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Site archéologique du dolmen de Villaine

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NécropolePage avec des cartesSite archéologique en Indre-et-LoireSite mégalithique en Indre-et-Loire
Site archéologique du dolmen de Villaine à Sublaines Louis Bousrez 1894
Site archéologique du dolmen de Villaine à Sublaines Louis Bousrez 1894

Le site du dolmen de Villaine est un site archéologique localisé dans la commune de Sublaines, dans le département d'Indre-et-Loire. Le site de Villaine a été utilisé à partir du « Néolithique récent 2 » (entre 3 350 et 3 000 ans av. J.-C.), puis de l'âge du bronze et enfin durant l'époque mérovingienne. Le site archéologique, à caractère funéraire, comporte notamment un dolmen et une nécropole. Le mégalithe a été retrouvé à la fin du XIXe siècle, tandis que la nécropole, fondé à l'époque mérovingienne, a été découverte, puis fouillée, entre 1964 et 1966.

Extrait de l'article de Wikipedia Site archéologique du dolmen de Villaine (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Site archéologique du dolmen de Villaine
D 31, Loches

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Coordonnées géographiques (GPS)

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N 47.28 ° E 0.99375 °
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Adresse

Dolmen de Villaine

D 31
37310 Loches
Centre-Val de Loire, France
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Site archéologique du dolmen de Villaine à Sublaines Louis Bousrez 1894
Site archéologique du dolmen de Villaine à Sublaines Louis Bousrez 1894
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Sublaines
Sublaines

Sublaines (prononcé [syblɛn] ) est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire, dans la province historique de Touraine. Plusieurs sites du territoire communal font l'objet d'une occupation humaine ininterrompue depuis le Néolithique ; en témoignent les nombreux vestiges mis au jour, dolmen néolithique, bâtiments de l'âge du bronze, tumulus de l'âge du fer, voies antiques, nécropole mérovingienne, avant la première mention écrite de Sublaines, sous la forme Sublena, dans un diplôme du IXe siècle. La situation du territoire de Sublaines, presque intégralement inscrit dans la région fertile de la Champeigne tourangelle, prédisposait dès ses origines la commune à une vocation agricole qui ne s'est jamais démentie jusqu'au XXIe siècle. En 2014, le village ne compte que 200 habitants. S'il a commencé à se repeupler depuis le début des années 1980, ses nouveaux habitants ne travaillent pas tous sur place mais dans les bassins d'emploi d'Amboise ou de Loches. L'activité économique proposée sur la commune est des plus réduites même si, depuis 2012, une zone d'activités au nord de la commune est en cours d'aménagement à proximité d'une sortie de l'autoroute A85 ouverte en 2007 : en 2014, 23 emplois nouveaux s'y sont déjà créés. La préservation du patrimoine naturel communal est un facteur à prendre en compte dans chaque projet d'aménagement puisque la presque totalité du territoire sublainois est inscrit dans le périmètre d'un site du réseau Natura 2000 et que trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) intéressent le territoire communal.

Cigogné
Cigogné

Cigogné (prononcé [si.gɔ.ˈɲe]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire et dans la région historique de Touraine. Le plateau qui compose la presque totalité de son territoire communal est inscrit dans la petite région fertile de la Champeigne tourangelle ; ce n'est donc pas par hasard que dès l'âge du bronze, des peuplements, certainement agriculteurs, se sont installés sur ce plateau. L'évêque de Tours Théotolon est un personnage clé dans l'histoire de Cigogné : c'est lui qui fonde la paroisse vers le milieu du Xe siècle pour assurer des revenus fonciers à une abbaye de sa ville, qu'il voulait restaurer. C'est surtout au Moyen Âge que l'histoire de Cigogné est la plus documentée, le fief de Cigogné étant alors une possession des comtes d'Anjou au cœur d'une Touraine qu'ils disputent aux comtes de Blois. En 2014, Cigogné, avec ses 433 habitants, reste une commune rurale : l'agriculture, à forte dominante céréalière, garde une place non négligeable dans son économie, même si le nombre des exploitations a diminué. Le territoire de Cigogné ne représente pas un bassin d'emploi important et si la commune, après avoir connu l'exode rural comme beaucoup d'autres, se repeuple depuis le début des années 1980, c'est surtout pour accueillir de nouveaux habitants qui travaillent à l'extérieur, dans un rayon de 20 à 35 kilomètres mais qui contribuent au rajeunissement de la population. Cigogné arrive également à concilier la présence, sur son sol, d'un établissement classé Seveso avec l'existence d'un site du réseau Natura 2000 qui occupe la presque totalité de son territoire.