place

Église Saint-Quentin de Brières-les-Scellés

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxMonument historique dans l'Essonne
Monument historique inscrit en 1926Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePage pointant vers des bases relatives à la religionÉglise dans l'EssonneÉglise dédiée à saint QuentinÉglise monument historique en Île-de-France
Brières les Scellés Saint Quentin 10
Brières les Scellés Saint Quentin 10

L'église Saint-Quentin de Brières-les-Scellés est une église paroissiale catholique, dédiée à saint Quentin, située dans la commune française de Brières-les-Scellés et le département de l'Essonne.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Quentin de Brières-les-Scellés (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Quentin de Brières-les-Scellés
Route de Villeconin, Étampes

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Numéro de téléphone Site web Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Église Saint-Quentin de Brières-les-ScellésContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.45743 ° E 2.13772 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Église Saint-Quentin

Route de Villeconin
91150 Étampes
Île-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Numéro de téléphone

call+33164944648

Site web
catholique-evry.cef.fr

linkVisitez le site web

linkWikiData (Q22924136)
linkOpenStreetMap (83023053)

Brières les Scellés Saint Quentin 10
Brières les Scellés Saint Quentin 10
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Collégiale Saint-Martin d'Étampes
Collégiale Saint-Martin d'Étampes

La collégiale Saint-Martin d'Étampes est une ancienne collégiale de confession catholique, dédiée à saint Martin de Tours, située dans la commune française d'Étampes et le département de l'Essonne. Saint-Martin abrite l'un des trois autels paroissiaux primitifs de la ville. Ses origines se perdent dans le temps, et certains auteurs prétendent que son fondateur serait Clovis lui-même. La collégiale est d'une importance considérable au XIe siècle, quand son chapitre ne compte pas moins de douze chanoines, un doyen et un chantre. En 1106, le roi Philippe 1er la donne à l'abbaye de Morigny. Dès lors, plus aucun chanoine n'est nommé. Des différends entre l'abbaye et le chapitre conduisent à l'expulsion des derniers chanoines en 1142. L'abbaye établit dès lors un prieuré près de l'église, et entreprend son remplacement par un édifice plus vaste. Les parties basses de son chevet, avec déambulatoire et trois chapelles rayonnantes très profondes, surprennent par un plan évoquant le XIe siècle, et sont encore plus romanes que gothiques, mais le voûtement d'ogives est présent dès le départ. Grâce à des contacts avec l'abbaye de Saint-Denis, l'innovation des arcs-boutants trouve l'une de ses premières applications au chevet de la collégiale Saint-Martin. Le chantier progresse rapidement. Les élévations du vaisseau central s'organisent sur trois niveaux, et s'inspirent de la cathédrale Saint-Étienne de Sens. Au-dessus des grandes arcades, des galeries sont ouvertes sur les combles. La collégiale devient l'un des édifices-clés de la première période gothique. Son achèvement se situe vers 1170, mais une travée supplémentaire est ajoutée après 1213. Enfin, un nouveau clocher est édifié au cours des années 1530 devant la façade. Un tassement de terrain provoque une inclinaison vers l'ouest avant qu'il ne soit terminé, ce qui vaut à l'église d'être parfois appelée la Pise du Nord. Au XVIIIe siècle, les voûtes des trois dernières travées de la nef s'effondrent et sont remplacées par de fausses voûtes en bois. Le prieuré n'est alors plus qu'un simple bénéfice et est supprimé définitivement en 1781. L'église devient exclusivement paroissiale. Elle est dans un état préoccupant au milieu du XIXe siècle, et la première travée notamment est en grande partie démontée, puis reconstruite entre 1872 et 1876. Les travaux de restauration ne sont pas menés en accord avec le service des Monuments historiques. L'ancienne collégiale est néanmoins classée aux monuments historiques par arrêté du 14 juin 1909. Les messes dominicales y sont actuellement célébrées chaque dimanche soir.