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Polissoir de la Tour du Lay

Article géolocalisé en FranceArticle utilisant une InfoboxMonument historique classé en 1976Monument historique dans le Val-d'OisePage avec des cartes
Polissoir monument historique en FranceSite mégalithique dans le Val-d'Oise
Polissoir de la Tour du Lay
Polissoir de la Tour du Lay

Le polissoir de la Tour du Lay, appelé aussi polissoir du Bois-Brûlé, est un polissoir situé à Nesles-la-Vallée, dans la forêt départementale de la Tour du Lay, dans le département du Val-d'Oise.

Extrait de l'article de Wikipedia Polissoir de la Tour du Lay (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Polissoir de la Tour du Lay
Seale Lane,

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N 49.1486 ° E 2.1922 °
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Seale Lane
GU10 1PR , Seale and Sands
England, United Kingdom
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Polissoir de la Tour du Lay
Polissoir de la Tour du Lay
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Lieux à proximité

Église Saint-Denis de Jouy-le-Comte
Église Saint-Denis de Jouy-le-Comte

L’église Saint-Denis de Jouy-le-Comte est une église catholique paroissiale située à Parmain, dans le Val-d'Oise (France). Elle remonte à la première moitié du XIIe siècle, mais seul le mur nord de la nef subsiste peut-être de la première église. Peu avant le milieu du siècle, commence la reconstruction des parties orientales de l'église primitive, qui s'échelonne sur une cinquantaine d'années. On débute par le croisillon sud, puis ajoute une chapelle orientée. Ces deux travées sont encore romanes et voûtées en berceau. Les autres travées affichent déjà le premier style gothique. Le chantier continue par l'abside, puis se poursuit par la travée droite du chœur et la croisée du transept, pour finir par le croisillon nord et la chapelle orientée du nord. Ces parties sont voûtées d'ogives, et offrent un intérêt esthétique et archéologique certain. À la Renaissance, en 1561, la construction d'un bas-côté au sud de la nef modifie profondément l'apparence de l'église, et porte les caractéristiques des réalisations de Nicolas Le Mercier. Mais les travaux ne sont pas achevés, et les grandes arcades vers la nef ne sont bâties qu'au milieu du siècle suivant. Le chantier s'arrête là, et le voûtement n'est finalement jamais réalisé. L'inaboutissement se ressent toujours à l'intérieur de la nef et du bas-côté. En 1889, l'église du Sacré-Cœur à Parmain est inaugurée, et au début de l'année 1893, Jouy-le-Comte adopte le nom de Parmain : Désormais, la commune dispose de deux églises catholiques, et l'église Saint-Denis se retrouve en marge du nouveau centre. Le chœur du XIIe siècle et le clocher du XIIIe siècle sont classés monuments historiques le 3 septembre 1912, et le reste de l'édifice est inscrit à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du 20 février 1945. Aujourd'hui, l'église Saint-Denis demeure un lieu de culte vivant, et accueille généralement deux messes dominicales anticipées par mois.

Église Saint-Symphorien de Nesles-la-Vallée
Église Saint-Symphorien de Nesles-la-Vallée

L'église Saint-Symphorien est une église catholique paroissiale située à Nesles-la-Vallée, en France. C'est l'une des églises rurales de la seconde moitié du XIIe siècle fortement influencées par les premières cathédrales gothiques. D'une rare homogénéité, elle a été édifiée pendant une unique et courte campagne de construction entre 1185 et 1200 environ. Seul le clocher roman est plus ancien ; bâti vers 1130 / 1140 alors qu'existait encore la précédente église, il a été remarqué par Eugène Viollet-le-Duc pour ses proportions harmonieuses et son ornementation adroite. La nef présente à l'intérieur une élévation à trois étages avec un triforium véritable, et les voûtes sexpartites permettent un abondant éclairage. Normalement des voûtes sur croisées d'ogives simples (quadripartites) suffisent dans les petites églises, et l'application de ce type de voûtement plus complexe dans l'église Saint-Symphorien a suscité des questionnements. Mais les documents qui auraient permis de retracer l'histoire de la paroisse et de l'église sont perdus, et tout ce que l'on peut dire est qu'elle témoigne de la prospérité du village au milieu du XIIe siècle et de la foi de ses habitants, qui ont eux-mêmes pris l'initiative d'édifier une nouvelle église. Le chœur est la dernière partie construite et son élévation ne comporte plus que deux niveaux. Dans sa simplicité, il offre une composition équilibrée. Des chapelles le flanquent au nord et au sud, mais il n'y a pas de transept. Hormis le clocher richement décoré, l'extérieur de l'église est moins intéressant que l'intérieur, mais le portail occidental malheureusement mutilé est souvent cité en exemple pour la pureté de son style. L'église Saint-Symphorien a traversé les époques sans subir des dommages de guerre notables. Son intérêt est reconnu assez tôt par Viollet-le-Duc et ses élèves, et elle est classée monument historique par liste de 1862. Mais son mauvais état retarde le début de la restauration, et l'État se désengage en 1879 en la faisant déclasser, sauf le clocher. La restauration débute malgré tout quelque temps après. Dirigée par un architecte local, elle est critiquée pour son approche trop radicale et l'absence de respect pour l'authenticité de l'édifice. Le clocher et les deux travées occidentales sont restaurées d'une façon plus heureuse, et l'église a pu être classée de nouveau en 1910. Elle est aujourd'hui au centre d'une grande paroisse qui couvre la partie orientale du plateau du Vexin français.

Église Saint-Georges de Ronquerolles
Église Saint-Georges de Ronquerolles

L’église Saint-Georges est une église catholique paroissiale située à Ronquerolles, dans le Val-d'Oise, en France. C'est un édifice rustique agrandi et remanié à plusieurs reprises, qui ne contient aucune voûte, aucun chapiteau. Il se compose d'une nef, accompagnée d'un unique bas-côté au sud, avec lequel il communique par trois arcades toutes différentes ; d'un clocher situé à la fin du bas-côté, au sud du chœur ; et d'un long chœur avec une abside à pans coupés. Les étroites fenêtres romanes dans les murs latéraux de la nef justifient sa datation de la fin du XIe siècle. La base du clocher est un peu plus récente, et se rattache à la fin de la période romane ou au tout début de la période gothique, autour du milieu du XIIe siècle, par ses contreforts plats. Les parties hautes de la façade et les fenêtres latérales de la nef n'ont été ajoutées qu'en 1257. Le portail date encore d'une époque différente. Il est de style gothique flamboyant, et constitue le seul élément de l'église qui a bénéficié d'un décor sculpté. Les autres parties de l'église, le chœur, le bas-côté et l'étage de beffroi du clocher, sont difficilement datables par leur manque de caractère. La charpente du chœur terminée en cul-de-four est néanmoins remarquable. Mais le portail et le porche seuls ont été classés aux monuments historiques par arrêté du 10 février 1913. Au début des années 1970, l'église a été soumise à une restauration totale assez radicale. Elle se présente aujourd'hui dans un excellent état, et accueille des messes dominicales le troisième dimanche du mois, à 9 h 30. Elle est affiliée au regroupement paroissial de Persan.