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Assassinat de John Lennon

1980 aux États-UnisAffaire criminelle aux États-UnisArticle contenant un appel à traduction en anglaisArticle contenant un lien mortArticle de qualité en azéri
Article de qualité en tchèqueArticle géolocalisé aux États-UnisArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxAssassinat d'une personnalitéAssassinat par arme à feu aux États-UnisBon article en anglaisBon article en espagnolCriminalité à New YorkDécembre 1980John LennonPage avec des cartesThe Beatles
1 West 72nd Street (The Dakota) by David Shankbone
1 West 72nd Street (The Dakota) by David Shankbone

L’assassinat de John Lennon, musicien britannique ayant acquis une réputation mondiale avec les Beatles puis à travers sa carrière solo et son engagement politique, s’est produit dans la soirée du lundi 8 décembre 1980, à l’entrée du Dakota Building de New York. Il a été perpétré par Mark David Chapman. Lennon revient d'une session d'enregistrement aux Record Plant Studios avec son épouse, Yoko Ono et se trouve à l'entrée de l'immeuble où il réside, lorsque Mark David Chapman vide sur lui le barillet de son revolver .38 Special. Le chanteur, âgé de 40 ans, est déclaré mort à son arrivée au St. Luke’s Roosevelt Hospital Center. Peu après l’annonce de la mort par les radios locales, des foules se massent devant l'hôpital Roosevelt et le Dakota Building. John Lennon est incinéré le 10 décembre 1980 au cimetière de Ferncliff à New York. Les cendres sont remises à son épouse, qui décide de ne pas commémorer de funérailles. La mort de Lennon a un fort impact dans le monde. De nombreux hommages lui sont témoignés, notamment par Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr, les autres Beatles. Des monuments lui sont également dédiés, tels que l’aéroport de Liverpool, sa ville natale. Deux films sont également consacrés à l’événement. De nos jours, face au Dakota Building, de l'autre coté de l'avenue Central Park West est situé le Mémorial Strawberry Fields dédié à la mémoire de John Lennon.

Extrait de l'article de Wikipedia Assassinat de John Lennon (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Assassinat de John Lennon
West 72nd Street, New York Manhattan

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The Dakota

West 72nd Street 1
10023 New York, Manhattan
New York, États-Unis d'Amérique
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1 West 72nd Street (The Dakota) by David Shankbone
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Strawberry Fields (mémorial)
Strawberry Fields (mémorial)

Le mémorial Strawberry Fields est un monument situé dans Central Park à New York, dédié à la mémoire de l'auteur-compositeur-interprète John Lennon et dont le nom reprend une des chansons, Strawberry Fields Forever (sur l'album des Beatles Magical Mystery Tour, en 1967). Il fut conçu par Bruce Kelly (1948-1993), l'architecte-paysager en chef du Central Park Conservancy. Strawberry Fields fut inauguré le jour du 45e anniversaire de John Lennon, le 9 octobre 1985, en présence de sa veuve Yoko Ono, qui avait pris en charge le projet à hauteur d'un million de dollars. L'entrée du mémorial se situe sur l'avenue de Central Park West à la hauteur de la 72e rue, juste en face du Dakota Building, où Lennon résidait et devant lequel il fut assassiné le 8 décembre 1980. Le mémorial a la forme d'un triangle dont le cœur est constitué d'un symbole de paix en mosaïque. Celui-ci avait été offert par des artisans de Naples en Italie. Au centre de la mosaïque figure Imagine, le titre de sa plus fameuse chanson. Des bancs, entretenus par le Central Park Conservancy, sont disposés alentour du mémorial en souvenir d'autres personnes. Les fans de Lennon y laissent régulièrement des bougies et des fleurs. Une plaque apposée le long de chemin, au sud-est, liste les pays ayant contribué à la construction du mémorial. Il n'est pas rare que les fans de John Lennon y déposent des fleurs, bougies en verre et autres objets. À l'anniversaire de Lennon (le 9 octobre) et à la date de sa mort (le 8 décembre), beaucoup de personnes se rassemblent pour chanter et rendre un hommage à cet artiste, parfois jusqu'au bout d'une nuit souvent froide. Il y a parfois des rassemblements commémoratifs impromptus pour d'autres musiciens, comme Jerry Garcia et George Harrison. D'autres rassemblements ont aussi lieu durant l'été et pour les anniversaires des autres Beatles. Les jours qui ont suivi les attentats du 11 septembre 2001, il y eut des veilles de bougie au « Imagine Circle » en souvenir des gens tués au World Trade Center, à Shanksville (Pennsylvanie), et au Pentagone. Parmi les fans décorant le mémorial, l'un des plus célèbres était Gary dos Santos, qui occupa le site pendant une vingtaine d'années jusqu'à son décès le 25 novembre 2013. Il vivait des dons que lui faisaient les touristes pour son travail, et pour le monologue de trois minutes qu'il leur tenait, dans lequel il présentait son travail et racontait la vie de Lennon et de sa famille. Il fut le sujet d'un film documentaire, The Mayor of Strawberry Fields, réalisé par Torre Catalano.

Le Cours de l'Empire
Le Cours de l'Empire

Le Cours de l’Empire (en anglais : The Course of Empire), également appelé Le Destin des Empires,, est une série de cinq tableaux, peints, de 1833 à 1836, par Thomas Cole, fondateur de la Hudson River School. Elle est remarquable en partie parce qu'elle reflète les sentiments populaires américains de l'époque, où beaucoup voyaient le pastoralisme comme la phase idéale de la civilisation humaine, craignant que l'empire ne conduise à la gloutonnerie et à la décadence inévitable, « destin commun des nations ». Le thème des cycles est un thème sur lequel Cole est revenu fréquemment, comme dans sa série Le Voyage de la vie. Le Cours de l’Empire comprend les œuvres suivantes : Le Cours de l'Empire - L'État sauvage ; L'État arcadien ou pastoral ; La consommation de l'Empire ; La Destruction et La Désolation. Elles sont toutes des peintures à l'huile sur toile et mesurent 100 × 161 cm, sauf L'Apogée (La consommation de l'Empire) qui mesure 130 × 193 cm. Thomas Cole s'est inspiré, pour cette œuvre, principalement d'un voyage de trois ans à travers l'Europe, au cours duquel il a vu d' innombrables peintures d'autres romantiques dans les musées, ainsi que des échanges artistiques cultivés et visité des ruines romaines en Italie. En particulier, cette preuve des cultures passées l'a fasciné et a influencé ses travaux ultérieurs, notamment Le Cours de l’Empire, dans le sens où il voulait montrer que tout empire, aussi puissant soit-il, s'effondrera un jour. Dans le même temps, le cycle illustre la peur de Cole de l’obsession croissante des États-Unis pour le progrès au détriment de la nature et reflète les idées religieuses, artistiques, scientifiques et sociopolitiques prédominantes dans la culture américaine des années 1830. Le titre de la série de tableaux est inspiré du poème du XVIIIe siècle Verses on the Prospect of Planting Arts and Learning in America , que George Berkeley a écrit en 1726. Il y fait allusion à cinq étapes de la civilisation. La dernière strophe commence par la ligne « Vers l'ouest, le cours de l'empire prend son chemin » et prophétise que l'empire à venir naîtra en Amérique.