place

La Glacerie

Ancienne commune dans la MancheArticle avec modèle Graphique population d'article de commune de FranceArticle avec modèle Introduction population d'article de commune de FranceArticle avec modèle Tableau population d'article de commune de FranceArticle avec une section vide ou incomplète
Article de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle n'ayant pas de Modèle:Données évolution population de commune de FranceArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxArticle à référence nécessaireCherbourg-en-CotentinCommune déléguée dans la ManchePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à la géographieVille titulaire de la croix de guerre 1939-1945
Hippodrome de La Glacerie
Hippodrome de La Glacerie

La Glacerie est une ancienne commune française, aujourd'hui commune déléguée, du département de la Manche et la région Normandie, peuplée de 5 916 habitants. Elle avait été créée le 28 mars 1901 par démembrement du territoire de la commune de Tourlaville et avait pris le nom de la manufacture royale des glaces créée au XVIIe siècle. Le 8 septembre 2015, les cinq conseils municipaux de Cherbourg-Octeville, Équeurdreville-Hainneville, La Glacerie, Querqueville et Tourlaville votent la fusion de leurs communes respectives ; la nouvelle commune prend après cette fusion le 1er janvier 2016, le nom de Cherbourg-en-Cotentin.

Extrait de l'article de Wikipedia La Glacerie (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

La Glacerie
West 4th Street, Los Angeles Downtown

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: La GlacerieContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.614167 ° E -1.604167 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Pershing Square Entrance

West 4th Street
90071 Los Angeles, Downtown
California, United States
mapOuvrir sur Google Maps

Hippodrome de La Glacerie
Hippodrome de La Glacerie
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Bombardement de Cherbourg
Bombardement de Cherbourg

Le bombardement de Cherbourg a eu lieu le 25 juin 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque des navires de la marine américaine et de la Royal Navy britannique ont attaqué les fortifications allemandes dans et autour de la ville et du port militaire de Cherbourg, tirant en soutien des unités de l'armée américaine qui étaient engagées dans la bataille de Cherbourg. Ce faisant, les forces navales alliées se sont engagées dans une série de duels avec les batteries côtières et ont fourni un soutien rapproché à l'infanterie qui luttait pour prendre le contrôle de la ville. Le bombardement devait initialement durer deux heures mais il a été prolongé d'une heure pour soutenir les unités de l'armée de terre qui tentaient de pénétrer dans les rues de Cherbourg. Après le bombardement, la résistance allemande a duré jusqu'au 29 juin, date à laquelle le port a finalement été capturé par les Alliés. Par la suite, la tâche consistant à nettoyer le port pour qu'il puisse être utilisé a duré plusieurs semaines. Lorsque les Alliés ont réussi à sécuriser une tête de pont après le débarquement de Normandie, les Allemands ont adopté une stratégie consistant à refouler les forces alliées en Normandie et à leur refuser le contrôle de Cherbourg, le principal port à proximité des plages pour les priver de tout approvisionnement. À la mi-juin, l'infanterie américaine avait coupé la péninsule du Cotentin, mais son avance s'était arrêtée et les Allemands commencèrent à démolir les installations du port. En réponse, les Alliés renouvelèrent leurs efforts pour s'emparer de la ville, et le 20 juin, trois divisions d'infanterie sous les ordres du général Joseph Lawton Collins avaient avancé à moins de deux kilomètres des lignes allemandes défendant Cherbourg. Deux jours plus tard, l'assaut général commença et le 25 juin, une importante force opérationnelle navale entreprit un bombardement concentré de la ville pour aider à neutraliser la menace de l'artillerie côtière allemande et pour fournir un soutien à l'infanterie d'assaut. La force d'intervention a été divisée en deux groupes, chacun composé de divers navires de guerre, notamment des cuirassés, des croiseurs, des destroyers et des dragueurs de mines. Chaque navire se voyait attribuer une série de cibles à l'intérieur des terres avec l'ordre de se battre en duel avec les batteries qui les engageaient. Les tirs allemands étaient précis jusqu'à 14 000 mètres, et dans certains cas, ils ont été capables d'encadrer et toucher les navires alliés. Après le combat, les rapports alliés ont été convenus que l'aspect le plus efficace du bombardement était le feu fourni par les petits navires. Sous la direction des observateurs de l'armée, ces navires ont pu engager des cibles ponctuelles jusqu'à 1 800 m à l'intérieur des terres, ce qui s'est avéré inestimable pour fournir un soutien rapproché à l'infanterie alliée qui donnait l'assaut. En revanche, si les canons lourds de la force ont neutralisé 22 des 24 cibles qui leur étaient assignées, ils n'ont pu en détruire aucune et, par conséquent, les assauts de l'infanterie ont été nécessaires pour s'assurer que les canons ne puissent pas être réactivés.