place

Hénin-Beaumont

Aire d'attraction de Lens - LiévinAncienne commune minière du bassin minier du Nord-Pas-de-CalaisArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec une section vide ou incomplète
Article contenant un appel à traduction en anglaisArticle contenant un appel à traduction en ukrainienArticle de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle manquant de références/Liste complèteArticle manquant de références depuis octobre 2022Article utilisant une InfoboxArticle à mettre à jourArticle à référence nécessaireCommune dans le Pas-de-CalaisHénin-BeaumontPage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à la géographiePage pointant vers des bases relatives à la musiquePage pointant vers des bases relatives à plusieurs domainesPage pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistesUnité urbaine de Douai - LensVille décorée de la croix de guerre 1914-1918 dans le Pas-de-Calais
Mairie Henin Beaumont
Mairie Henin Beaumont

Hénin-Beaumont est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. La commune résulte de la fusion d'Hénin-Liétard et de Beaumont-en-Artois en 1971. Peuplée en 2021 de 26 035 habitants, c'est la 6e ville du département et la 24e de la région. Hénin-Beaumont est le siège de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes, soit 126 840 habitants en 2021, mais est directement sous l'influence des villes de Lens et Douai, entre lesquelles elle est située, appartenant ainsi à l'unité urbaine de Douai-Lens, agglomération de 67 communes formant le pôle urbain de l'aire urbaine de Douai-Lens, duquel elle est l'une des quatre villes-centres. Avec sept charbonnages sur son territoire, quelques terrils et plusieurs centaines de maisons des mines, la commune conserve d'importantes traces de son passé industriel (cf. époque contemporaine).

Extrait de l'article de Wikipedia Hénin-Beaumont (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Hénin-Beaumont
Avenue Brigitte Bardot, Lens

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Hénin-BeaumontContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.4216666667 ° E 2.95083333333 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Avenue Brigitte Bardot
62110 Lens, Quartier Nord-Ouest
Hauts-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Mairie Henin Beaumont
Mairie Henin Beaumont
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Fosse no 3 - 3 bis des mines de Dourges
Fosse no 3 - 3 bis des mines de Dourges

La fosse no 3 - 3 bis dite Louis-Georges Mulot de la Compagnie des mines de Dourges est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Hénin-Beaumont. La fosse est détruite durant la Première Guerre mondiale. La fosse no 2, ensuite renommée no 3, est commencée en 1857 ou septembre 1858 près de la ligne de Lens à Ostricourt alors en construction. La fosse commence à extraire en 1861. Des habitations sont bâties à proximité. Le puits no 3 bis, également nommé Mulot no 2, est commencé en 1892, cent mètres à l'ouest du premier puits. Les terrils nos 85 et 89 sont édifiés au sud-ouest et à l'ouest du carreau de fosse. La fosse est détruite durant la Première Guerre mondiale. Elle est alors reconstruite en utilisant en majorité du béton armé. De nouvelles cités sont construites. La Compagnie des mines de Dourges est nationalisée en 1946, et la fosse no 3 - 3 bis intègre le Groupe d'Hénin-Liétard. Le criblage est fermé en 1954, et la fosse ferme en 1955 à la suite de sa concentration sur la fosse no 2 - 2 bis. Les puits sont remblayés deux ans plus tard. Le chevalement en béton armé du puits no 3 bis est détruit en 1983. Le terril conique no 85 est exploité, il n'en subsiste que sa base. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 3 et 3 bis. Une partie des cités a été rénovée, l'autre détruite. Les terrils sont devenus des espaces de promenade. Le déménagement en 2007 de l'entreprise Benalu sur le carreau de la fosse no 3 - 3 bis - 3 ter des mines de Liévin à Éleu-dit-Leauwette entraîne la démolition en 2008 du bâtiment des ventilateurs, du bâtiment de la machine d'extraction du puits no 3, et des bains-douches. Le carreau de fosse est devenu une friche, il ne reste plus que la salle de paye.

Fosse no 2 - 2 bis des mines de Dourges
Fosse no 2 - 2 bis des mines de Dourges

La fosse no 2 - 2 bis dite Sainte-Henriette de la Compagnie des mines de Dourges est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Hénin-Beaumont. La fosse no 1 est commencée en juillet 1850, par une méthode de fonçage originale, mais des venus d'eau trop forte ont cassé le cuvelage, et le puits a été ensablé. La fosse no 1 est abandonnée à l'état d'avaleresse en août 1854. Une fosse no 1 bis, plus tard renommée no 2 est entreprise immédiatement après à quarante mètres à l'ouest, et entre en exploitation en mars 1856. La Compagnie de Dourges ouvre ensuite d'autres fosses dans la concession. Des habitations sont bâties près de la fosse. Deux terrils nos 87 et 92 sont édifiés au nord de la fosse. Un puits no 2 bis est ajouté à partir de 1901 à 455 mètres à l'est du puits no 2, et opérationnel en décembre 1905. La fosse est détruite durant la Première Guerre mondiale. Le puits no 2 est reconstruit avec un chevalement en béton armé. La Compagnie des mines de Dourges est nationalisée en 1946, et la fosse no 2 - 2 bis intègre le Groupe d'Hénin-Liétard. La fosse no 2 - 2 bis devient un siège de concentration grâce à sa position centrale, et aux usines situées sur le carreau. Elle concentre l'exploitation des fosses nos 7 - 7 bis en 1948, 6 et 6 bis en 1951, 3 - 3 bis en 1955, et 4 - 4 bis en 1957. Les installations du puits no 2 bis sont modernisées. La cokerie ferme en 1958. Le lavoir cesse son activité en 1962. le puits no 2 est remblayé en 1967, la fosse ferme en 1970, et le puits no 2 bis est remblayé l'année suivante. Son chevalement est détruit en 1974, celui du puits no 2 l'est dix ans plus tard. Le sommet du terril no 92 est exploité. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 2 et 2 bis. Les cités ont été rénovées. Les terrils sont des espaces naturels. Les bureaux sont détruits en 2011, il ne subsiste plus que la salle des machines du puits no 2 bis. Le site pourrait accueillir le Réseau Express Grand Lille. L'église et son presbytère sont inscrits aux monuments historiques le 25 novembre 2009. La cité-jardin Foch, les cités-jardins Bruno ancienne et nouvelle, l'église Saint-Stanislas, le presbytère, l'école, la salle des fêtes, ainsi que les terrils nos 87 et 92, ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.