place

Manoir des Basses-Rivières

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une Infobox
Château monument historique en Indre-et-LoireJardin remarquable en Centre-Val de LoireManoir monument historique en FranceMonument historique inscrit en 1965Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecture
Manoir des Basses Rivières
Manoir des Basses Rivières

Le manoir des Basses-Rivières est un manoir situé à Rochecorbon (Indre-et-Loire). Il s'agit à la fois d'une « folie » de campagne du XVIIIe siècle, l'un des plus importants sites troglodytiques d'Indre-et-Loire, une ancienne propriété viticole avec ses pressoirs XVIe et XIXe siècles et un jardin labellisé « Remarquable » sur trois niveaux de promenade de le coteau.

Extrait de l'article de Wikipedia Manoir des Basses-Rivières (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Manoir des Basses-Rivières
Quai de la Loire, Tours

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Manoir des Basses-RivièresContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.407731 ° E 0.748138 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Quai de la Loire 24
37210 Tours
Centre-Val de Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

Manoir des Basses Rivières
Manoir des Basses Rivières
Partager l'expérience

Lieux à proximité

La Ville-aux-Dames
La Ville-aux-Dames

La Ville-aux-Dames (prononcé /la vilo dam/) est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Peuplée par 5 175 habitants en 2021 et située entre la Loire et le Cher, La Ville-aux-Dames appartient aujourd'hui à l'agglomération tourangelle. Probablement occupée depuis le Bronze final, La Ville-aux-Dames apparaît pour la première fois dans les sources au Xe siècle, sous le nom de Villa Dominarum. À cette époque, elle forme un fief dépendant d'Hildegarde, supérieure de l'abbaye de Saint-Loup, située sur le territoire de l'actuelle Saint-Pierre-des-Corps. Au XIe siècle, les habitants de la commune se dotent d'une chapelle de style roman, transformée au XVe siècle en église paroissiale. À la Renaissance, La Ville-aux-Dames est le théâtre de combats qui opposent catholiques et huguenots, avant d'accueillir, entre 1631 et 1684, un temple protestant, finalement détruit sur l'intervention du chanoine tourangeau Joseph Sain. À la Révolution, le curé de la commune, Jean Cartier, est élu député du clergé aux États généraux. Peu de temps après, La Ville-aux-Dames est rebaptisée temporairement Les Sables par les autorités révolutionnaires. Au XIXe siècle, la commune est transformée en profondeur par l'arrivée du chemin de fer (1845) et par une série de crues (1846, 1856 et 1866), qui inondent son territoire et y déposent de grandes quantités d'alluvions. L'agriculture est alors profondément bouleversée et doit se réorienter. L'élevage bovin se développe et les habitants de la commune reçoivent le sobriquet de « Caillons », du nom du fromage qu'ils fabriquent et vendent à Tours. Le début du XXe siècle voit La Ville-aux-Dames se développer : en 1906, elle se dote du téléphone et, en 1924 de l'électricité. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la commune se situe en zone occupée et, à partir de 1943, l'abbé Jérôme Besnard y organise un réseau de résistance. Après-guerre, La Ville-aux-Dames connaît une forte croissance démographique et perd peu à peu son caractère rural. À partir de 1947, plusieurs clubs de sport voient le jour dans la commune. Surtout, dans les années 1970 et 1980, de grandes infrastructures s'y développent : centre commercial (1973), piscine municipale (1974), école maternelle (1975), bibliothèque municipale (1986) puis centre socio-culturel (1989). Au fil des années, l'agriculture décline et l'élevage disparaît tandis que l'emploi se diversifie avec l'arrivée d'usines (Faiveley Transport) et d'enseignes de la grande distribution (E.Leclerc, Bricomarché, etc.). Parallèlement, le tourisme se développe grâce à l'aménagement de l'île de la Métairie, de la mise en place de La Loire à vélo et de l'inscription du Val de Loire au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2000. Pourtant, La Ville-aux-Dames est aussi soumise à de nombreux risques naturels (inondations, etc.) et technologiques (sites Seveso, transport de matières dangereuses, etc.) qui compliquent sa croissance.