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Château de Vilmorin

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Château monument historique (France)Famille Vilmorin (de)Monument historique dans l'EssonneMonument historique inscrit en 1965Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architectureVerrières-le-Buisson
Château Vilmorin en 2016
Château Vilmorin en 2016

Le château Vilmorin est un château français situé dans la commune de Verrières-le-Buisson, en pays Hurepoix, dans le département de l'Essonne et la région Île-de-France, à onze kilomètres au sud-ouest de Paris. Il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 8 septembre 1965.

Extrait de l'article de Wikipedia Château de Vilmorin (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Château de Vilmorin
Rue d'Estienne d'Orves, Palaiseau

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Latitude Longitude
N 48.749455 ° E 2.268419 °
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Adresse

Château de Vilmorin

Rue d'Estienne d'Orves
91370 Palaiseau
Île-de-France, France
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Château Vilmorin en 2016
Château Vilmorin en 2016
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Arboretum Vilmorin
Arboretum Vilmorin

L'arboretum Vilmorin et ses bâtiments, situé à Verrières-le-Buisson, ancien relais de chasse de Louis XIV, ont été acquis par Philippe André de Vilmorin en 1815. Le choix de ce lieu a été réalisé tout spécialement pour la qualité de ses sols et sa proximité de Paris. Ce parc de quatre hectares, ceint de murs dont le plan est attribué à André Le Nôtre, est transformé par Philippe-André de Vilmorin en un lieu d'acclimatation d'arbres et d'arbustes venus du monde entier. En 1821, il acquiert des terres à proximité de Nogent-sur-Vernisson (Loiret) qui deviendront l'arboretum des Barres. Arboretum dans lequel étaient présents la majorité des sujets de Verrières-le-Buisson, mais sur une plus grande échelle. L'arboretum Vilmorin est remarquable comme lieu de première acclimatation en Europe, au milieu du XIXe siècle, d'arbres et d'arbustes venant de toutes les régions du monde. Variétés souvent rapportées par des missionnaires et explorateurs envoyés par la famille Vilmorin (Extrême-Orient, Amérique, Afrique du Nord, Sibérie et Caucase). Depuis le début du XIXe siècle, neuf générations de Vilmorin se sont occupés de l'Arboretum dans un esprit de continuité dans l'entretien et le développement des collections. Il s'agit surtout de variétés telles que : Philadelphus, Berberis, Deutzia, Quercus, Acer, Malus, Lonicera, Rhododendrons et Euonymus. Édouard André, ami de la famille Vilmorin, est intervenu pour y créer les chemins d'eau. Aujourd'hui la famille Vilmorin, aidée d'un comité scientifique composé d'éminents dendrologues, a développé deux axes pour les nouvelles introductions : plantation de taxons dédiés à la famille Vilmorin, introduction de genres mono et bispécifiques ou comptant moins de 10 taxons si possible venant de Chine (Macdenia, Flacoutiacées tels Carrierea, Idesia, Poliothyrsis et Hamamélidacées). 800 espèces, 300 genres et 5.500 références ont été répertoriées et mises sur informatique. L'arboretum Vilmorin quoique privé, peut être visité sur demande écrite. Ces visites, en dehors des journées européennes du patrimoine, sont le plus souvent réservées aux spécialistes du fait de la fragilité des variétés existantes dans l'Arboretum. Mitoyen, l'arboretum municipal de Verrières-le-Buisson, appelé "La Maison des Arbres et des Oiseaux, réserve naturelle volontaire Roger de Vilmorin" couvre une surface de 1,5 ha.

Arboretum municipal de Verrières-le-Buisson

L'arboretum municipal de Verrières-le-Buisson, de son nom complet arboretum municipal de Verrières-le-Buisson, Réserve naturelle volontaire Roger de Vilmorin, Maison des Arbres et des Oiseaux est classé réserve naturelle volontaire depuis 1988 et réserve naturelle régionale depuis 2004. Il s'agit d'une extension publique de l'arboretum Vilmorin, ce dernier appartenant à la famille Vilmorin. Par voie de succession l'arboretum municipal qui s'étend sur une surface de 1,5 hectare a longtemps appartenu à la famille d'Arjuzon, avant que la mairie de Verrières en devienne propriétaire en 1975. Elle en a donné l'entière gestion à une association naissante à l'époque, la « Maison des Arbres et des Oiseaux », composée uniquement de jeunes de 14 à 25 ans qui se réunissent tous les samedis pour entretenir l'arboretum. La réhabilitation de cet arboretum a comporté plusieurs phases : le défrichement ; l'inventaire scientifique des espèces présentes sur le site avec l'aide d'un comité scientifique ; la valorisation du site auprès du public dans un objectif de sensibilisation à l'environnement.Plus de deux cents espèces d'arbres remarquables de l'hémisphère nord sont présentes dans l'arboretum. Il est organisé en différents lieux : la zone arborée ; la friche évolutive ; le verger ; la prairie à fauche tardive ; la prairie ; la mare ; la zone de pépinière qui voit grandir de nouvelles espèces venant enrichir la diversité de l'arboretum.Le site est ouvert en semaine pour des visites de groupes sur réservation et le week-end pour tous de 14 heures à 18 heures. Toutes les visites sont gratuites.

Cité-jardin de la Butte-Rouge
Cité-jardin de la Butte-Rouge

La cité-jardin de la Butte-Rouge est située à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Sa conception est inspirée du modèle des « garden cities » né à la fin du XIXe siècle en Angleterre et théorisé par Howard et Unwin, qui se caractérise par une conception urbaine rigoureuse, une cité-jardin structurée autour des espaces verts et favorisant les relations de voisinage, une diversité des formes d’habitat et la présence de nombreux équipements. Inscrite dans le mouvement de l’urbanisme social, elle fait partie des 16 cités-jardins construites par l'OPHBM du département de la Seine créé en 1916 par Henri Sellier. Elles ont été réalisées afin de répondre au besoin de desserrement de l’habitat parisien, dans le cadre d’un plan d’extension de la banlieue. On parlait alors de « Grand Paris ». Nées pour combattre l’insalubrité et la pénurie de logements, les cités-jardins ont en fait proposé un modèle de vie sociale et urbaine. La cité-jardin de la Butte-Rouge se distingue parmi les autres cités-jardins franciliennes par son étendue (70 hectares), son architecture moderniste, la richesse de sa composition urbaine reflet de sa construction en plusieurs phases et surtout par sa qualité paysagère. La cité-jardin de la Butte-Rouge composée de 4 200 logements sociaux est restée, jusqu’à ce jour, fidèle à sa vocation « offrir du beau pour les prolos ». L’ensemble qu’elle constitue, étudié dans l’inventaire du patrimoine des Hauts-de-Seine et labellisé patrimoine du XXe siècle, est reconnu comme l’emblème de la cité-jardin à la française. Restée intacte jusqu’à ce jour, et alors que les projets de rénovation envisagés ont été abandonnés par la mairie, la cité-jardin de la Butte-Rouge est en 2023 menacée d’être démolie.