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Rue Las-Cases

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Voie de Paris se référant à un nom d'homme
P1110274 Paris VII rue Las Cases rwk
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La rue Las Cases est une voie située dans le quartier des Invalides du 7e arrondissement de Paris.

Extrait de l'article de Wikipedia Rue Las-Cases (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Rue Las-Cases
Rue Las Cases, Paris Faubourg Saint-Germain (Paris)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.8581807 ° E 2.3211064 °
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Adresse

Rue Las Cases 14
75007 Paris, Faubourg Saint-Germain (Paris)
Île-de-France, France
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Lieux à proximité

Pavillon de Chartres
Pavillon de Chartres

Le Pavillon de Chartres, dit aussi Pavillon de Bellechasse, est un bâtiment construit sur l'ordre de Louis Philippe d'Orléans (1747-1793), alors duc de Chartres, et de la duchesse, née Louise Marie Adélaïde de Bourbon, pour servir à l'éducation de leurs enfants et au logement de leur gouvernante, Madame de Genlis. Lorsque la duchesse de Chartres donna naissance à des jumelles, en août 1777, il fut convenu que, dès qu'elles quitteraient le berceau, Madame de Genlis s'installerait avec elles dans un couvent pour s'occuper de leur éducation. La duchesse de Chartres choisit le couvent des dames chanoinesses du Saint-Sépulcre, congrégation de sœurs augustines établie en 1635 au Faubourg Saint-Germain, rue Saint-Dominique, en face de la rue de Bellechasse. Par contrat conclu le 23 mars 1778, les religieuses cédaient au duc de Chartres un terrain situé à l'emplacement de l'actuel no 11 bis rue Saint-Dominique, pour y faire construire un pavillon à deux étages entouré d'un jardin. Le bâtiment devait servir à l'éducation des princesses d'Orléans et reviendrait en toute propriété au couvent, dans l'enceinte duquel il se situerait, une fois celle-ci terminée. Le duc n'avait pas de loyer à verser mais dédommagerait le couvent de la perte du logement situé sur le terrain, à hauteur de 400 livres par an. Le bâtiment fut construit en 1778 dans le style néo-classique par l'architecte Bernard Poyet. Portail de l’architecture et de l’urbanisme Portail de Paris

Petit hôtel de Villars
Petit hôtel de Villars

Le petit hôtel de Villars est un hôtel particulier parisien situé au 118, rue de Grenelle, et dont l'aile principale fut construite au XVIIIe siècle par l'architecte Robert de Cotte à la demande du duc et maréchal de France Claude Louis Hector de Villars. Cet édifice est en outre voisin de la mairie du 7e arrondissement de Paris, dont il fut à l'origine conçu comme le prolongement. Propriété privée de l'Association Sainte-Marie de Neuilly, qui gère plusieurs collèges et lycées à travers les sœurs de la communauté apostolique Saint-François-Xavier, l'édifice est loué à l'établissement scolaire privé Paul Claudel-d'Hulst, qui y a installé sa section collège. Il n'est donc pas ouvert au public, hormis occasions exceptionnelles. Il fait l’objet d’un classement – pour la décoration du grand Salon et de la salle de Compagnie – et d'une inscription – pour l'hôtel (sauf les ailes sur la cour) et le sol du jardin – au titre des monuments historiques depuis le 30 septembre 1954. Plusieurs confusions se sont établies entre l'hôtel et ses voisins du noble faubourg, la plus notable étant celle de la série du photographe Eugène Atget représentant le bâtiment et ses détails et légendée « Hôtel de Bourbon-Busset Rue de Grenelle 118 ». Ce nom désigne en réalité l'ancien hôtel de Bonnac (ou de Chabrillant), édifice détruit en 1828, avec le couvent adjacent des Carmélites, et alors situé immédiatement à l'ouest du petit hôtel de Villars, au 108 puis 126, rue de Grenelle.

Observatoire de la laïcité
Observatoire de la laïcité

L'Observatoire de la laïcité est une commission consultative française chargée de conseiller et d’assister le Gouvernement quant au respect et à la promotion du principe de laïcité, entre le 4 avril 2013 et le 5 juin 2021. Elle est composée de 23 membres, dont des parlementaires de la majorité et de l'opposition, des hauts fonctionnaires et des personnalités qualifiées. Administrativement rattaché au Premier ministre, l'Observatoire est cependant autonome dans ses travaux. Il est créé le 25 mars 2007 par le président de la République Jacques Chirac et le Premier ministre Dominique de Villepin et a été installé le 8 avril 2013 au palais de l’Élysée par le président de la République François Hollande et le Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Après la remise de son cinquième rapport annuel au président de la République Emmanuel Macron, sa mission est reconduite pour 5 ans par décret du Premier ministre Édouard Philippe du 12 octobre 2017. Outre son rôle de conseil via l'adoption d'avis officiels, consultatifs pour le Gouvernement et le Parlement, les membres de cette instance organisent, co-organisent et délivrent chaque semaine des formations à la laïcité et à la gestion des faits religieux partout en France et dans différents secteurs, notamment dans la fonction publique, l'éducation populaire, le médico-social, le socio-éducatif, les entreprises privées, l'éducation nationale et le sport. Ses avis sont parfois jugés trop laxistes par certains intervenants dans le débat public, notamment sur des sujets sensibles liés à la question de l'islam en France, quand d'autres[Qui ?] les estiment au contraire parfaitement « juridiques ». Cette opposition fait l'objet de vifs débats de la part d'intellectuels, de droite comme de gauche. La ministre déléguée chargée de la Citoyenneté Marlène Schiappa annonce la suppression de l'Observatoire de la laïcité le 31 mars 2021 devant le Sénat, le mandat de son président Jean-Louis Bianco prenant fin le 4 avril suivant. Finalement, le Premier ministre Jean Castex met un terme aux missions de l'Observatoire de la laïcité le 5 juin 2021 par le décret créant un « comité interministériel de la laïcité », dont le secrétariat est désormais assuré par le ministre de l'Intérieur. Le 9 juin, Jean-Louis Bianco et plusieurs personnalités, sociologues, historiens et juristes annoncent la création d'un « organisme indépendant » et citoyen dénommé « Vigie de la laïcité ».