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Mémorial de Vimy

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Le Mémorial national du Canada à Vimy honore la mémoire des soldats canadiens morts en France pendant la Première Guerre mondiale. Le monument est situé sur la crête de Vimy (Pas-de-Calais) où s'est déroulée la bataille homonyme durant laquelle de nombreux soldats canadiens ont perdu la vie. Sur les 66 000 tués du corps expéditionnaire canadien, 11 285 ont été portés disparus. Leurs noms sont inscrits sur le mémorial même. Le site, géré par Anciens Combattants Canada, appartient au Canada car, en 1922, le gouvernement français a offert au gouvernement canadien le terrain d'assise du mémorial ainsi qu'une centaine d'hectares, sur la commune de Vimy et sur les bans de deux communes limitrophes. Cette donation de parcelles françaises à un gouvernement étranger est un événement très rare et a été faite avec exemption de taxes à perpétuité.

Extrait de l'article de Wikipedia Mémorial de Vimy (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Mémorial de Vimy
Chemin des Canadiens, Lens

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.379444444444 ° E 2.7736111111111 °
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Adresse

Monument Commémoratif du Canada à Vimy (vimy ridge)

Chemin des Canadiens
62580 Lens
Hauts-de-France, France
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Site web
veterans.gc.ca

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Fosse no 6 - 6 bis des mines de Liévin
Fosse no 6 - 6 bis des mines de Liévin

La fosse no 6 - 6 bis dite du Transvaal de la Compagnie des mines de Liévin est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Angres. Les deux puits sont commencés en 1904 au sud-ouest de la concession. La fosse entre en activité en 1907, elle est détruite durant la Première Guerre mondiale. De vastes cités sont construites au nord et à l'ouest de la fosse. Le terril no 75, Pinchonvalles, est édifié à l'est de la fosse. La Compagnie des mines de Liévin est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe de Liévin. En 1952, ce dernier fusionne avec le Groupe de Lens pour former le Groupe de Lens-Liévin. La fosse est alors transformée afin de devenir, comme la fosse no 7 - 7 bis, un siège de concentration. Les cités sont étendues par la construction de Camus hauts. Entre 1955 et 1956, la fosse no 6 - 6 bis concentre l'exploitation des fosses nos 1 - 1 bis - 1 ter, 5 - 5 bis et 3 - 3 bis - 3 ter. La fosse no 6 - 6 bis cesse d'extraire en 1971, malgré un gisement encore important. Le chevalement et la machine d'extraction du puits no 6 bis sont démontés en 1976 et réinstallés au puits no 15 de la fosse no 3 - 15. Le faux-carré est laissé sur place, et doté d'un treuil et de petites molettes afin de permettre l'entretien du puits. La fosse assure ensuite l'aérage de la fosse no 7 - 7 bis jusqu'en 1984, date à laquelle les puits sont remblayés. Le faux-carré du puits no 6 bis et le chevalement du puits no 6 sont détruits cinq ans plus tard. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 6 et 6 bis. De nombreux bâtiments de la fosse ont été conservés, et sont utilisés par des entreprises. Le terril Pinchonvalles est un des terrils les plus connus du bassin minier, et un espace naturel majeur. Les habitations construites par la compagnie ont été rénovées, alors que les Camus-hauts sont détruites dans les années 2000. Le dernier est détruit le 19 février 2011. Le terril n° 75 a été classé le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.