place

Doue

Aire d'attraction de ParisArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec modèle Section communes limitrophes d'article de commune de France avec tableauArticle avec une section vide ou incomplète
Article de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxArticle à référence nécessaireCommune en Seine-et-MarnePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à la géographiePage pointant vers des bases relatives à plusieurs domainesPopulation de 2016 en infobox
Doue
Doue

Doue est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Extrait de l'article de Wikipedia Doue (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Doue
Rue Madame Renoux Prieux, Provins

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: DoueContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.8656 ° E 3.1647 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue Madame Renoux Prieux

Rue Madame Renoux Prieux
77510 Provins
Île-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Doue
Doue
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Cryptes de Jouarre
Cryptes de Jouarre

Les cryptes de Jouarre sont des mausolées pour les fondateurs de l'abbaye Notre-Dame de Jouarre et leurs proches, dans la commune de Jouarre, dans le département de Seine-et-Marne. La crypte Saint-Paul est un mausolée collectif pour des membres de la famille fondatrice de l'abbaye, ainsi que sainte Osanne, tandis que la crypte Saint-Ébrégésile était réservée à la dépouille du saint éponyme, évêque de Meaux vers la fin du VIIe siècle. La construction des cryptes remonte en effet au VIIe siècle, mais elles ont connu de nombreuses évolutions et remaniements qui rendent leur lecture difficile. Si les colonnes en marbre noir proviennent de constructions démantelées plus anciennes, les chapiteaux sont en partie mérovingiens, et en partie romans, et les voûtes sont romanes. La première crypte, la plus grande, se situe au nord, et dispose d'une entrée côté ouest ; la deuxième crypte, moitié plus petite, lui est contigüe au sud. Les deux espaces communiquent entre eux depuis 1640. La crypte Saint-Ébrégésile était ouverte, à l'ouest, sur l'église cémétériale Saint-Paul, qui s'étendait jusqu'au chevet de l'église paroissiale. Détruite lors de la guerre de Cent Ans, ses dernières traces en élévation ont été supprimées lors de l'alignement des murs occidentaux des deux cryptes au XVIIe siècle. Plusieurs sépultures sont devenues des cénotaphes depuis la translation des reliques dans des châsses. Celles-ci sont abritées dans l'église paroissiale. L'ensemble est classé au titre des monuments historiques par la première liste de 1840.

Ancienne église Saint-Denys de Coulommiers
Ancienne église Saint-Denys de Coulommiers

L'ancienne église Saint-Denys était un lieu de culte catholique de la ville de Coulommiers, dans le département de Seine-et-Marne et le diocèse de Meaux. Successivement église collégiale puis paroissiale, elle répond aux besoins du culte durant plusieurs siècles mais est finalement considérée comme trop petite et surtout trop vétuste au début du XVIe siècle. Le 7 décembre 1516, l'effondrement partiel des voûtes du chœur décide les autorités ecclésiastiques à entamer de profondes modifications de sa structure. Le clocher, couvert jusqu'alors d'une simple flèche en bois, est surhaussé d'un étage. Le poids de la tour sur les piliers va dès lors commencer à faire fléchir le clocher, qui lentement mais inexorablement va se mettre à pencher dangereusement. En 1882, la municipalité décide d'abattre la partie supérieure du clocher, dont des pierres se détachaient régulièrement, faisant craindre pour la sécurité des passants, des habitants du voisinage autant que des fidèles. Le reste de l'édifice n'étant guère en meilleur état, la construction d'une nouvelle église (Saint-Denys-Sainte-Foy) est décidée à l'emplacement de l'ancien cimetière et confiée à Émile Brunet, Architecte en chef des Monuments historiques. La consécration de la nouvelle église le 16 juillet 1911 scelle le destin de l'antique sanctuaire, désaffecté puis menacé de démolition pour des raisons financières. Malgré la mobilisation d'une partie des habitants et du comité des Monuments historiques, la décision de détruire l'ancienne église est finalement votée par le conseil municipal. Les travaux de démolition débutent en 1968. Quelques vestiges (chapiteaux, statues) sauvés in extremis par des particuliers sont conservés à la Commanderie des Templiers de Coulommiers et au musée municipal des Capucins.