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Direction générale de la Santé et de la Sécurité alimentaire

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La direction générale de la Santé et de la Sécurité alimentaire (DG SANTE), anciennement direction générale de la Santé et des Consommateurs (DG SANCO), est l'un des services administratifs de la Commission européenne. Sa tâche est de proposer des mises à jour et surveiller la mise en application de la législation européenne en matière de sécurité des denrées alimentaires et de protection de la santé humaine au niveau de l'Union européenne. Cette administration est placée sous la responsabilité de la Commissaire Stella Kyriakides. Depuis octobre 2020, elle est dirigée par Sandra Gallina.

Extrait de l'article de Wikipedia Direction générale de la Santé et de la Sécurité alimentaire (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Direction générale de la Santé et de la Sécurité alimentaire
Rue Antoine Gautier,

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N 50.834093 ° E 4.391592 °
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Rue Antoine Gautier 94
1040
Belgique
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Avenue de la Chasse
Avenue de la Chasse

L'Avenue de la Chasse (en néerlandais : Jachtlaan) est une avenue bruxelloise de la commune d'Etterbeek en Belgique, qui va du carrefour de la Chasse (chaussée de Wavre) à la place Saint-Pierre en passant par place des Acacias. L'avenue est ouverte en 1871, selon les lignes du plan d’aménagement de Victor Besme. Elle est établie entre 1906 et 1910. Les premières maisons y bâties, en style néoclassique, sont au numéros 75-77 (1904, arch. Ed. Bournonville), 79 (1901), 81 (1900, arch. Ed. Bournonville), ainsi que les numéros 68 (1905) et 70 (1905, arch. Henri Caron), 83 (1901), 85 (1901, arch. Ed. Bournonville) et 87 (1900) de même qu'une maison à l'angle de la rue Colonel Van Gele. Au numéros 133-135 persiste une construction datant de 1898 appartenant à l'ancienne rue des Bleuets (actuellement rue Général Wangermée). Une série de maisons en style éclectique ou moderniste, baties dans les années 1920, longe le premier tronçon de l'avenue, proche du carrefour de la Chasse. Les numéros 3, 5 et 7, construits en 1921 sur les plans de l'architecte Robert Allard, comprennent un immeuble et une salle de « spectacles cinématographiques » contenant 662 places et communiquant avec le numéro 6, rue des Champs. Aux numéros 13-15 (et rue des Champs no 12) insistait un autre cinéma, « Le Léopold Palace », construit sur les plans de l'arch. Jean Finné en 1924 sur cinq niveaux et quatre travées sous toiture en terrasse, aujourd'hui transformé et étages présentant deux oriels surmontés d'un balcon dans les travées latérales. Ainsi le numéro 41 (1923, arch. Léon Janlet), inspiré par l'Art Déco, tout comme les numéros 46 et 48, du même architecte en 1926, pourvus sur plan d'une décoration Art Déco. Encore en style moderniste les maisons aux numéros 53 et 55 (1926, arch. Constant Rostenne) et 57 à 63, toutes datant de 1925. Au numéro 54 insistent les ateliers du maître-verrier Pierre Majérus, bâtis en plusieurs étapes depuis 1920. Le deuxième tronçon de l'avenue, après la place des Acacias avec sa statue de Constantin Meunier, inclut de belles demeures de style Beaux-Arts reprises dans un tissu hétéroclite de style éclectique caractéristique du début du XXe siècle, ainsi que quelques édifices modernes (tels que les numéros 94-96, du 1964, et les numéros 88-90, du 1999). De style éclectique à tendance classique, les nos 101 (1908, arch. Fernand Lefevre), 103-105, 107 (1908), 109 (1907), 111 (1908), 152 (1909), 158 (signé en façade «Arthur François/Archte Telepne 9827»), 160, 197 (1906, arch. Van Mulder), 225 et 227-229 (1911, arch. Georges Borgers). Datant du début du XXe s., maisons à façade de briques alternées de pierre, parfois agrémentée d'éléments Art nouveau tels les nos 119 (1909), 121-123 et 125 (1907), 128 (1911) et 130 (1913, arch. J. M. Finné), 145 (1910), 147 (1910), 149, 163 (à l'angle de l'avenue des Coquelicots nos 2), 170 et 172, 173 (1908, arch. Henri Godsdeel) signé en façade, 175-177 (1908, arch. Edmond Abs), 176 (1908), 190, 192 et 194 (1910, arch. Ernest Devroye), 191 (1910), 199 (1908), 200 (1913, arch. William Saubert), 201 (1906, arch. Van Mulder), 205 (1905, Van Mulder), 221 (1912, E. De Neve), 237 (1906). Au numéro 141 de l'avenue insiste une maison de Paul Cauchie du 1912, classé depuis le 16 mars 1995 : "Animée d'un jeu d'éléments décoratifs rentrants et saillants, façade enduite, de trois niveaux et trois travées, couronnée par un pignon polygonal. Au rez de chaussée, porte et fenêtres rectangulaires sur allèges au traitement rustique. Au 1er étage, logette axiale encadrée par des baies rectangulaires. Dernier niveau ajouré de trois baies à linteau droit, l'axiale remplaçant dans le plan originel un sgraffite représentant une figure féminine debout dans un décor floral englobant l'ouverture ovale du pignon."En 1953 l'avenue de la Chasse est réaménagée comme artère "très roulante" entre la porte de Tervueren (Merode) et le pont du Germoir, avec suppression du terre-plein central et aménagement des voies de tram. Une circulation plus limitée est rétablie au XXIe siècle. Au numéro 121 insiste[Quoi ?] l’édifice moderne de la bibliothèque Hergé.

Avenue des Nerviens
Avenue des Nerviens

L'avenue des Nerviens (en néerlandais: Nerviërslaan) est une avenue bruxelloise de la commune d'Etterbeek qui prolonge la rue Belliard jusqu'à l'avenue des Gaulois en longeant le parc du Cinquantenaire, en reliant l'avenue d'Auderghem à l'avenue des Gaulois. La rue Jonniaux, la rue Sainte-Gertrude et la rue du Cornet y aboutissent également. La rue a été ouverte en 1880 lors des travaux d'aménagement du parc du Cinquantenaire et élargie en 1898-1899 jusqu'à 23 mètres. Son nom fait référence aux Nerviens peuple de la Gaule belgique. Plusieurs rues du quartier nord d'Etterbeek portent le nom d'un peuple gaulois (rue des Aduatiques, rue des Atrébates, rue des Bataves, avenue des Celtes, rue des Francs, avenue des Gaulois, rue des Ménapiens, rue des Morins, rue des Sicambres, rue des Taxandres, rue des Tongres, rue des Trévires). La rue des Nerviens abrite l'Institut Saint-Stanislas (115, 131) ainsi que des bâtiments de la Commission européenne (DG GROW). Elle longe le parc du Cinquantenaire. Edifices notables: Nerviens 1-3 /Auderghem 50, en style Beaux-Arts Nerviens 5, maison de style éclectique, dont la demande de permis de bâtir pourrait dater de 1900. Nerviens 41, à l'angle de la rue Dekens, imposant immeuble de style éclectique, construit selon les plans originaux de 1904 Nerviens 59, belle maison de maître de tendance néo-Renaissance flamande Nerviens 61, maison de maître de style éclectique de trois niveaux Nerviens 63, maison de maître de style éclectique de quatre niveaux (Patrimoine protégé) Nerviens 115, Institut Saint-Stanislas, en style néogothique, de Hubert Marcq Nerviens 123, maison de maître de style éclectique de deux niveaux et trois travées, construite selon des plans de 1906 sous bâtière, Nerviens 125, maison de maître de style éclectique de deux niveaux et trois travées de largeur inégale Nerviens 127, maison de maître de style éclectique de trois niveaux sur caves hautes et de deux travées Nerviens 129, belle maison de maître de style éclectique avec des éléments néogothiques de trois niveaux sur caves hautes ; partie principale en faible saillie et surmontée d'un pignon à cinq gradins sous pinacle. La demande de permis de bâtir sur les plans de l'architecte Edmond Serneels (Patrimoine protégé) Nerviens 131-133, Institut Saint-Stanislas, école de style éclectique de deux niveaux et cinq travées Nerviens 135, immeuble à appartements (1961, architecte Jean Delhaye), dont la façade latérale est ornée de reliefs.Plusieurs maisons de maître ont été démolies et remplacées par des immeubles à appartements récents et des bureaux, tels les nos 9 (1972), 33 (1952), 35 (1956) et 105 (1977). Parmi les immeubles démolis, aussi ceux de Hubert Marcq, tels que l'ancien no. 17 (1906) et le no. 135 (1909).