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Allégorie du triomphe de Vénus

Aphrodite ou Vénus dans la peintureArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant l'infobox ArtArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une Infobox
Baiser dans la peintureManiérismeMasque dans la peintureNu fémininOiseau dans la peinturePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives aux beaux-artsPeinture allégoriquePomme dans la peintureRose dans la peintureSein dans la peintureTableau de BronzinoTableau des années 1540Éros ou Cupidon dans la peintureŒuvre conservée à la National Gallery
Angelo Bronzino Venus, Cupid, Folly and Time National Gallery, London
Angelo Bronzino Venus, Cupid, Folly and Time National Gallery, London

L'Allégorie du triomphe de Vénus est un tableau du peintre italien Bronzino réalisé vers 1545-1547. Cette huile sur panneau maniériste est une allégorie qui représente Vénus et Cupidon s'échangeant un baiser entourés par des figurants personnifiant le Plaisir, la Jalousie et autres joies et peines de l'Amour. Elle est conservée à la National Gallery, à Londres, au Royaume-Uni.

Extrait de l'article de Wikipedia Allégorie du triomphe de Vénus (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Allégorie du triomphe de Vénus
Trafalgar Square, Londres Covent Garden

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N 51.508928888889 ° E -0.12829888888889 °
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National Gallery

Trafalgar Square
WC2N 5DN Londres, Covent Garden
Angleterre, Royaume-Uni
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nationalgallery.org.uk

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Angelo Bronzino Venus, Cupid, Folly and Time National Gallery, London
Angelo Bronzino Venus, Cupid, Folly and Time National Gallery, London
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National Gallery
National Gallery

La National Gallery (en français, la Galerie nationale) fondée en 1824, est un musée situé à Londres en Angleterre et occupant le nord de Trafalgar Square depuis 1838. Elle détient un patrimoine artistique composé principalement de peintures datant de 1250 à 1900, les œuvres plus récentes étant abritées à la Tate Modern. La collection permanente de 2 300 peintures appartient à l'État britannique et son accès est gratuit. Seules les expositions temporaires sont soumises à un prix d'entrée. La Gallery est un « organisme public non ministériel » rattaché au département du Numérique, de la Culture, des Médias et du Sport britannique. Les débuts de la National Gallery furent modestes, à la différence du musée du Louvre à Paris ou du musée du Prado à Madrid, car la collection ne fut pas fondée par la nationalisation d'œuvres d'art appartenant à la famille royale ou à des nobles, ni par l'acquisition de collections massives. L'essor de la Gallery débuta avec l'achat de seulement 38 peintures au banquier John Julius Angerstein en 1824. La Gallery fut ensuite conçue par ses premiers directeurs, en particulier Sir Charles Lock Eastlake et ses collections ont été enrichies par des donations privées pour les deux tiers des œuvres. La National Gallery conserve quelques-uns des tableaux considérés comme les plus beaux du monde et si l'on peut y admirer quelques œuvres nationales (William Turner, John Constable, Thomas Gainsborough), l'essentiel est constitué de tableaux étrangers qui couvrent l'histoire de l'art du Moyen Âge à la fin du XIXe siècle.

Opération Steinbock

L'opération Steinbock a été menée par la Luftwaffe à la fin de la Seconde Guerre mondiale entre janvier et mai 1944 sur des objectifs du sud de l'Angleterre, en particulier sur Londres et ses alentours au cours de la nuit. Les Anglais ont surnommé cette opération le Baby Blitz (petit Blitz) en raison de sa faible importance au regard du bombardement stratégique de la Luftwaffe sur les îles britanniques en 1940–1941. Placée sous le commandement du Generalmajor Dietrich Peltz, la Luftflotte 3 rassemble 474 bombardiers pour l'offensive. L'opération — conduite en réaction à la campagne du Bomber Command connue sous le nom de Bataille de Berlin, mais sur une plus petite échelle — est lancée surtout pour des raisons de propagande et par mesure de représailles. Son intérêt reste pratiquement assez faible et les pertes s'élèvent à 329 appareils au cours des cinq derniers mois d'opération avant son abandon. Des commandants de la Luftwaffe, comme Hugo Sperrle, ont eu l'idée d'utiliser ces moyens contre la flotte d'invasion alliée dont ils prévoyaient qu'elle atterrirait au Nord de la France au cours de l'été. En fin de compte, les attaques de représailles ont permis l'interruption de l'invasion imminente de la France par les Alliés, mais Steinbock ayant perdu une part importante de la flotte de bombardiers allemande, il n'était plus possible d'opposer une contre–attaque sérieuse. Cette opération marque la fin des grandes offensives lancées par la Luftwaffe contre l'Angleterre, par la suite seuls des V1 et des V2 seront utilisés contre les îles britanniques.