place

Église Notre-Dame-de-Pitié de Tréguennec

Article géolocalisé en FranceArticle manquant de références/Liste complèteArticle manquant de références depuis juillet 2021Article utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactif
Article utilisant une InfoboxArticle à wikifier/Liste complèteArticle à wikifier depuis juillet 2021Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePage pointant vers des bases relatives à la religionÉglise dans le Finistère
Église Notre Dame de Pitié de Tréguennec (01)
Église Notre Dame de Pitié de Tréguennec (01)

L'église Notre-Dame-de-Pitié est située dans la commune de Tréguennec, en baie d’Audierne, département du Finistère, canton de Plonéour-Lanvern.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Notre-Dame-de-Pitié de Tréguennec (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Notre-Dame-de-Pitié de Tréguennec
Rue du Bourg, Quimper

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Église Notre-Dame-de-Pitié de TréguennecContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.895089 ° E -4.323131 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue du Bourg
29720 Quimper
Bretagne, France
mapOuvrir sur Google Maps

Église Notre Dame de Pitié de Tréguennec (01)
Église Notre Dame de Pitié de Tréguennec (01)
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Chapelle de Saint-Evy
Chapelle de Saint-Evy

La chapelle de Saint-Evy est située dans l’enclave de la commune de Saint-Jean-Trolimon, commune situé en pays bigouden entre Pont-l’Abbé, Plomeur et Plonéour-Lanvern. Implantée au bas d’une pente qui plonge vers un marais et sa roselière, alimentés par la rivière qui se jette dans l’étang de Saint-Vio en contrebas, la chapelle de Saint-Evy est l’exemple de ces sanctuaires de dévotion si nombreux en Basse-Bretagne. Opulents ou modestes, ils émaillent le territoire de milliers de clochers. Point focal d’un habitat dispersé, les chapelles faisaient souvent office d’églises paroissiales secondaires, avec son curé, sa cure, et son cimetière. Saint-Evy en fut doté jusqu’au XVIIIe siècle, lieu de culte et de rassemblement d’un territoire bien particulier, dépendant de Saint-Jean-Trolimon mais séparé par la commune de Ploneour. Cette enclave, héritée du Moyen-Âge (ancienne trève de Gorre-Beuzec) et qui n’a pas disparu avec la Révolution, s’est constituée en communauté quasi indépendante, du fait de son éloignement du bourg, les habitants se reconnaissant d’abord par leur appartenance à une même trève ou frairie avant de l’être par la paroisse. Kerbascol, situé à deux cents mètres du site, est le groupement de maisons le plus important de l‘enclave avec le Mejou Roz situé un peu plus loin, sur le territoire de Plonéour où se trouvait l‘école publique partagée entre les deux communes et des commerces.

Oppidum de Tronoën
Oppidum de Tronoën

L'oppidum de Tronoën (également appelé Oppidum de Tronoan) est un complexe urbain protohistorique armoricain. Ses vestiges ont été dégagés à la fin du XIXe siècle par l'archéologue Paul du Chatellier (1833-1911),. Le site est localisé dans la commune de Saint-Jean-Trolimon, dans le département du Finistère, en Bretagne. Il connaît une occupation celtique dès le 1er Âge du fer, au VIIe siècle av. J.-C. (époque hallstattienne) et observe une continuité d'utilisation tout au long du 2e Âge du fer (époque laténienne). L'installation d'un nouveau site, en lieu et place de ces premières structures urbaines, voit le jour à l'époque gallo-romaine. Cependant, la seconde fondation ne se pérennise pas et subit finalement un abandon à partir du IVe siècle. Le site de Tronoën appartient au territoire (la civitas ou cité) de la tribu gauloise des Osismes. Sur le site de l'oppidum armoricain, des pièces de monnaie gallo-romaines ont été mises en évidence. Il s'agit généralement de statères confectionnées en bronze. D'autres types d'éléments numismatiques, également découverts à proximité ou dans l'enceinte de l'oppidum, ont été identifiés et répertoriés. D'époque plus ancienne, ces pièces de monnaie sont de fabrication typiquement osisme. En 1881, une monnaie attribuée aux Parisii est signalé lors d'un second chantier de recherches conduit sous le patronage de Paul du Chatellier. Enfin, plus rares, quelques occurrences de monnaies de type « Jersey » et quelques-unes de frappe pictonne ont été mises en évidence lors de fouilles préventives. La présence de ces pièces au cœur du site armoricain suggère, d'après le spécialiste numismate Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu (1905-1995), des contacts commerciaux avec les peuples pictons de la façade atlantique et d'autres tribus celtes d'outre-Manche. Enfin, concernant l'existence du temple de Tronöen, et ainsi que le mettent en perspective Jean-Louis Brunaux et Patrice Arcellin, pour cette époque et pour cette zone de la Gaule Chevelue : « Aujourd'hui, l'Armorique et ses marges se caractérisent à la fois par la relative rareté des ensembles cultuels collectifs (ceux des Sept-Perthuis à Saint-Malo et de Tronoën à Saint-Jean-Trolimon, ou encore de Nalliers et Aubigné-Racan, étant pour l'heure exceptionnels) et, parallèlement, par la multiplicité des manifestations de rituels domestiques ou à échelle locale, privés ou publics, et de vestiges commémoratifs révélés au sein de contextes domestiques ou funéraires. » — Jean-Louis Brunaux Patrice Arcellin et al., 2003, Cultes et sanctuaires en France à l'âge du Fer, p. 77.