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Campus 1 de Caen

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Campus de CaenMonument historique classé en 2012Monument historique à CaenPage avec des cartes
Caen campus1 plan
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Le Campus 1 de Caen est l'un des campus de l'Université Caen-Normandie. Il s'agit du campus historique, construit par Henry Bernard dans le cadre de la Reconstruction de Caen, après la destruction du palais des facultés situé en centre-ville pendant la bataille de Caen. Il regroupe aujourd'hui les formations de sciences de l'homme et du vivant. On y trouve 12 470 étudiants en 2018–2019, soit 49 % de l'effectif des campus caennais. Une partie de l'université construite sur les plans d'Henry Bernard a été classée au titre des monuments historiques le 15 mai 2012. La cité universitaire, le parc, l'extension de chimie, le restaurant universitaire qui faisaient partie du projet d'origine n'ont pas été retenus dans la protection.

Extrait de l'article de Wikipedia Campus 1 de Caen (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Campus 1 de Caen
Rue Abbé de la Rue, Caen

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.190728 ° E -0.364686 °
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Adresse

Campus 1

Rue Abbé de la Rue
14000 Caen
Normandie, France
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Lieux à proximité

Opération Totalize
Opération Totalize

L'opération Totalize est une action militaire de la fin de la bataille de Normandie, pendant la Seconde Guerre mondiale, et fait partie du groupe d'engagements qui appartiennent à la bataille de Caen. L'opération fut lancée le 8 août 1944 par les forces armées canadiennes, britanniques et polonaises le long de la route de Caen à Falaise pour briser le front allemand. Aux petites heures du matin du 8 août, le 2e Corps canadien lança la première opération d'infanterie mécanisée à grande échelle des Alliés. Il obtint la rupture du front et captura des positions importantes. Mais, les troupes relativement inexpérimentées qui devaient les suivre ne parvinrent pas à exploiter cette percée, une contre-attaque blindée permettant aux Allemands de stopper l'offensive. Les objectifs ne furent donc pas tous atteints. Toutefois, l'engagement des dernières réserves allemandes face aux Canado-Britanniques permit aux Américains, qui avaient percé à l'ouest, de contourner les défenses ennemies et déboucha sur l'encerclement des forces allemandes dans la poche de Falaise. L'opération est le premier engagement de la 1re Armée canadienne en tant qu'unité intégrée. Elle regroupa les forces qui avaient débarqué à Juno Beach et les autres venant en soutien d'Angleterre, depuis son activation le 23 juillet. Elle a notamment causé la mort de l'as des blindés allemands, Michael Wittmann, dans son char Tiger au cours d'une contre-attaque manquée.

Stèle de Vostrus
Stèle de Vostrus

La stèle de Vostrus est une stèle funéraire d'époque romaine découverte en 1861 à Lisieux, en France. Elle appartient aux collections de la Société des antiquaires de Normandie et, après avoir été conservée dans le musée de cette société savante, elle est désormais intégrée à l'exposition permanente du musée de Normandie, musée d'archéologie et d'ethnographie situé à Caen ; un moulage ancien en est conservé au musée d'art et d'Histoire de Lisieux. Le monument est l'unique stèle funéraire conservée des fouilles de la nécropole du Grand-Jardin, site exploré dans la seconde moitié du XIXe siècle, dans des conditions telles qu'elle est mal connue. En dépit de pertes liées à la dispersion du produit des fouilles et aux bombardements de la bataille de Normandie, des artefacts retrouvés lors de ces recherches sont conservés dans différents musées. Outre un monument comportant la représentation d'un homme, l'artefact conserve également une inscription dont la lecture fait consensus. Les vêtements du personnage, adaptés aux conditions météorologiques locales, font penser à un Gaulois romanisé. L'étude de l'inscription, avec le nom typiquement gaulois du père du défunt et l'absence des tria nomina typiques des citoyens romains, permet de dater l’œuvre du Ier siècle. C'est l'un des très rares monuments funéraires d'époque romaine qui nous soient parvenus dans cette région et c'est selon Élisabeth Deniaux, qui écrit en 1984-1985, « l'ensemble funéraire romain le plus remarquable de la Basse-Normandie ».