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Tombe de Zacharie

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Jerusalem Pyramide de Zacharie
Jerusalem Pyramide de Zacharie

La tombe de Zacharie (en hébreu קבר זכריה) est un monument situé dans la vallée du Cédron à Jérusalem, au pied du cimetière juif du mont des Oliviers. Cette « tombe » est attribuée par le folklore à Zacharie fils du grand prêtre Joad et de Josheba, mort assassiné sous le roi Joas au IXe siècle av. J.-C.

Extrait de l'article de Wikipedia Tombe de Zacharie (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Tombe de Zacharie
scări, Jérusalem سلوان

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Latitude Longitude
N 31.776637889 ° E 35.2391195 °
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Adresse

קבר זכריה

scări
9114001 Jérusalem, سلوان
District de Jérusalem, Israël
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Jerusalem Pyramide de Zacharie
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Tombe de Benei Hezir
Tombe de Benei Hezir

La tombe de Benei Hezir est une tombe creusée dans le roc sur le versant est de la vallée du Cédron à Jérusalem, face au cimetière juif du mont des Oliviers. C'est la plus ancienne des tombes monumentales de la vallée de Cédron; elle date de la période hasmonéenne (fin du IIe ou début du Ier siècle av. J.-C.). Elle doit son nom à l’épitaphe en hébreu inscrite sur l'architrave de la façade donnant les noms de plusieurs membres de la famille des « prêtres fils de Hezir. » Sa façade est de style dorique. Elle possède deux colonnes et deux pilastres (distylos in antis). La frise porte dix triglyphes et neuf métopes surmontés d'une corniche. Le complexe funéraire se compose d'un porche et d'une chambre principale desservant trois autres chambres au nord, à l'est et au sud. Chacune des trois chambres possède plusieurs niches funéraires, ou kokhim. Une quatrième petite chambre possède des arcosolia sur trois côtés, il s'agit de niches surmontées par une arche et avec un espace ménagé pour accueillir un cercueil. Cette chambre à arcosolia est une addition tardive datant du Ier siècle. Des marches relient le côté sud du porche à la « tombe de Zacharie » par un corridor creusé dans le rocher. Côté nord, un escalier descend de la falaise et donne à l'intérieur du porche. Cet escalier débouche environ 2 mètres au-dessus du niveau du sol du porche. Les dernières marches de l'escalier ont pu avoir existé pendant le creusement de la tombe mais avoir été supprimées pour dégager l'espace intérieur du porche une fois la tombe terminée. Côté nord, un monument funéraire sémitique, un nefesh, était accolé à la façade dorique; il est mentionné dans l'inscription. Il n'en subsiste que la fausse entrée dans la partie inférieure et une niche trapézoïdale dans la partie supérieure qui peut être la base d'une fausse fenêtre hexagonale. La partie supérieure du nefesh n'a pas été conservée. Plusieurs reconstructions ont été proposées pour cette partie : soit une forme pyramidale, soit une structure rectangulaire en forme de tour inspirée de l'architecture nabatéenne. Une inscription en hébreu carré sur trois lignes figure au centre de l'architrave. Elle porte des traces de peinture rouge. Elle décrit quatre générations d'une famille de prêtres. L'inscription dit : « Ceci est le tombeau et le nefesh d'Eleazar, Haniah, Yoezer, Yehoudah, Shimon, Yohanan fils de Joseph fils d'Oved, Yosef et Eleazar fils de Haniah prêtres des fils de Hezir » La famille de Hezir est connue dans la Bible hébraïque comme étant la dix-septième garde sacerdotale qui officiait dans le Temple de Jérusalem (I Chroniques 24:15, Néhémie 10:21).

Porte dorée (Jérusalem)
Porte dorée (Jérusalem)

La Porte dorée (שער הרחמים, Sha'ar Harahamim) est la plus ancienne ouverture pratiquée dans les fortifications de la vieille ville de Jérusalem et date probablement du VIe siècle av. J.-C. Appelée aussi porte de la Miséricorde ou encore porte de la Vie éternelle, elle est située au milieu de la muraille Est et c'est la seule qui permet d'accéder directement à l'esplanade de La Mosquée al-Aqsa sur le mont du Temple, de l'extérieur de la ville. Elle aurait été utilisée à des fins rituelles dans les temps bibliques. Selon la tradition juive, c'est par cette porte que le Messie entrera dans Jérusalem. Cette porte fut fermée par Saladin ou Ṣalāḥ ad-Dīn Yūsuf (en arabe : صلاح الدين يوسف). Lorsque Al-Quds (Jérusalem) fut reprise par ce dernier en l'an 1187 après près d'un siècle de domination chrétienne. Il décida de fermer La Porte de la Miséricorde, pour éviter tout simplement des incursions et attaques, et protéger le Dôme du Rocher et la Mosquée al-Aqsa construits en 691. D'après les récits apocryphes, repris dans La Légende dorée c'est à la Porte dorée que les parents de la Vierge Marie, Anne et Joachim se retrouvent après qu'un ange leur eut annoncé qu'ils seraient enfin parents, après vingt ans de mariage. Cet épisode est notamment immortalisé par Giotto et Dürer. Pour certains, ce serait la porte par laquelle serait passé Jésus le dimanche des Rameaux, ce qui lui donne aussi une importance messianique chrétienne. Certains l'assimilent aussi avec la Belle porte mentionnée dans Actes 3. L’espace fortifié depuis près de 500 ans qu’abrite la porte de la Miséricorde a été fermé par les autorités israéliennes en 2003, car le groupe dirigeant la zone avait des liens avec le Hamas. Cet espace était resté clos pour mettre fin à des travaux de construction illégale par le Waqf. Israël soupçonne que ces travaux, entrepris après que toute présence d’observateurs israéliens a été refusée, ont conduit à la destruction d’antiquités issues de la présence juive dans la zone. En février 2019, la porte de la Miséricorde devient un lieu de heurts israélo-palestiniens : le Waqf tente de rouvrir la zone qui est alors utilisée comme mosquée par les fidèles. Le 17 mars, un tribunal israélien décide la fermeture de cette salle de prières et des négociations sont entreprises par Israéliens et Jordaniens, ces derniers ayant la responsabilité du site et en proposant la restauration.