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Tombeau des Rois

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Le tombeau des Rois (en hébreu : קברי המלכי יְהוּדָה ; en arabe : قبور السلاطين) est un ensemble de tombes juives monumentales de Jérusalem, taillées dans le roc et datant de la période du Second Temple. Il est situé au 46 rue Saladin (Salah Ad-din), à Jérusalem, à 820 m au nord des murs de la vieille ville, près de la porte de Damas dans le quartier de Cheikh Jarrah. Le site appartient au domaine national français en Terre sainte depuis la fin du XIXe siècle, après avoir été offert à la France par la famille Pereire en 1886. Les frères Émile et Issac Pereire l’avaient préalablement acquis en 1878 - une plaque commémorative est conservée dans la cour de la grande synagogue de Paris, la Victoire. Le monument est entièrement creusé dans la roche. Il comprend un escalier monumental, des bains rituels, une cour immense, un vestibule et des salles hypogées qui renferment trente et une tombes. Les grandes dimensions du site ont conduit à la croyance erronée qu'il était le lieu de sépulture des rois de Juda, d'où le nom de tombeau des Rois. Mais les tombes sont maintenant considérées comme étant le tombeau de la reine Hélène d'Adiabène, une région d'Assyrie, ou bien de Ben Kalba Savoua et de Nakdimon [Nicodème] ben Gorion, deux philanthropes connus à l'époque du Second Temple.

Extrait de l'article de Wikipedia Tombeau des Rois (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Tombeau des Rois
צאלח א-דין, Jérusalem Bab a-Zahara

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Latitude Longitude
N 31.78821 ° E 35.22946 °
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المسرح الوطني الفلسطيني / الحكواتي

צאלח א-דין
9119001 Jérusalem, Bab a-Zahara
District de Jérusalem, Israël
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Jérusalem-Est
Jérusalem-Est

Jérusalem-Est (en arabe : Al-Quds ash-Sharqiya ; en hébreu romanisé : Mizraa Yerushalayim) est le secteur de Jérusalem situé à l'Est de la ligne verte (ligne d'armistice du 3 avril 1949), et faisant partie des territoires palestiniens occupés. Conquis et occupé par l'armée israélienne depuis 1967, ce secteur est annexé unilatéralement par Israël en 1980. Selon la loi internationale, Jérusalem-Est est considérée comme une partie de la Cisjordanie et, par conséquent, un territoire occupé,. La communauté internationale considère également les colonies israéliennes de peuplement à Jérusalem-Est comme illégales au regard du droit international,. Jérusalem-Est comprend la vieille ville, d'une superficie restreinte d'environ un kilomètre carré, et abritant de nombreux sites religieux importants pour les trois grandes religions abrahamiques (judaïsme, christianisme et islam), notamment le mont du Temple (avec la mosquée Al-Aqsa), le mur des Lamentations, le dôme du Rocher, l'église du Saint-Sépulcre, etc. En 2020, Jérusalem-Est comptait 595 000 habitants, dont 361 700 (61 %) sont des Palestiniens - plus de 98 % étant musulmans, environ 16 000 étant chrétiens - et 234 000 (39 %) sont des colons israéliens,. Dans le cadre du plan de partage de la Palestine adopté par l'assemblée générale des Nations unies le 29 novembre 1947, Jérusalem est envisagée comme une ville internationale (un corpus separatum). Elle est cependant divisée par la guerre de 1948 qui suit la déclaration d'indépendance de l'État d'Israël. Après les accords d'armistice du 3 avril 1949, la moitié occidentale de la ville passe sous contrôle israélien, tandis que sa moitié orientale, contenant la célèbre vieille ville, passe sous le contrôle de la Jordanie. Puis, à compter du 7 juin 1967, au cours de la guerre des Six Jours de 1967, toute la ville est sous contrôle israélien. Avant sa conquête par les forces armées israéliennes, la superficie totale de Jérusalem-Est était d'environ 6 kilomètres carrés. Enfin, le 30 juillet 1980, le parlement israélien annexe unilatéralement ce secteur, avec le vote de la loi déclarant « Jérusalem unifiée », capitale de l'État d'Israël. L'occupation et l'annexion par Israël depuis le 7 juin 1967 du secteur Est de Jérusalem ont été constamment condamnées par le Conseil de sécurité des Nations unies et par la communauté internationale, à l'exception notable des États-Unis qui se sont abstenus lors du vote des résolutions 476 et 478 du Conseil de sécurité en 1980. Un certain nombre d’États reconnaissent Jérusalem-Est comme capitale de l’État de Palestine, comme l'Argentine, le Brésil, la Chine, la Russie, les 57 membres de l'Organisation de la coopération islamique, tandis que d'autres États (tels que l'Australie, la France, la Finlande et d'autres) considèrent Jérusalem-Est comme la « future capitale de la Palestine », et comme un « territoire occupé ». Les définitions palestiniennes et israéliennes de Jérusalem-Est sont différentes. Pour la partie palestinienne, l'occupation du secteur Est de Jérusalem le 7 juin 1967 est nulle et non avenue, car elle est uniquement le résultat d'un fait de guerre, gagnée par l'armée israélienne. La conquête de Jérusalem-Est n' a donc aucune valeur pour le droit international et les diverses mesures prises par la partie israélienne afin d'augmenter la surface de Jérusalem et d'annexer des villages anciennement sous compétence jordanienne autour de Jérusalem sont nulles et non avenues, de surcroît illégales, étant le fait d'une puissance occupante. Pour la partie israélienne, Jérusalem-Est n'existe plus depuis la décision du 28 juin 1967 prise par le gouvernement israélien, déclarant de façon unilatérale qu'il n'y a plus de secteur Est dans Jérusalem, que le conseil municipal de Jérusalem-Est est dissout et que la municipalité de Jérusalem-Ouest, celle dirigée par Teddy Kollek, maire de Jérusalem-Ouest depuis 1965, est désormais compétente pour l'ensemble de la ville, qui avait été partagée depuis 1948 entre Israéliens et Jordaniens, en deux secteurs : Jérusalem-Ouest avec une superficie d'environ 38 km2 et Jérusalem-Est de 6 km2. La politique de « discriminations systématiques et le régime de ségrégation » imposée par l’État israélien aux habitants palestiniens de Jérusalem-Est constitue un « apartheid » selon la Cour internationale de justice.