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Holocène (festival)

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Bon Entendeur, festival Holocène 2019
Bon Entendeur, festival Holocène 2019

Le Festival Holocène a lieu chaque année depuis 2017 dans l’agglomération de Grenoble. Il est organisé par l'entreprise Le Périscope et dirigé par Sylvain Nguyen. C'est un festival de musique pop, musique éléctro, hardcore, hip-hop, rap et métal (plus récemment). Le festival emploie en moyenne 300 personnes sur une édition et cherche à affirmer une image de festival local en proposant le la nourriture et des boissons locales, mais aussi à embaucher des personnes de la région grenobloise. Après deux premières éditions à la fin de l'hiver, le festival a eu lieu en 2019 à la fin de l'été dans le but de moins subir l'ombre du festival Tomorrowland Winter. Au fil de ses éditions, Holocène tend à se féminiser avec une troisième édition presque paritaire au niveau des artistes.

Extrait de l'article de Wikipedia Holocène (festival) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Holocène (festival)
Rue Le Corbusier, Grenoble

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N 45.1546626 ° E 5.7350436 °
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Hall Jean Marandjian

Rue Le Corbusier
38320 Grenoble
Auvergne-Rhône-Alpes, France
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Bon Entendeur, festival Holocène 2019
Bon Entendeur, festival Holocène 2019
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Lieux à proximité

La Villeneuve (Grenoble)
La Villeneuve (Grenoble)

La Villeneuve est un grand ensemble d'urbanisation situé dans le sud de Grenoble réalisé par l’atelier d'urbanisme et d'architecture (AUA) entre 1970 et 1983. Cet ensemble regroupe plusieurs quartiers situés sur la commune de Grenoble et d'Echirolles, parmi lesquels le Village Olympique, conçu par l'architecte Maurice Novarina, l'emblématique quartier de l'Arlequin et le quartier des Baladins distribués autour d'un espace central : Grand'Place. Villeneuve est la plus importante opération d’urbanisme qu’ait connu l'agglomération de Grenoble. C'est aussi celle qui aura suscité le plus d’intérêt et de polémique. Imaginée par la coalition municipale d'Hubert Dubedout, et les groupes d'action municipale (GAM) dans le sillage du Parti Socialiste Unifié (PSU), cette opération a été très médiatisée dans les années 1970, jusqu'à devenir un symbole de l'architecture post-68, où se sont déroulées de nombreuses expérimentations sociales à travers un projet d'éducation nouvelle et la création d'équipement intégré. Cet ensemble classé label patrimoine du XXe siècle fait l'objet d'un projet de rénovation urbaine signé le 3 juillet 2008 et mené par l'architecte Yves Lion. Malgré les nombreuses protestations des habitants, et leur organisation en "atelier populaire d'urbanisme", une partie de la rénovation urbaine a été réalisée, aboutissant à la démolition du 50, Galerie de l'Arlequin. En 2010, des incidents ont provoqué un dispositif sécuritaire très médiatisé entraînant le discours de Grenoble de Nicolas Sarkozy. De nombreux artistes, militants, intellectuels ont travaillé, filmé, peint ou écrit sur la Villeneuve, dont Sergio Ferro, Jean-Luc Godard, Gilles Lipovetsky, Kateb Yacine, Ernest Pignon-Ernest, les Malassis, Jean Verlhac, Guy de Rougemont, Henri Ciriani, Michel Corajoud, Jo Briant et Jean-François Augoyard.

Jeux olympiques d'hiver de 1968
Jeux olympiques d'hiver de 1968

Les Jeux olympiques d'hiver de 1968, officiellement connus comme les Xes Jeux olympiques d'hiver, se déroulent du 6 au 18 février 1968. La ville candidate, Grenoble, obtient les Jeux dès sa première tentative. Elle est la deuxième ville française à accueillir les Jeux olympiques d'hiver après Chamonix en 1924. L’ensemble des sites de compétition se situent dans le département de l'Isère, à Grenoble pour les épreuves de patinage artistique, de hockey sur glace et de patinage de vitesse, ainsi que dans les stations de sports d'hiver qui entourent la ville pour les autres épreuves. Les Jeux rassemblent 1 158 athlètes de 37 pays, ce qui constitue un record à l'époque pour les Jeux d'hiver. Ils se mesurent dans dix disciplines qui regroupent un total de 35 épreuves officielles, soit une de plus qu'en 1964. Pour la première fois, l'Allemagne de l'Est et l'Allemagne de l'Ouest sont présentes séparément, tandis que le Maroc effectue sa première participation. La Norvège finit en tête du classement des nations en remportant quatorze médailles dont six en or. L'équipe de France obtient son meilleur total jusqu'alors dans l'histoire des Jeux d'hiver avec neuf médailles, un résultat couronné par la performance individuelle de Jean-Claude Killy, qui remporte trois médailles d'or dans les trois disciplines de ski alpin. Ces Jeux innovent dans plusieurs domaines comme l'utilisation de tests antidopage, de tests de féminité, d'une identité visuelle globale, du chronométrage électronique ou de la retransmission télévisée en couleurs via satellite. Si les dépenses liées à l'événement affectent durablement les finances de la ville de Grenoble, les Jeux la font rentrer dans la modernité et lui confèrent l'image d'une ville dynamique. La ville se dote d'équipements généraux et de nouvelles infrastructures sportives ou routières dont la réalisation est accélérée par le biais de cette organisation. Si certaines installations sont abandonnées après les Jeux, comme la piste de bobsleigh de l'Alpe d'Huez ou le tremplin de saut de Saint-Nizier-du-Moucherotte, d'autres sont conservées au bénéfice de la population grenobloise, comme les logements du village olympique ou le stade de glace, converti en Palais des sports et utilisé aussi bien dans le cadre de manifestations sportives que culturelles. L'État, qui finance les Jeux à hauteur de 80 %, y voit un moyen d'accroître le prestige de la France, tout en mettant en œuvre des projets de modernisation des stations de sports d'hiver et de promotion du tourisme.