le Moucherotte est un sommet du département français de l'Isère s'élevant à 1 901 mètres d'altitude dans le massif du Vercors, dans les Alpes. Situé à l'extrémité nord-est du massif, il se termine par les rochers des Trois Pucelles, sur sa crête septentrionale, et domine l'agglomération de Grenoble. Il est composé de calcaires, notamment de l'Urgonien dans sa partie supérieure. L'histoire de la montagne est marquée par la présence, de la fin des années 1950 au milieu des années 1970, d'un hôtel de luxe accessible par une télécabine depuis Saint-Nizier-du-Moucherotte et apprécié de nombreuses célébrités. Il donne accès à une piste de ski redescendant du sommet. En 1968, l'épreuve de saut à ski des Jeux olympiques de Grenoble se tient au grand tremplin de Saint-Nizier, au pied des Trois Pucelles. Toutefois, l'isolement de l'établissement par mauvais temps et son manque de rentabilité entraînent sa fermeture puis l'arrêt de la télécabine. Le tremplin tombe en délabrement à partir des années 1990. La silhouette de l'hôtel se détache au sommet jusqu'en 2001, date de sa destruction. Un radar hydrométéorologique s'y dresse depuis 2014. Le sommet est accessible en randonnée pédestre depuis Saint-Nizier-du-Moucherotte, soit en longeant la crête septentrionale, soit par le versant oriental, ou depuis Lans-en-Vercors par le sud. L'abri du Moucherotte et le habert des Ramées permettent de trouver un refuge pour la nuit. Si l'escalade se pratique sur la paroi nord-est du Moucherotte qui compte deux voies, cette discipline sportive s'est surtout développée aux Trois Pucelles à partir des années 1920, avec une trentaine de voies répertoriées ; des résistants s'y sont même réfugiés en juin 1944. La grotte Vallier, sur le versant oriental, permet la pratique de la spéléologie. La montagne fait partie du parc naturel régional du Vercors et d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Le chamois et le mouflon y sont notamment présents.