place

Hôtel d'Agincourt

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant une InfoboxHôtel particulier monument historique dans l'Oise
Monument historique classé en 1926Monument historique à CompiègnePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecture
Compiègne (60), hôtel d'Agincourt, 13 rue Fournier Sarlovèze
Compiègne (60), hôtel d'Agincourt, 13 rue Fournier Sarlovèze

L'hôtel d'Agincourt est situé à Compiègne, dans le département de l'Oise.

Extrait de l'article de Wikipedia Hôtel d'Agincourt (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Hôtel d'Agincourt
Rue Fournier-Sarlovèze, Compiègne

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Hôtel d'AgincourtContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.416978 ° E 2.829588 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue Fournier-Sarlovèze
60200 Compiègne, Les Veneurs
Hauts-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

linkWikiData (Q22966175)
linkOpenStreetMap (138105664)

Compiègne (60), hôtel d'Agincourt, 13 rue Fournier Sarlovèze
Compiègne (60), hôtel d'Agincourt, 13 rue Fournier Sarlovèze
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Haras national de Compiègne
Haras national de Compiègne

Le haras national de Compiègne était un haras national français consacré à l'amélioration des races chevalines et de l'élevage équin en France. Il est situé sur la commune de Compiègne. Ces haras se sont installés en 1875 dans les anciennes Grandes Écuries du Roi du Château de Compiègne, construites en 1738 en même temps que le château fut reconstruit par Louis XV. Leur capacité était alors de 272 chevaux. Le haras était autrefois ouvert au public toute l'année, attiré à la fois par son patrimoine architectural et par les chevaux qui y sont stationnés, mais désormais, il ne l'est que pendant les mois d'été. Le haras de Compiègne était spécialisé dans la sauvegarde de deux races de chevaux de trait menacées de disparition, le boulonnais et le trait du Nord. Il a organisé tous les deux ans la route du Poisson. Dans le cadre de la restructuration des haras nationaux, la fermeture du haras de Compiègne a été suggérée dès 2009. En novembre 2015, l'IFCE annonce une mise en vente en janvier 2016, faute d'avoir développé des activités pérennes. Le haras est officiellement mis en vente à partir de février 2016. Les derniers locataires de box ont été sommés de quitter les lieux avant septembre 2016. La nouvelle vocation du site, racheté par l'agglomération de la région de Compiègne (ARC), est en discussions ; cependant la réalisation d'un hôtel SPA 4 ou 5 étoiles avec restaurant gastronomique pourrait être privilégiée.

Abbaye Saint-Corneille de Compiègne
Abbaye Saint-Corneille de Compiègne

L’abbaye Saint-Corneille est située à Compiègne (876-1790), à 75 km au nord de Paris, dans le pays de Valois, et s’appelle tout d’abord Sainte-Marie ou Notre-Dame. Elle est renommée par la suite Saint-Corneille et est connue également sous le nom de Saint-Cyprien. Cette abbaye impériale et royale, fondée par un empereur, pour succéder ou être au moins la rivale de la chapelle palatine d’Aix-la-Chapelle, fut consacrée par un pape et fut le lieu de réunion de plusieurs conciles. Plusieurs Carolingiens et Robertiens comme Louis II le Bègue (877), Eudes de France (888), Louis V de France (979) et Hugues de France (1007-1025) se firent couronner ou inhumer dans ses murs. En 987, c'est en son sein qu'une assemblée reconnut roi Hugues Capet. Mais, après 987, l'influence de l'abbaye diminua et devint presque uniquement provinciale. Toutefois, aux yeux des princes comme du peuple, elle resta, du fait de son passé et de ses précieuses reliques, une illustre abbaye royale. L'histoire de la ville de Compiègne et du Valois est étroitement liée à celle de son abbaye. Toutefois, même quand les chanoines font place en 1150 à des moines de l’ordre de Saint-Benoît, les tensions demeurent, mais aussi les intérêts en commun. Les moines ont encore des rapports conflictuels avec les puissants seigneurs locaux et les évêques de Soissons. Les rois et les papes doivent sans cesse les protéger ou plus rarement modérer leurs ambitions. L’abbaye recèle toujours, à la Renaissance, de nombreuses reliques, des drapeaux pris à l’ennemi, et reçoit des princes et des reines. Elle a même ses huit barons fieffés. Les abbés détiennent une puissance durable dans la moyenne vallée de l’Oise et à Compiègne. Néanmoins, le régime de la commende et la réunion de sa mense à l'abbaye royale du Val-de-Grâce vont provoquer son déclin. La révolution de 1789 met fin à son histoire presque millénaire. L’abbaye royale, encore riche et célèbre, Panthéon de Compiègne, est profanée, pillée et laissée à l’abandon, en 1793. Les derniers vestiges de l'abbaye seront bombardés en 1940 par l'aviation allemande.