place

Gare d'Izel

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en BelgiqueArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxArticle à illustrer Gare
Bâtiment à ChinyGare fermée dans la province de LuxembourgGare mise en service en 1880Ligne 165 (Infrabel)Page avec des cartes

La gare d’Izel est une ancienne gare ferroviaire belge de la ligne 165, d’Athus à Libramont, située à proximité d’Izel, ancienne commune rattachée à celle de Chiny, dans la province de Luxembourg, en Région wallonne. Mise en service en 1880, elle ferme en 1984.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare d'Izel (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.67763 ° E 5.38584 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue de la Gare 1
6810
Luxembourg, Belgique
mapOuvrir sur Google Maps

Partager l'expérience

Lieux à proximité

Abbaye Notre-Dame d'Orval
Abbaye Notre-Dame d'Orval

L'abbaye Notre-Dame d'Orval (ou abbaye d'Orval) est un monastère cistercien situé en Belgique, à Villers-devant-Orval, dans la province de Luxembourg. Fondée par des bénédictins au XIe siècle auprès d'une source dans un vallon isolé dans la forêt, l'abbaye passe à l'ordre cistercien en 1131 avec l'arrivée de moines de l'abbaye de Trois-Fontaines. Durant quatre siècles, elle vit l'existence effacée d'un monastère perdu dans la solitude de la grande forêt ardennaise ; située à la frontière entre le Saint-Empire et le royaume de France, elle subit les conséquences des guerres et conflits du XVe au XVIIe siècle. Participant au mouvement de réforme de l'étroite observance dans l'ordre cistercien, elle connaît aux XVIIe et XVIIIe siècles une période de grand développement spirituel et économique, malgré une crise liée au développement du jansénisme en son sein au début du XVIIIe siècle. À la fin du XVIIIe siècle, lors de l'invasion des troupes révolutionnaires françaises, les bâtiments, anciens et nouveaux, sont détruits et incendiés après le départ forcé des moines. En 1795, la communauté est dispersée et les biens de l'abbaye vendus comme « biens nationaux ». En 1927, la présence monastique est relevée par un groupe de cisterciens-trappistes venu de l'abbaye Notre-Dame de Sept-Fons, qui fonde là un prieuré et entame la reconstruction sous la direction de Marie-Albert van der Cruyssen, moine belge venu de l'abbaye de La Trappe. En 1935, le monastère retrouve son statut d'abbaye autonome.