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Rue de la Bastide

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La rue de la Bastide (en occitan : carrièra de la Bastida) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.

Extrait de l'article de Wikipedia Rue de la Bastide (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Rue de la Bastide
Rue de la Bastide, Toulouse Toulouse Centre

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 43.60507 ° E 1.43836 °
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Adresse

Rue de la Bastide 6
31000 Toulouse, Toulouse Centre
Occitanie, France
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Couvent des Jacobins de Toulouse
Couvent des Jacobins de Toulouse

Le couvent des Jacobins de Toulouse est un édifice religieux situé dans le centre de la ville de Toulouse, en France, à mi-chemin entre le Capitole et la Garonne, juste à côté du lycée Pierre-de-Fermat. Il est constitué d'une église dite « église des Jacobins », d'un cloître, d'une salle capitulaire, d'un réfectoire et d'une chapelle, la chapelle Saint-Antonin. Il est parfois appelé « ensemble conventuel des Jacobins », appellation qui est aujourd'hui abandonnée. Il a été construit par l'ordre des Prêcheurs, un ordre mendiant dont la branche masculine a été fondée en 1215 à Toulouse par Dominique de Guzmán, futur saint Dominique, afin de promouvoir la prédication de l'Évangile et lutter contre l'hérésie cathare. Le fait que l'ordre dominicain soit né à Toulouse vaut au couvent toulousain d'être parfois considéré comme l'église-mère de l'ordre, bien qu'il ne soit pas le premier couvent construit par l'ordre et bien que d'autres églises revendiquent également ce titre (notamment l'église Sainte Sabine de Rome). Ces bâtiments entièrement faits de brique sont considérés comme des joyaux de l'art gothique languedocien en matière de construction monastique des XIIIe siècle et XIVe siècle. Les Frères prêcheurs ont été appelés Dominicains dès le XIIIe siècle et aussi Jacobins, beaucoup plus tard, à la période moderne, en référence au grand couvent de Paris situé rue Saint-Jacques (détruit au XIXe siècle). L'église abrite depuis 1369 les reliques (reliques de premier ordre) de saint Thomas d'Aquin, auquel elle est consacrée. C'est également dans ces bâtiments qu'a été établie pendant plusieurs siècles l'ancienne université de Toulouse depuis sa fondation en 1229 jusqu'à sa suppression à la Révolution française.

Couvent des Cordeliers (Toulouse)
Couvent des Cordeliers (Toulouse)

Le couvent des Cordeliers est un ancien couvent de religieux franciscains – ou « cordeliers » – de Toulouse, en France. Il est fondé en 1222, dans un contexte de développement des ordres mendiants dans les villes européennes, et particulièrement à Toulouse, marquée au début du XIIIe siècle par le catharisme et la croisade des albigeois. En concurrence, sinon en rivalité avec les dominicains toulousains – le couvent des Jacobins –, établis à quelques rues de leur couvent, les franciscains édifient un vaste couvent au cœur du bourg Saint-Sernin. Le vaste ensemble conventuel s'organise autour de l'église, ouverte à la population pour la prédication, et un cloître qui dessert la chapelle Notre-Dame de Rieux – un bijou de l'architecture gothique –, la sacristie, la salle capitulaire, la bibliothèque, le réfectoire et les cellules des moines. Le couvent toulousain devient la principale maison de la province franciscaine d'Aquitaine et le foyer intellectuel et religieux du Midi du royaume de France. D'ailleurs, le couvent est un des centres intellectuels majeurs du royaume puisque c'est dans ses murs que s'installe la jeune université toulousaine, fondée par le traité de Meaux-Paris en 1229. À la Révolution, comme les autres couvents de la ville, les Cordeliers subissent les vicissitudes du temps. L'église est conservée, mais vidée de ses richesses, dispersées entre les églises et les musées de la région, d'autres bâtiments sont vendus quand ils ne sont pas cédés à l'administration militaire, d'autres encore sont démolis. La protection de l'église, classée aux monuments historiques dès 1862, a été complétée en 1994 par le classement des vestiges des autres bâtiments du couvent.