place

Château d'Hérouville

Architecture du XVIIIe siècle en Île-de-FranceArticle contenant un appel à traduction en italienArticle géolocalisé en FranceArticle manquant de références/Liste complèteArticle manquant de références depuis mars 2017
Article utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxArticle à référence nécessaireChâteau dans le Val-d'OisePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePage pointant vers des bases relatives à la musiqueStudio d'enregistrement en France
Château d'Hérouville
Château d'Hérouville

Le château d'Hérouville est un château du XVIIIe siècle (1740) situé dans le petit village d'Hérouville-en-Vexin, sur la RD 927 reliant Pontoise à Méru, dans le département du Val-d'Oise, en France. Le château est connu pour avoir hébergé un studio d'enregistrement ayant accueilli pendant deux périodes distinctes, à sa grande époque, des musiciens et chanteurs internationaux et français entre 1969 et 1985. Après une période d'abandon, il a été racheté en 2015, réhabilité et a repris son activité de studio d'enregistrement à partir de 2018.

Extrait de l'article de Wikipedia Château d'Hérouville (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Château d'Hérouville
Rue Paul Bagnard, Pontoise

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Château d'HérouvilleContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.10166667 ° E 2.13305556 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Studio A

Rue Paul Bagnard
95300 Pontoise
Île-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Château d'Hérouville
Château d'Hérouville
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Église Saint-Clair d'Hérouville
Église Saint-Clair d'Hérouville

L'église Saint-Clair est une église catholique paroissiale située à Hérouville-en-Vexin, en France. De première vue, il semble s'agir d'un édifice homogène du XVe siècle. Effectivement, les élévations latérales, le mur du chevet, le clocher et la charpente de la toiture ont été construits pendant une seule campagne de 1443 à 1468 environ. Mais à l'intérieur, le chœur est encore presque roman, et la nef en grande partie gothique primitif. L'on y trouve quelques intéressants chapiteaux du XVe siècle qui remplacent des pièces manquantes, mais aussi les témoignages de nombreux compromis qui résultent des contraintes économiques, et qui paraissent souvent maladroits. La cohabitation d'éléments de différentes époques dans une même partie de l'édifice est caractéristique de nombreuses églises rurales du Vexin, et l'église Saint-Clair en est un bon exemple. Elle montre surtout comment la reconstruction d'une église se faisait au milieu du XVe siècle, avant la fin définitive de la guerre de Cent Ans et pendant les années encore difficiles qui suivent, quand les conditions d'une reconstruction ne sont pas encore réunies dans la plupart des villages. À l'extérieur, le portail occidental a servi d'exemple à plusieurs autres églises du Vexin, et l'ancien portail de la chapelle baptismale est un chef-d'œuvre de l'art gothique flamboyant dans le Vexin français. En plus de ces détails, c'est le clocher qui fait l'attrait de l'église. Considéré souvent comme le plus ancien clocher flamboyant du Vexin, il ne reflète que très peu le style de son époque, et constitue probablement une reproduction du clocher primitif, achevé après le milieu du XIIe siècle et détruit par les Anglais en 1435. Cette reconstitution approximative, en faisant appel à un langage architectural d'une époque tout à fait différente, est un cas rare dans l'histoire de l'architecture avant le XIXe siècle. L'église est classée monument historique depuis 1915.

Église Saint-Martin de Labbeville
Église Saint-Martin de Labbeville

L’église Saint-Martin est une église catholique paroissiale située à Labbeville, dans le Val-d'Oise (France). Elle se compose d'une nef recouverte d'une remarquable charpente lambrissée du XVIe siècle ; d'un bas-côté nord muni d'une fausse voûte en berceau ; et de cinq travées orientales voûtées d'ogives, réparties sur deux vaisseaux. L'église est attestée pour la première fois en 1066. Le plan de la nef primitivement dépourvue de bas-côtés pourrait remonter à cette époque. Sinon, l'église actuelle est surtout le résultat de plusieurs campagnes de construction rapprochés à la fin de la période romane et au début de la période gothique, autour du milieu du XIIe siècle. Dans un premier temps, la nef est munie de bas-côtés, et le transept est rebâti. Seul le bas-côté nord subsiste depuis l'incendie de 1821, et le croisillon nord a été remanié quelques décennies après sa construction lors de l'adjonction de la chapelle de la Vierge à l'est. La croisée du transept a perdu son caractère roman ou gothique primitif lors du remaniement des supports de la voûte après la guerre de Cent Ans. Mieux conservée est la dernière travée du chœur, qui fut ajoutée à la même époque que la chapelle de la Vierge, comme le montrent ses chapiteaux romans, et la corniche et les contreforts du chevet, également romans. Au XIIIe siècle, le chevet est pourvu d'une vaste fenêtre au réseau rayonnant, et la façade occidentale reçoit une grande rosace et un nouveau portail. Celui-ci est mutilé par une restauration néo-classique, et abrité sous un porche de 1811. Le clocher latéral date seulement de 1862, et remplace le clocher roman bâti au-dessus du croisillon sud, détruits par l'incendie de 1821. Des constructions annexes cachent les élévations latérales du chœur, et pour cette raison et les divers remaniements effectués au fil des siècles, le caractère roman de l'édifice n'est plus guère visible à l'extérieur de l'édifice. L'église Saint-Martin a été inscrite aux monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926, et bénéficié de travaux de restauration au cours des années 1980. Elle fait aujourd'hui partie de la paroisse de Nesles-la-Vallée, et n'accueille des messes dominicales qu'à titre occasionnel.

Église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers
Église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers

L'église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers est une église catholique paroissiale située à Livilliers, en France. La chapelle de Livilliers fut donnée à l'abbaye Saint-Martin de Pontoise avant 1150, et elle est érigée en église paroissiale en 1175. Peu de temps après, débute la construction de l'édifice actuel, en intégrant le clocher roman préexistant. En dépit de ses dimensions modestes, le maître d'œuvre de l'église de Livilliers adopte, pour la nef, une élévation à trois niveaux inspirée de Notre-Dame de Paris. C'est donc la plus petite église de la région a présenter un faux triforium au-dessus des grandes arcades. En revanche, le chœur se limite à une seule travée terminée par un chevet plat, éclairé par une baie à deux lancettes analogue aux arcades du triforium simulé. On peut ajouter au chœur liturgique la travée sous le clocher central, reprise en sous-œuvre vers la fin du XVIIe siècle, quand l'étage de beffroi est également reconstruit. Des chapelles à deux travées flanquent la base du clocher et le chœur de chaque côté. Des doutes pèsent sur le voûtement ou non des bas-côtés de la nef au moment de leur construction. Inachevées ou effondrées, ces voûtes sont absentes depuis plusieurs siècles tout au moins. En 1560 et 1563, des marchés sont conclus avec le maître-maçon Garnot Gerbault, de Pontoise, pour reconstruire le bas-côté nord, avec voûtes d'ogives, et notamment construire un porche devant le portail latéral de la troisième travée du bas-côté nord. Cette œuvre de la Renaissance constitue certainement l'exemplaire le plus abouti dans son genre dans le Vexin français, où ce courant architectural a laissé beaucoup de traces, et fait la réputation de l'église de Livilliers dans l'histoire de l'art. Concernant les parties gothiques, elles sont assez tôt victimes de désordres de structure du fait de l'absence d'arc-boutants. Des dispositifs provisoires sont mis en place par les habitants afin de maintenir la stabilité de la structure, qui remplissent tant bien que mal leur mission, mais les problèmes s'aggravent au XXIe siècle, et l'église est fermée par un arrêté de péril le 11 septembre 2014. L'église Notre-Dame-de-la-Nativité-et-Saint-Fiacre de Livilliers est classée monument historique par arrêté du 12 juin 1936, ce qui permet à la commune de solliciter des subventions de l'État. La municipalité avait déjà commandé un diagnostic l'année précédente, et engage deux importantes campagnes de restauration entre 2017 et fin 2019. Dès le 23 janvier 2020, l'église peut rouvrir, mais la paroisse de Pontoise, dont elle dépend, n'a pas repris la célébration d'offices réguliers.