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Ancienne église paroissiale Notre-Dame de Rungis

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Eglise Clocher Rungis Médiathèque de l'architecture et du patrimoine APMH00036991
Eglise Clocher Rungis Médiathèque de l'architecture et du patrimoine APMH00036991

L’ancienne église paroissiale Notre-Dame de Rungis est une église de culte catholique située dans la commune de Rungis et le département du Val-de-Marne, en France, détruite au cours du XXe siècle. Elle est attenante à la chapelle du Prieuré Saint-Grégoire.

Extrait de l'article de Wikipedia Ancienne église paroissiale Notre-Dame de Rungis (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Ancienne église paroissiale Notre-Dame de Rungis
Rue Notre-Dame, L'Haÿ-les-Roses

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.749873 ° E 2.351783 °
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Adresse

Ancienne église Notre-Dame de Rungis du XIIIe

Rue Notre-Dame
94150 L'Haÿ-les-Roses
Île-de-France, France
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Eglise Clocher Rungis Médiathèque de l'architecture et du patrimoine APMH00036991
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Bataille de Chevilly

La bataille de Chevilly est une bataille qui s'est déroulée pendant le siège de Paris lors de la guerre franco-allemande de 1870. Il s'agit de la deuxième sortie française de Paris contre les armées allemandes. Le 30 septembre 1870, le général Joseph Vinoy attaqua le VIe corps prussien à Chevilly-Larue et fut facilement repoussé. Le VIe corps prussien commandé par le général von Tümpling repousse une tentative de l'armée française depuis Paris dirigée par le général Joseph Vinoy. L'armée française dans la bataille a subi des pertes plus importantes que l'armée prussienne. Le prince héritier de Prusse, futur empereur Frédéric III (empereur allemand), écrivit dans son journal : « Le général Vinoy — qui commandait un corps comprenant toutes les forces régulières de France pendant la guerre —, a mené une "attaque de reconnaissance" absurde sur la rive gauche de la Seine le 30 septembre 1870 : avec 20 000 hommes, sous les canons des forteresses de Bicêtre et Ivry, il procède à des raids sur les villages de L'Haÿ-les-Roses, Chevilly-Larue et Thiais. Le VIe corps prussien n'eut aucune difficulté à écraser et à forcer les forces de Vinoy à fuir dans le chaos. En raison de pertes importantes, les Français ont demandé un cessez-le-feu pour l'enterrement et l'envoi des soldats blessés à l'arrière. » Deux semaines après la défaite de la bataille de Chevilly, Vinoy repartit le 13 octobre lors de la deuxième bataille de Châtillon, qui se solda également par une défaite française.