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Port Hercule

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Circuit de Monaco, April 1, 2018 SkySat
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Le port Hercule (monégasque : portu A̍rcule) est un important port de plaisance du quartier de La Condamine, à Monaco, sur la route du bord de mer de la Riviera méditerranéenne de la Côte d'Azur. Ce port de Monaco historique a une capacité de près de 700 places d'amarrage, sur environ 16 hectares.

Extrait de l'article de Wikipedia Port Hercule (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Port Hercule
Jetée Lucciana, Monaco La Condamine

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 43.734841 ° E 7.42414 °
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Adresse

Port Hercule de Monaco

Jetée Lucciana
98000 Monaco, La Condamine
Monaco
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Site web
ports-monaco.com

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Circuit de Monaco, April 1, 2018 SkySat
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Centre scientifique de Monaco
Centre scientifique de Monaco

Le Centre scientifique de Monaco (monégasque : Centru scienti̍ficu de Mu̍negu), souvent abrégé en CSM, est l’institut de recherche scientifique de la principauté de Monaco. Il a été créé par le Prince Rainier III par la loi 690 du 23 mai 1960, complétée et modifiée par la loi 780 du 9 juin 1965. Juridiquement, c’est un établissement public autonome, géré par un conseil d’administration aidé par un Comité de perfectionnement. Il est placé sous la tutelle du Département de l’Intérieur de la Principauté. Ses locaux (laboratoires et administration) se situent au-dessus du port de Monaco. Centré de 1960 à 1990 sur l'étude de la radioactivité, la microbiologie marine, la météorologie et la sismologie, le CSM possède aujourd’hui trois Départements de recherche : un Département de biologie marine qui exerce son activité depuis 1990, un Département de biologie polaire, créé en 2011 et un Département de biologie médicale créé en 2013. Les travaux du Département de biologie marine concernent la physiologie et l’écophysiologie des coraux (coraux constructeurs de récifs, coraux profonds, coraux précieux) en étudiant principalement les mécanismes de la biominéralisation et de la symbiose chez ces organismes et l’impact de l’acidification des océans sur ces processus. Le CSM possède des cultures de coraux tropicaux en conditions contrôlées pour ses besoins de recherche depuis 1990, qui constituent la plus longue culture de coraux à but scientifique au monde. Ce Département développe également des travaux en économie environnementale, principalement sur les services écosystémiques des récifs coralliens et les potentiels impacts des changements climatiques. Les travaux du Département de biologie polaire ont pour objectif d’élucider les mécanismes d’adaptation des prédateurs marins, et notamment des manchots subantarctiques et antarctiques, face aux contraintes de leur environnement et de mettre en évidence les limites de cette capacité d’adaptation. Pour réaliser cette étude, développée en collaboration avec l’Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien (IPHC) (UMR7178 CNRS – Université de Strasbourg), et l’Institut Polaire Paul-Émile Victor (IPEV), l’équipe suit environ 25 000 manchots, grâce à des puces RFID implantées dans le derme. Le département développe également une thématique d'intelligence artificielle. Les travaux du Département de biologie médicale intègrent à la fois des équipes de recherche translationnelle dans les domaines de la lutte contre le cancer (cancers pédiatriques en particulier), de l’étude des relations hôtes-pathogènes au sein du tube digestif et dans le développement de biothérapies appliquées aux handicaps neuromusculaires, ainsi qu’un Pôle santé humaine destiné à favoriser la recherche clinique en Principauté et à étudier les relations entre changements climatiques et santé humaine. Le CSM héberge deux Laboratoires Internationaux Associés, l'un avec l’université de Versailles Saint-Quentin (UVSQ), et l'autre avec l'université Côte d'Azur (UCA), un Observatoire international sur la Drépanocytose, Monacord, et participe à un Réseau Thématique Pluridisciplinaire International (RTPI) « Nutrition et résistance aux stress environnementaux » avec le CNRS et l’université de Strasbourg. Il collabore avec une centaine d’instituts à travers le monde. Il héberge également une plateforme de dépistage PCR et sérologique de grande capacité pour les maladies infectieuses.

Grand Prix automobile de Monaco 2008
Grand Prix automobile de Monaco 2008

Le Grand Prix automobile de Monaco 2008 (Formula 1 Grand Prix de Monaco 2008), disputé sur le circuit de Monaco le 25 mai 2008, est la 791e épreuve du championnat du monde de Formule 1 courue depuis 1950 et la sixième manche du championnat 2008. Disputée sur une distance de soixante-seize tours au lieu des soixante-dix-huit initialement prévus, l'épreuve est remportée par le pilote McLaren, Lewis Hamilton. Robert Kubica, pilote de l'équipe BMW Sauber, termine deuxième tandis que Felipe Massa, parti en pole position, s'empare de la troisième place au volant de la Ferrari F2008. Alors que l'épreuve s'ouvre dans des conditions climatiques particulièrement difficiles, Massa se maintient en tête de la course dans le premier virage tandis que son coéquipier, Kimi Räikkönen, cède sa deuxième place à Hamilton, parti de la troisième position. Au sixième tour, Hamilton, victime d'une crevaison, tombe à la cinquième position à son retour des stands. À la suite de différents accrochages et touchettes impliquant de nombreux pilotes, conséquences d'une piste détrempée et d'une visibilité réduite, Räikkönen cède sa place à Kubica. Après les arrêts aux stands de la mi-course, Hamilton prend la première place devant Massa et Kubica, position qu'il conserve jusqu'à l'arrivée. Lorsque la piste s'assèche, autour du cinquantième tour, tous les pilotes changent de pneumatiques, ce qui permet à Kubica de prendre l'avantage sur Massa. Räikkönen chute lui de la cinquième à la neuvième position après une collision avec Adrian Sutil. L'incident profite à Mark Webber qui termine quatrième devant Sebastian Vettel. Hamilton remporte sa deuxième victoire de la saison, sa première à Monaco, et les points acquis au terme de la course lui permettent de se hisser en tête du classement des pilotes, avec trois points d'avance sur Räikkönen et quatre devant Massa, les deux pilotes Ferrari. Ferrari conserve la tête du classement des constructeurs, avec seize points d'avance sur McLaren et dix-sept sur BMW Sauber.