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Camp du Récébédou

Ancien camp de réfugiésArticle contenant un appel à traduction en anglaisArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une Infobox
Article à illustrer Camp de concentrationCamp de concentration de la Seconde Guerre mondialeCamp de concentration en FranceHistoire de la Haute-GaronneLieu de mémoire de la Shoah en FranceMémoire de la guerre d'Espagne et de la dictature franquiste en FranceMémoire historique de la guerre d'Espagne et de la dictature franquistePage avec des cartesPortet-sur-Garonne

Le camp du Récébédou est un camp d'internement pour les Juifs et les Espagnols républicains, créé en février 1941 et fermé en septembre 1942, situé sur la commune de Portet-sur-Garonne, au sud de Toulouse (Haute-Garonne). Des convois ferroviaires ont emmené les internés, via Drancy, vers Auschwitz et d'autres camps d'extermination.

Extrait de l'article de Wikipedia Camp du Récébédou (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Camp du Récébédou
Rue des Palmiers, Muret

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N 43.541872 ° E 1.408518 °
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Rue des Palmiers
31120 Muret
Occitanie, France
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Portet-sur-Garonne
Portet-sur-Garonne

Portet-sur-Garonne (prononcé [pɔʁtɛ syʁ ɡaʁɔn] ; Portèth de Garona en gascon) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Elle fait partie de la communauté d'agglomération du Muretain Agglo. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, l'Ariège, le Roussimort, le ruisseau de Cassignol, le ruisseau de la Saudrune et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), deux espaces protégés (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat » et la réserve naturelle régionale Confluence Garonne-Ariège) et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Portet-sur-Garonne est une commune urbaine qui compte 9 805 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Portésiens ou Portésiennes. Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Martin, inscrite en 1953, la Pyramide de démarcation de la Guyenne et du Languedoc, inscrite en 1973, et le château de la Creuse, inscrit en 1979.

Centre hospitalier Gérard-Marchant
Centre hospitalier Gérard-Marchant

Le centre hospitalier Gérard Marchant est un établissement public départemental de santé qui s’adresse à la population haute-garonnaise. Plus de 1 200 agents assurent le suivi de 13,165 patients dans des structures de soins réparties sur l'ensemble du département. Le site historique du 134, route d'Espagne à Toulouse est dédié uniquement à la prise en charge en hospitalisation à temps complet. Conformément à l'évolution des prises en charge en psychiatrie, moins de 20 % des patients suivis par le centre hospitalier Gérard Marchant feront l'objet d'une hospitalisation. Gérard Marchant fut un médecin toulousain, élève de Jean-Baptiste Delaye, avec lequel il œuvrera pour la construction de l'« Asile de Braqueville ». Plus tard, il en deviendra le premier directeur et marquera en profondeur la vie de l'asile. « Mon existence à Toulouse n'a été consacrée qu'à une pensée unique, la construction d'un asile. » C'est en 1937 en l'honneur de son fondateur et alors que les asiles deviennent des hôpitaux psychiatriques que l'« Asile de Braqueville » fut rebaptisé « centre Hospitalier Gérard Marchant ». Cet hôpital psychiatrique ouvert en 1858, fut très gravement endommagé à deux reprises, lors de la Seconde Guerre mondiale, dans la nuit du 1er au 2 mai 1944 puis par l'explosion de l'usine AZF le 21 septembre 2001. Il dispose depuis 2012 d'une unité hospitalière spécialement aménagée.