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Abbaye de la Joie Notre-Dame

Abbaye cistercienne en FranceAbbaye dans le MorbihanAbbaye en activitéAbbaye fondée au XXe siècleArticle contenant un lien mort
Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxCampénéacPage avec des cartesÉdifice construit en 1953Édifice religieux du XXe siècle en Bretagne
Abbaye La Joie Notre Dame
Abbaye La Joie Notre Dame

L’abbaye de la Joie-Notre-Dame est une abbaye cistercienne située dans la commune de Campénéac, à l'orée de la forêt de Paimpont. Elle a été construite en 1953. Les moniales étaient auparavant à Sainte-Anne-d'Auray.

Extrait de l'article de Wikipedia Abbaye de la Joie Notre-Dame (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Abbaye de la Joie Notre-Dame
Route de Néant-sur-Yvel, Pontivy

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N 47.978891 ° E -2.306786 °
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Route de Néant-sur-Yvel
56800 Pontivy
Bretagne, France
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Abbaye La Joie Notre Dame
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Val sans retour
Val sans retour

Le Val sans retour, Val périlleux ou encore Val des faux amants, est un lieu légendaire du cycle arthurien en forêt de Brocéliande, ainsi qu'un site renommé de centre-Bretagne, dans la forêt nommée administrativement forêt de Paimpont. La légende qui y est attachée, racontée dans le Lancelot-Graal (début du XIIIe siècle), circulait oralement avant la fin du XIIe siècle. La fée Morgane vit une déception amoureuse avec le chevalier Guyomard (ou Guiomar, Guyamor), qui la repousse à l'instigation de la reine Guenièvre. Elle étudie la magie avec Merlin puis, en représailles, crée le Val sans retour dans la forêt de Brocéliande pour y enfermer les « faux amants », des chevaliers infidèles en amour. Après dix-sept ans, Morgane est déjouée par Lancelot du Lac, resté fidèle à Guenièvre, qui libère 253 chevaliers. Ce récit constitue la plus éclatante action de Morgane contre la chevalerie arthurienne, et une inversion des rôles masculins et féminins tels qu'ils sont conçus dans la littérature médiévale. Le Val sans retour est pour la première fois localisé en Bretagne par Creuzé de Lesser en 1812. Le poète est aussi le premier à le placer en Brocéliande, même si pour l'auteur cette forêt se trouve près de Quintin. Il est alors rapidement identifié au val de la Marette près de Paimpont, en Bretagne, vers 1820, par Blanchard de la Musse. La localisation change en 1850 pour le val de Rauco et s'y fixe grâce à Félix Bellamy. Au fil du siècle suivant, ce Val devient l'un des principaux lieux visitables liés aux légendes arthuriennes. L'entrée s'effectue à proximité du bourg de Tréhorenteuc dans le Morbihan. Ravagé par des incendies puis remis en état, le Val sans retour se fait connaître grâce à l'abbé Gillard. Il compte différents points d’intérêt dont l'Arbre d'Or et le miroir aux fées dans sa vallée, l'hotié de Viviane et le siège de Merlin sur ses crêtes. Il attire chaque année de nombreux visiteurs, touristes, néodruides ou passionnés de la légende arthurienne.