place

Palais du Commerce de Tours

Tours (131)
Tours (131)

Le Palais du Commerce de Tours (ou hôtel consulaire, hôtel de la Bourse) est un hôtel particulier situé à Tours dans le Vieux-Tours, 4 bis rue Jules Favre. Les façades sur cour de ce bâtiment font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 janvier 1931.

Extrait de l'article de Wikipedia Palais du Commerce de Tours (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Palais du Commerce de Tours
Rue Jules Favre, Tours Tours Centre

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Palais du Commerce de ToursContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.3952 ° E 0.688056 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue Jules Favre
37000 Tours, Tours Centre
Centre-Val de Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

Tours (131)
Tours (131)
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Temple gallo-romain de Tours
Temple gallo-romain de Tours

Le temple gallo-romain de Tours est un ancien édifice cultuel de type fanum, daté de la fin du Ier siècle de notre ère et qui se situait dans le centre-ville de la cité antique de Caesarodunum, correspondant également au cœur de la ville contemporaine de Tours, dans le département d'Indre-et-Loire. Il succède selon toute probabilité, au même emplacement, à un premier sanctuaire construit dans la première moitié du Ier siècle. Il appartient au groupe assez restreint des temples urbains d'inspiration celtique à sanctuaire circulaire, comme la tour de Vésone à Périgueux. Sa cella mesure probablement plus d'une trentaine de mètres de diamètre extérieur pour au moins vingt de haut ; elle est précédée à l'est d'un pronaos de style romain classique surmonté d'un fronton triangulaire, l'ensemble étant inscrit dans un péribole d'environ 0,7 hectare. L'édifice apparaît ainsi comme le résultat de la rencontre de deux cultures religieuses mais aussi architecturales, même si les raisons qui ont conduit au choix d'un édifice au plan si particulier sont inconnues. De nombreux éléments de son architecture, de son décor et de son environnement restent à découvrir. Enfin, historiens et archéologues ne savent rien des dates d'abandon et de destruction du temple, tout comme de la ou des divinités auxquelles il était consacré. Pourtant, dès le Haut Moyen Âge, une nécropole occupe le site de cet ancien monument et une enceinte urbaine du XVe siècle réutilise certaines de ses structures. Son existence est révélée par des textes médiévaux, mais pas son emplacement. Fortuitement mis au jour à la faveur des travaux de déblaiement des ruines de Tours après la Seconde Guerre mondiale et rapidement examinés, ses vestiges, alors encore imposants, sont en grande partie détruits face à l'urgence de la reconstruction. Le temple fait l'objet de deux campagnes de fouilles préventives ou de sauvetage, dans les années 1990 et au tournant du troisième millénaire ; ses abords immédiats sont partiellement étudiés en 2000 et en 2011. Il ne reste plus de ce grand temple que de très rares vestiges connus, tous souterrains, inscrits dans l'Inventaire général du patrimoine culturel, mais tout porte à croire que d'autres parties existent encore, scellées dans les fondations des immeubles reconstruits après la guerre.