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Fondation Nicolas-Copernic pour l'astronomie polonaise

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La Fondation Nicolas-Copernic pour l'astronomie polonaise (en polonais : Fundacja Astronomii Polskiej im. Mikołaja Kopernika ; en anglais : Copernicus Foundation for Polish Astronomy) est une fondation scientifique polonaise dont le but est de soutenir l'astronomie polonaise en finançant la recherche, en finançant des bourses, en diffusant le savoir astronomique dans la société et en activant et stimulant la communauté astronomique. La Fondation Copernic a son siège à Varsovie, en Pologne. Son premier président a été l'astrophysicien Marcin Kubiak. La Fondation Copernic est l'éditeur d’Acta Astronomica, une revue scientifique à comité de lecture couvrant l'astronomie et l'astrophysique.

Extrait de l'article de Wikipedia Fondation Nicolas-Copernic pour l'astronomie polonaise (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Fondation Nicolas-Copernic pour l'astronomie polonaise
Aleje Ujazdowskie, Varsovie Śródmieście

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Latitude Longitude
N 52.21691667 ° E 21.02755556 °
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Adresse

Wydział Biologii UW, Wydział Fizyki UW

Aleje Ujazdowskie 4
00-478 Varsovie, Śródmieście
Voïvodie de Mazovie, Pologne
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Lieux à proximité

Mausolée de la Lutte et du Martyre
Mausolée de la Lutte et du Martyre

Le Mausolée de la Lutte et du Martyre (polonais : Mauzoleum Walki i Męczeństwa) est un musée à Varsovie, en Pologne. C'est une partie du Musée de l'Indépendance. Le musée présente les conditions dans lesquelles les patriotes polonais et les combattants de la résistance étaient emprisonnés par l'Allemagne nazie durant la Seconde Guerre mondiale. Le musée est situé sur l'Avenue Szucha, dans le bâtiment du Ministère des Croyances Religieuses et de l'Éducation Publique d'avant-guerre (aujourd'hui Ministère de l'Éducation Nationale). Au commencement de la Seconde Guerre mondiale, les Nazis s'emparèrent du bâtiment et le transformèrent en quartier général des forces de police de Sicherheitspolizei et de Sicherheitsdienst. La rue tout entière était interdite d'accès aux Polonais. Dans le sous-sol du bâtiment, les Nazis avaient installé des cellules grossières. Les prisonniers qui s'y trouvaient étaient en général des personnes qui venaient de se faire arrêter ou d'être transférées depuis la prison Pawiak. Les prisonniers étaient soumis à des interrogatoires brutaux, durant lesquels ils étaient torturés et gravement battus. Ce traitement n'excluait aucun prisonnier, même les femmes enceintes étaient battues et torturées. Les prisonniers gravaient souvent des phrases sur leur mauvais traitement sur les murs de la prison. Beaucoup de ces inscriptions avaient aussi un caractère personnel, patriotique ou religieux. Dans les années 1960 une recherche fut diligentée, et plus de 1000 textes récupérés. Le plus célèbre d'entre eux est le suivant : Beaucoup de prisonniers furent tués au cours de leurs interrogatoires ou bien mouraient des suites de leurs blessures. Pendant l'Insurrection de Varsovie, les Allemands ont perpétré des exécutions de masse sur des milliers de Polonais dans les zones environnantes. Leurs cadavres furent brûlés plus tard dans les bâtiments voisins. L'étendue de ces tueries est énorme, la quantité de cendres humaines retrouvée dans les sous-sols après la guerre pesait 5 578,5 kg. Après la guerre, les habitants de Varsovie ont considéré cet endroit comme un cimetière, y apportant souvent des fleurs et des bougies. En juillet 1946, le gouvernement polonais a décidé de désigner ce site comme un endroit de martyre, un testament dédié à la souffrance et à l'héroïsme des Polonais. On décida de laisser les cellules intactes et de les changer en musée. Celui-ci a été ouvert le 18 avril 1952. Les couloirs, quatre cellules de groupes et dix cellules individuelles ont été préservées dans leur état originel. D'après les descriptions des témoignages de prisonniers, une pièce d'un officier de la Gestapo a été reproduite. Les plusieurs tonnes de cendres humaines ont été déplacées dans le Cimetière des Insurgés de Varsovie. Les visiteurs doivent être âgés d'au moins 14 ans.

Tribunal constitutionnel (Pologne)
Tribunal constitutionnel (Pologne)

En Pologne, le Tribunal constitutionnel est un organe constitutionnel créé en 1982 et dont les compétences sont actuellement régies par la Constitution de 1997 et les lois organiques du 1er août 1997 et du 30 août 2015 relatives au Tribunal constitutionnel. D'après l'article 188 de la Constitution, « le Tribunal constitutionnel statue sur : la conformité à la Constitution des lois et des traités, la conformité des lois aux traités ratifiés dont la ratification exige l'autorisation préalable d'une loi, la conformité des actes réglementaires émanant des autorités centrales de l’État à la Constitution, aux traités ratifiés et aux lois, la conformité à la Constitution des objectifs ou de l'activité des partis politiques, toute saisine portée devant ce Tribunal, en application au premier alinéa de l'article 79 de la Constitution. »Les 15 membres du tribunal constitutionnel sont élus individuellement par la Diète pour un mandat unique non renouvelable de neuf ans parmi les personnes ayant une expérience et d'excellentes connaissances juridiques. Son président (Julia Przyłębska depuis 2016) est désigné par le président de la République qui le choisit sur la base d'une proposition de deux noms faite par les membres du Tribunal. Après les élections générales de 2015, plusieurs décisions du président de la République et de la nouvelle présidente du Conseil des ministres sur le renouvellement et le fonctionnement du tribunal suscitent dans tout le pays des manifestations des adversaires du parti au pouvoir rassemblant les différents partis du centre et de la gauche et des citoyens non encartés regroupés dans un Comité de défense de la démocratie (KOD), avec « Liberté, égalité, démocratie » pour mot d’ordre. Le parti Droit et justice a réagi par des contre-manifestations.