place

Geest-Gérompont-Petit-Rosière

Article géolocalisé en BelgiqueArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxArticle à illustrer Subdivision administrativeCommune avant fusion dans la province du Brabant wallon
Page avec des cartesRamillies (Belgique)

Geest-Gérompont-Petit-Rosière [ʒeʒeʁɔ̃pɔ̃pətiʁozjɛːʁ] (en wallon Djé-Djerompont-Pitit-Rozire) est une section de la commune de Ramillies en Région wallonne dans la province du Brabant wallon. Geest-Gérompont-Petit-Rosière était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1970. Du 17 juillet 1970 elle fut fusionnée avec Bomal et Mont-Saint-André pour former la commune de Gérompont. Cette commune est à nouveau dissoute au 1er janvier 1977 et rejoint Ramillies. La section Geest-Gérompont-Petit-Rosière se compose de Geest-Gérompont et de Petit-Rosière. Le village est cité par Julos Beaucarne parmi tous les lieux où l'on parle le français dans le monde, dans son hymne à la Francophonie qui commence par les mots On parle le français à Québec, à Rebecq...

Extrait de l'article de Wikipedia Geest-Gérompont-Petit-Rosière (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Geest-Gérompont-Petit-Rosière
Chaussée de Namur,

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Geest-Gérompont-Petit-RosièreContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.633 ° E 4.867 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Chaussée de Namur 75A
1367 (Grand-Rosière-Hottomont)
Brabant wallon, Belgique
mapOuvrir sur Google Maps

Partager l'expérience

Lieux à proximité

Bataille de Ramillies
Bataille de Ramillies

La bataille de Ramillies, livrée le 23 mai 1706 près de Ramillies en Belgique actuelle, est l'un des engagements majeurs de la guerre de Succession d'Espagne. Elle est un succès retentissant pour la coalition alliée, constituée par la république des Provinces-Unies, le Royaume d'Angleterre et leurs « auxiliaires » danois sur l'armée franco-bavaroise. Elle fait suite à une année de campagnes indécises en 1705 (bataille d'Eliksem) au cours de laquelle l'excès de confiance de la coalition et les hésitations bataves après le succès de Blenheim aboutissent à une campagne infructueuse le long de la Moselle qui contraint le duc de Marlborough à renoncer à son plan de campagne en France. Cependant, en dépit de l'incapacité des Alliés d'emporter un succès décisif, Louis XIV souhaite ardemment la paix, mais il la veut toutefois à des conditions raisonnables. Dès lors, plutôt que de rester sur la défensive, les armées françaises passent à l'attaque sur tous les fronts. L'année 1706 débute bien pour les généraux de Louis XIV qui remportent quelques succès préliminaires en Italie et en Alsace où le maréchal de Villars contraint le margrave de Bade à la retraite au-delà du Rhin. Louis pousse maintenant le maréchal de Villeroy à presser Marlborough et à forcer les Alliés à livrer bataille dans les Pays-Bas espagnols. Pour répondre aux vœux du roi, Villeroy sort de Louvain à la tête de 60 000 hommes pour marcher de manière ostentatoire vers Zoutleeuw. Marlborough, tout aussi déterminé à chercher la bataille décisive, rassemble ses forces — quelque 62 000 hommes — près de Maastricht, avant d'avancer en direction de la Mehaigne et de la plaine de Ramillies où les Français, dans l'attente du choc, se sont déjà rangés en bataille. En moins de quatre heures, l'armée de Villeroy est totalement défaite. Les manœuvres subtiles et les changements de tempo de Malborough pendant la bataille — mouvements dont les commandants français et bavarois ne prennent conscience que trop tard — prennent totalement ses adversaires en défaut. L'armée franco-bavaroise cède et se débande, perdant plus de 20 000 hommes. Après le succès du prince Eugène survenu par la suite lors de la bataille de Turin en Italie du Nord, les Alliés imposent à Louis XIV les plus importantes pertes en territoires et en moyens du conflit. De nombreuses villes et places tombent une par une aux mains des troupes de Marlborough et, à l'issue de la campagne, l'armée française et ses alliées ont été chassées des Pays-Bas espagnols — faisant de l'année 1706 l'« annus mirabilis » des Coalisés.