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Rue Audrey Hepburn

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Jette.bruss.2
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La rue Audrey Hepburn (en néerlandais : Audrey Hepburnstraat) est une rue du quartier des Jardins de Jette à Jette.

Extrait de l'article de Wikipedia Rue Audrey Hepburn (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Rue Audrey Hepburn
Rue Audrey Hepburn,

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.890603 ° E 4.312904 °
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Adresse

Rue Audrey Hepburn 11
1090
Belgique
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Jette.bruss.2
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Réserve naturelle du Poelbosch
Réserve naturelle du Poelbosch

La réserve naturelle du Poelbosch,, ou réserve naturelle du Poelbos est un ensemble champêtre et forestier situé au nord de Bruxelles, à cheval sur les communes de Jette et Ganshoren. Il fait partie du parc Roi Baudouin .Délimitée par le Ring ouest au nord, l'avenue de l'Exposition à l'est et la ligne de chemin de fer Bruxelles-Asse au sud, la réserve totalise une superficie de plus de 120 hectares et constitue un véritable "poumon vert" dans la capitale. Lieu de promenade par excellence traversé par la vallée du Molenbeek, on y observe un nombre inattendu d'espèces animales sauvages et domestiques, en particulier des oiseaux. Certains reptiles et amphibiens comme la couleuvre à collier (Natrix natrix) y ont aussi été aperçues. La tortue aquatique est très présente également, notamment le long de la voie ferrée dans la zone marécageuse appelée le "Marais de Jette" (le point de vue aménagé avec tour d'observation ne sont provisoirement plus accessibles pour cause de vandalisme). Le bois du Laerbeek attenant, aux espèces végétales multiples, recèle les vestiges d'une ancienne carrière de grès calcaire ayant servi à la construction entre autres de l'abbaye de Dieleghem toute proche et des remparts historiques de la ville de Bruxelles, dont on peut encore admirer des vestiges telle la tour Anneessens. Le site de la carrière est maintenant comblé d'eau et est devenu le refuge des batraciens, oiseaux pêcheurs et aquatiques. Au cœur du Poelbosch et à proximité de l'hôpital U.Z. de Jette, se trouve la Ferme de Enfants, ancien site rural converti en ferme didactique où parents et enfants peuvent venir découvrir (ou redécouvrir) les méthodes de la vie d'antan telles que l'exploitation du bétail, des ruches, ou encore la fabrication du pain traditionnel cuit sur la pierre. On trouve aussi au Poelbosch les vestiges d'une ancienne "villa romana", villa gallo-romaine, dont le tracé reste visible au sol, délimité par une barricade d'un côté et un talus de l'autre.

Abbaye de Dieleghem
Abbaye de Dieleghem

L'abbaye de Dieleghem fut d'abord un prieuré fondé par les Chanoines réguliers de saint Augustin en 1095, élevé en abbaye en 1106. Située à l'origine à Wolvertem, en Belgique, dans le Brabant flamand, la communauté monastique se serait choisi ensuite un autre lieu, Dieleghem dans l'actuel commune de Jette, dans la région de Bruxelles-Capitale. À partir de 1140 ou 1210 (selon la source), l'abbaye fut rattachée à l'ordre des Prémontrés. Dès le XIVe siècle, l’abbé de Dieleghem fut membre des États de Brabant, puis en 1532, mitré, il obtint certains privilèges épiscopaux. En 1578, en pleine guerre de religions, l’abbaye fut investie par les Brabançons en révolte contre la politique répressive de Philippe II d'Espagne. Elle mettra longtemps avant de se relever. Elle s'est alors lancée dans de nouveaux travaux somptuaires, dans le style baroque. Mais arrivent les guerres d’expansion incessantes que mène Louis XIV qui causent troubles et désolation. L’abbaye est ravagée. Au XVIIIe siècle, les abbés de Dieleghem se sont lancés dans d’importants travaux d’agrandissement et d’embellissement de leurs bâtiments sous la houlette de l’architecte Laurent-Benoît Dewez. Ces travaux furent réduits à néant par l’annexion des Pays-Bas autrichiens à la France le 1er octobre 1795. L'abbaye fut supprimée par la loi du 1er septembre 1796 qui supprimait tous les ordres et congrégations religieuses. Les moines de Dieleghem furent chassés, les propriétés de l’abbaye furent mises en vente publique, avec obligation de démolir les principaux édifices comme l'église. Seuls ont survécu le porche d’entrée, une partie de la clôture et la demeure abbatiale.