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Épiais-Rhus

Aire d'attraction de ParisArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec une section vide ou incomplèteArticle contenant un lien mort
Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxArticle à référence nécessaireCommune dans le Val-d'OiseCommune du parc naturel du Vexin françaisPage avec des cartes
Épiais Rhus mairie
Épiais Rhus mairie

Épiais-Rhus est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Épiais-Rhussiens.

Extrait de l'article de Wikipedia Épiais-Rhus (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Épiais-Rhus
Chemin de la Vigne à Dupré, Pontoise

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N 49.1167 ° E 2.0667 °
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Adresse

Chemin de la Vigne à Dupré

Chemin de la Vigne à Dupré
95810 Pontoise
Île-de-France, France
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Épiais Rhus mairie
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Lieux à proximité

Église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers
Église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers

L'église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers est une église catholique paroissiale située à Livilliers, en France. La chapelle de Livilliers fut donnée à l'abbaye Saint-Martin de Pontoise avant 1150, et elle est érigée en église paroissiale en 1175. Peu de temps après, débute la construction de l'édifice actuel, en intégrant le clocher roman préexistant. En dépit de ses dimensions modestes, le maître d'œuvre de l'église de Livilliers adopte, pour la nef, une élévation à trois niveaux inspirée de Notre-Dame de Paris. C'est donc la plus petite église de la région a présenter un faux triforium au-dessus des grandes arcades. En revanche, le chœur se limite à une seule travée terminée par un chevet plat, éclairé par une baie à deux lancettes analogue aux arcades du triforium simulé. On peut ajouter au chœur liturgique la travée sous le clocher central, reprise en sous-œuvre vers la fin du XVIIe siècle, quand l'étage de beffroi est également reconstruit. Des chapelles à deux travées flanquent la base du clocher et le chœur de chaque côté. Des doutes pèsent sur le voûtement ou non des bas-côtés de la nef au moment de leur construction. Inachevées ou effondrées, ces voûtes sont absentes depuis plusieurs siècles tout au moins. En 1560 et 1563, des marchés sont conclus avec le maître-maçon Garnot Gerbault, de Pontoise, pour reconstruire le bas-côté nord, avec voûtes d'ogives, et notamment construire un porche devant le portail latéral de la troisième travée du bas-côté nord. Cette œuvre de la Renaissance constitue certainement l'exemplaire le plus abouti dans son genre dans le Vexin français, où ce courant architectural a laissé beaucoup de traces, et fait la réputation de l'église de Livilliers dans l'histoire de l'art. Concernant les parties gothiques, elles sont assez tôt victimes de désordres de structure du fait de l'absence d'arc-boutants. Des dispositifs provisoires sont mis en place par les habitants afin de maintenir la stabilité de la structure, qui remplissent tant bien que mal leur mission, mais les problèmes s'aggravent au XXIe siècle, et l'église est fermée par un arrêté de péril le 11 septembre 2014. L'église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers est classée monument historique par arrêté du 12 juin 1936, ce qui permet à la commune de solliciter des subventions de l'État. La municipalité avait déjà commandé un diagnostic l'année précédente, et engage deux importantes campagnes de restauration entre 2017 et fin 2019. Dès le 23 janvier 2020, l'église peut rouvrir, mais la paroisse de Pontoise, dont elle dépend, n'a pas repris la célébration d'offices réguliers.

Église Saint-Martin de Cormeilles-en-Vexin
Église Saint-Martin de Cormeilles-en-Vexin

L'église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Cormeilles-en-Vexin, dans le parc naturel régional du Vexin français en France. Elle se compose de deux parties bien distinctes séparées par le transept qui porte en même temps le clocher central. La nef est de style roman, et ses grandes arcades retombent sur des chapiteaux très archaïques. Pour la plupart des auteurs, ils permettent une datation pour le dernier quart du XIe siècle, mais certains estiment le début du XIIe siècle plus probable. En tout cas, c'est l'une des plus anciennes nefs conservées dans le département. Environ un siècle après sa construction, elle a été voûtée d'ogives. Le transept est contemporain de la nef et conserve deux voûtes en berceau et une voûte d'arêtes d'origine, ce qui est rare dans la région. Ses peintures murales du XIVe siècle sont également intéressants. Le chœur a été entièrement reconstruit au milieu du règne de saint Louis et montre une élévation ambitieuse sur trois niveaux, avec triforium. Influencé par la basilique Saint-Denis, il est tout à fait représentatif de l'architecture parisienne de l'époque. L'étage des fenêtres hautes n'a toutefois été construit ou achevé qu'au XVIe siècle. En raison d'arcs-boutants défectueux, les voûtes du chœur menacent de s'effondrer vers 1970 et le chœur doit être étayé pendant trente-cinq ans en attendant sa restauration. Celle-ci a été achevée en 2008 et l'ensemble de l'église se présente aujourd'hui dans un excellent état. Elle est classée monument historique depuis 1911.

Église Saint-Martin de Vallangoujard
Église Saint-Martin de Vallangoujard

L’église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Vallangoujard, dans le Val-d'Oise (France). Située sur un éperon rocheux au centre du village, au carrefour des routes départementales 927 et 64, elle domine la vallée du Sausseron. L'édifice de la seconde moitié du XIIe siècle et du début du XIIIe siècle se compose d'une nef de deux travées ; de la base du clocher ; et d'un chœur à chevet plat. L'unique bas-côté, au sud, a été reconstruit au XVIIIe siècle. À l'extérieur, le portail gothique du XIIIe siècle est remarquable, et l'élévation nord de la nef reste très proche de son état d'origine. Elle est épaulée par des contreforts à ressauts caractéristiques du style gothique primitif, et des oculi tiennent lieu de fenêtres hautes. La comparaison de cette élévation avec l'espace intérieur, où chaque travée possède de grandes arcades malgré l'absence d'un bas-côté au nord, soulève la question du projet du début du XIIIe siècle : soit la mise en œuvre des bas-côtés était reportée à une date ultérieure, ce qui explique les contreforts ordinaires pour l'époque ; soit les bas-côtés devaient être construits à l'économique, à l'instar du bas-côté du XVIIIe siècle. Cette solution cadre mal avec l'ambition de l'architecture, qui va au-delà d'une petite église rustique : l'élévation comporte un petit étage de fenêtres hautes ; les grandes arcades sont moulurées et retombent sur des colonnettes à chapiteaux ; le vaisseau central est voûté d'ogives dès l'origine ; la sculpture de la plupart des chapiteaux est d'un bon niveau ; et l'ornementation ne fait pas entièrement défaut. Le chœur carré est en revanche d'une plus grande simplicité, mais présente la particularité d'un double arc-doubleau à son entrée, et les chapiteaux au nord sont encore proches du style roman. L'église, à l'exception du bas-côté et de la sacristie, a été classée monument historique par arrêté du 2 avril 1915.