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Orionis

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Douai Route de Tournai, près du finage de Râches (04)
Douai Route de Tournai, près du finage de Râches (04)

Orionis est un planétarium situé à Douai, dans le Nord, en France, près du finage de Râches, et inauguré le 13 mai 2023.

Extrait de l'article de Wikipedia Orionis (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.409615 ° E 3.131609 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Planétarium Orionis

Route de Tournai
59500 Douai
Hauts-de-France, France
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Site web
planetarium-orionis.com

linkVisitez le site web

Douai Route de Tournai, près du finage de Râches (04)
Douai Route de Tournai, près du finage de Râches (04)
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Lieux à proximité

Fosse Déjardin
Fosse Déjardin

La fosse Déjardin de la Compagnie des mines d'Aniche est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Sin-le-Noble. Le premier puits est commencé en 1901 au nord de la commune, et commence à produire en 1904. Le puits Déjardin no 2 est commencé en 1907. La fosse est détruite pendant la Première Guerre mondiale. La Compagnie des mines d'Aniche est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe de Douai. La fosse reprend en 1958 le champ d'exploitation de la fosse Bernard, qui vient de fermer. Au milieu des années 1960, la fosse est approfondie, ce qui lui permet d'être concentrée sur la fosse Gayant en 1965. Deux ans plus tard, les installations de surface sont modernisées, le changement le plus visible est le nouveau chevalement à molettes superposées, similaire à celui de Notre Dame no 2, qui équipe le puits no 1. À la fermeture de la concentration Gayant en 1978, la fosse Déjardin est concentrée sur Barrois, jusque sa fermeture le 30 juin 1984. Elle assure ensuite la remonte du matériel du fond, et les puits sont remblayés en 1985, les chevalements et les installations détruites l'année suivante. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits Déjardin nos 1 et 2. Il ne reste plus rien de la fosse, mais les cités, appartenant également à la fosse Bernard, ont été rénovées. Le golf du Bois des Retz est installé sur une partie du carreau de fosse. La cité-jardin de la Solitude et son école, la cité pavillonnaire de la Ferronnière, la cité de corons Saint-Joseph et la cité moderne du Godion ont été classées le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.

Fosse no 9 des mines de l'Escarpelle
Fosse no 9 des mines de l'Escarpelle

La fosse no 9 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Roost-Warendin. Les travaux commencent en 1909, la fosse est alors prévue pour l'aérage des fosses nos 1 et 3, mais la Première Guerre mondiale commence alors que les installations ne sont pas encore fonctionnelles. La fosse est reconstruite après la guerre, et elle assure l'extraction. Des cités sont construites à proximité de la fosse. Après la nationalisation, la fosse est modernisée à partir de 1955, elle devient alors siège de concentration. Un lavoir est construit en 1955, puis arrêté en 1968, les produits sont alors envoyés vers celui de la fosse Barrois à Pecquencourt. Une seconde modernisation a lieu en 1975, la machine d'extraction est remplacée par une poulie Koepe provenant de la fosse no 13 - 13 bis du Groupe de Béthune, à l'arrêt depuis 1972. Le chevalement du puits no 13 est installé par-dessus celui du puits no 9. La fosse cesse d'extraire le 26 octobre 1990, date à laquelle ferme également la fosse no 10, devenue puits d'aérage. La fosse no 9 est la dernière à fermer dans le Nord, après les concentrations d'Arenberg et Ledoux, et l'avant dernière à fermer dans la région. Le puits est remblayé en 1991, les installations de surfaces détruites la même année. Il ne reste plus que le bâtiment des bureaux, et le chevalement provenant du puits no 13, celui du no 9 ayant été détruit. Le carreau de fosse est au début du XXIe siècle peu à peu reconverti en zone industrielle. Les terrils nos 136, 136A et 138, après avoir été partiellement exploités, ont été ouverts au public et sont devenus des espaces naturels. Les cités ont été rénovées. Le chevalement est inscrit aux monuments historiques le 25 novembre 2009. Le chevalement du puits no 9 et la cité moderne de la Belleforière ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.