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Édifice Aldred

Architecture Art déco au CanadaArticle contenant un appel à traduction en anglaisArticle géolocalisé au CanadaArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant une Infobox
Bâtiment de Barott et BlackaderGratte-ciel construit en 1931Gratte-ciel à MontréalPage avec des cartesVieux-Montréal
J47794 20120709 142116 EdificeAldred Place d'Armes
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L'Édifice Aldred est l'un des premiers gratte-ciel modernes montréalais. Il est situé aux abords de la place d'Armes, entre les rues Saint-Jacques et Notre-Dame, dans le Vieux-Montréal. Sur cet emplacement s'élevaient auparavant l'immeuble de la Banque Jacques-Cartier et la librairie Granger et Frères. Aussi connu sous le nom d'Édifice de la Prévoyance, il s'élève à 90 mètres, totalisant 23 étages. Il a été construit de 1929 à 1931. Cet édifice a été conçu par l'architecte Ernest Isbell Barott de la firme Barott & Blackader, au compte de la société financière Aldred, liée à la Shawinigan Water and Power Company et nommé en l'honneur de son fondateur John Edward Aldred. Le bâtiment aux étages en retrait est de style « ziggourat ». Il est situé dans les secteurs protégés de l'arrondissement historique de Montréal (provincial) et le secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle du Vieux-Montréal (municipal).

Extrait de l'article de Wikipedia Édifice Aldred (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Édifice Aldred
Place d'Armes, Montréal Ville-Marie

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.5052 ° E -73.5568 °
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Adresse

SAQ

Place d'Armes 501
H2Y 2W7 Montréal, Ville-Marie
Québec, Canada
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Lieux à proximité

Consulat général des États-Unis à Montréal

La première Agence consulaire américaine à Montréal fut inaugurée le 29 mai 1854 par l'Agent consulaire Canfield Dorwin du Vermont. Le bureau obtint le statut de Consulat général en juillet 1957, lorsque le bureau du consul général des États-Unis dans les provinces britanniques de l'Amérique du Nord fut transféré de Québec à Montréal en reconnaissance de l'importance commerciale croissante de la métropole. À cette époque, près de la moitié des échanges commerciaux entre le Canada et les États-Unis transitaient par le port de Montréal. La province de Québec fut l'hôte de nombreux bureaux et agences consulaires, incluant Coaticook, Gaspé, Rimouski, Saint-Hyacinthe, Sherbrooke et Trois-Rivières. Cependant, la majorité de ces bureaux furent consolidés avant 1915. Aujourd'hui, le gouvernement des États-Unis est représenté au Québec par deux consulats généraux, un à Montréal et l'autre à Québec. La première femme à détenir le poste de consule générale des États-Unis à Montréal fut Elizabeth Harper, en 1973. La première Afro-Américaine à détenir le même poste fut Bernadette Allen, de 2002 à juin 2005. Le consulat général des États-Unis à Montréal a changé d'emplacement plusieurs fois au cours de son histoire. Des années 1950 jusqu'en 1976, le consulat se trouve sur l'avenue du Docteur-Penfield. Puis, de 1976 à 1990, il occupe des bureaux au complexe Desjardins. Depuis 1990, le consulat est situé dans l'immeuble SNC-Lavalin, à l'angle du boulevard René-Lévesque et de la rue Saint-Alexandre.

Banque du peuple
Banque du peuple

La Banque du Peuple est la première banque canadienne-française à voir le jour dans les colonies de l'Amérique du Nord britannique. Elle est fondée à Montréal le 12 février 1835 par Jacob de Witt et la famille Viger, et elle prend d’abord le nom de Viger, De Witt & Cie. Au départ, on présente la banque comme un moyen de faire prospérer la population du Bas-Canada en la dotant de ses propres institutions financières, contrôlées par ses élites économiques. On l'oppose ainsi aux autres banques coloniales comme la Banque de Montréal (1817), la Banque de Québec (1818), la Banque du Canada (1822) et la Banque de la Cité (1833) que les journaux francophones de l’époque présentent comme des outils au service d’une élite de marchands et de bureaucrates anglo-protestants. La Banque du Peuple se veut donc une entreprise bancaire de taille plus modeste, principalement au service des Canadiens français. La Banque du Peuple reste active jusqu’en 1895. Elle fait faillite cette année-là et devient la première banque canadienne-française à fermer ses portes. Elle est généralement associée à la société secrète des Fils de la liberté et au Parti patriote étant donné que plusieurs personnalités importantes de ces deux associations soutiennent ouvertement le développement de la banque dans les années 1830. Quelques membres des Fils de la liberté, dont Thomas Storrow Brown, chef de la division militaire, Jean-Louis Beaudry, vice-président des Fils de la liberté, Rodolphe Desrivières, chef de la sixième section, travaillent également à la Banque du Peuple. Ses fondateurs, Jacob de Witt et Louis-Michel Viger, sont aussi liés au Parti patriote. De Witt, à la fois marchand et député, soutient directement et financièrement le parti. Quant à Louis-Michel Viger, il est cousin et ami de Louis-Joseph Papineau, l'une des figures centrales du Parti patriote.