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Gare de Landelies

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Montigny-le-TilleulPage avec des cartes
Station Landelies
Station Landelies

La gare de Landelies est une gare ferroviaire belge de la ligne 130A, de Charleroi à Erquelinnes (frontière), située à Landelies section de la commune de Montigny-le-Tilleul dans la province de Hainaut en région wallonne. Elle est mise en service en 1852 par la Compagnie du chemin de fer de Charleroi à la frontière de France avant d'être reprise par la Compagnie du Nord - Belge en 1854. C'est une halte ferroviaire de la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) desservie par des trains du réseau suburbain de Charleroi (trains S). L'abbaye d'Aulne, monument faisant partie du patrimoine majeur de Wallonie, est à moins de trois kilomètres de la gare.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Landelies (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Landelies
Am Bahnhof, Rostock Warnemünde (Ortsbeirat 1 : Diedrichshagen,Seebad Warnemünde)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.377202 ° E 4.350316 °
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Adresse

Am Bahnhof 8
18119 Rostock, Warnemünde (Ortsbeirat 1 : Diedrichshagen,Seebad Warnemünde)
Mecklenburg-Vorpommern, Deutschland
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Station Landelies
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Abbaye d'Aulne
Abbaye d'Aulne

L'abbaye d'Aulne est une abbaye ayant existé entre 657 et 1794. Elle est située à Gozée, en Belgique, dans la province de Hainaut. À l'origine, en 656, saint Landelin planta une croix à l'endroit où un monastère bénédictin sera fondé en 657. Ce monastère sera légué à l'évêché de Liège, qui en a acquis, de Charles Martel, la temporalité. En 882, les Normands remontèrent le cours de la Sambre et le prieuré d'Aulne sera ravagé, laissé à l'abandon pendant une cinquantaine d'années avant de renaître de ses cendres grâce à l'intervention de Richer, évêque de Liège. En 1147, le monastère devient une abbaye cistercienne. Le prince-évêque de Liège Hugues de Pierrepont contribua fortement à la prospérité matérielle et spirituelle de l'abbaye, dont les privilèges s'accroissent considérablement au XIIIe siècle. En particulier, il soustrait l'abbaye d'Aulne de la mense épiscopale. Aulne devient l'une des abbayes les plus puissantes de la principauté de Liège. Au XIVe siècle, Aulne rencontre des conditions climatiques moins favorables et doit faire face aux épidémies et aux guerres. Le XVe siècle est un siècle noir. À plusieurs reprises, les moines doivent fuir pour se protéger des affrontements entre Liégeois et troupes des ducs de Bourgogne. L'abbaye subit à chaque fois des dégâts considérables. Cependant, jusqu'au XVIIIe siècle, on assiste à la montée en puissance et au rayonnement de l'abbaye, largement reconstruite au XVe siècle et de nouveau au XVIIIe siècle, qui est le siècle d'or de l'abbaye d'Aulne. Mais en 1794, les religieux d'Aulne fuient à l'annonce de l'arrivée des révolutionnaires français, qui pillent l'abbaye pendant plusieurs jours, la détruisent et l'incendient avec sa bibliothèque. Après le décès du dernier moine usufruitier, un hospice est créé dans les bâtiments de l'abbaye. Ce qui reste des autres bâtiments de l'abbaye est démantelé et revendu au détail. Les ruines et vestiges des bâtiments sont aujourd'hui classés au patrimoine majeur de Wallonie.