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Église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien d'Azay-sur-Indre

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Azay sur Indre Iliz
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L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien est une église affectée au culte catholique située à Azay-sur-Indre, dans le département d'Indre-et-Loire, en France. Construite au XIIe siècle, elle fut remaniée aux XVe et XVIe siècles.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien d'Azay-sur-Indre (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien d'Azay-sur-Indre
Route de la Vallée de l'Indre, Loches

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N 47.2087 ° E 0.946406 °
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Adresse

Église Saint-Crépin et Saint-Crépinien

Route de la Vallée de l'Indre
37310 Loches
Centre-Val de Loire, France
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Azay sur Indre Iliz
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Azay-sur-Indre
Azay-sur-Indre

Azay-sur-Indre (prononcé [a.ze sy.ʁ‿ɛ̃dʁ]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Le village rural est installé sur le flanc ouest d'une vallée au confluent de l'Indre et l'Indrois. Le fond de la vallée, sujet aux inondations, n'a été que très peu bâti. Azay n'apparaît qu'au Moyen Âge, les témoignages des époques antérieures étant très ténus. Successivement fief, paroisse puis enfin commune, Azay a toujours porté ce nom, assorti d'un déterminant qui fut souvent le patronyme du propriétaire du lieu. Le dernier détenteur d'une partie des terres d'Azay, juste avant la Révolution française, fut le marquis de La Fayette. La commune a connu une forte baisse de sa population depuis la fin du Second Empire jusqu'aux années 1970. Depuis, la courbe s'est inversée et Azay-sur-Indre regagne des habitants alors que des logements nouveaux se construisent ; en 2014, la commune compte 385 habitants. Peu d'emplois sont pourtant offerts sur le territoire communal, les habitants travaillant en très grande majorité à Loches ou à Tours. Territoire agricole de longue date, Azay-sur-Indre connaît une importante diminution du nombre de ses exploitations agricoles, mais la surface agricole utile se maintient, grâce à l'augmentation des surfaces cultivées par exploitation. La commune est riche d'un patrimoine naturel, entre vallées et plateaux, partiellement englobé dans un vaste site Natura 2000, et de monuments protégés par une inscription auprès des monuments historiques. Ainsi se distinguent, outre l’église paroissiale, une ancienne métairie monastique et un manoir, d'anciens moulins, aujourd'hui désaffectés, établis sur l'Indrois et sur l'Indre.

Chambourg-sur-Indre
Chambourg-sur-Indre

Chambourg-sur-Indre est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Peut-être déjà occupé dès le Néolithique, le site ne conserve cependant que les vestiges d'un établissement datant de l’époque romaine : un aqueduc, une villa, une voie. Viguerie puis fief médiéval, Chambourg devient commune en 1789, au terme d'un échange de hameaux jusqu'alors indivis avec sa voisine Chédigny. Les crues de l'Indre, toujours à craindre en 2014, n'ont jamais dissuadé les hommes de s'implanter définitivement à Chambourg jusque sur les bords de la rivière. Devenue Chambourg-sur-Indre en 1920, la commune est l'un des rares territoires ruraux du Lochois à ne pas connaître de récession démographique au XXe siècle. En 2021, sa population est de 1 236 habitants. L'agriculture communale se recentre depuis une trentaine d'années autour de grosses exploitations spécialisées dans la culture des céréales, des oléagineux et protéagineux. Dans le secteur industriel, Chambourg-sur-Indre accueille depuis 1961 l'une des grandes entreprises françaises du domaine de la signalisation routière. Partagée entre les plateaux de la Gâtine de Loches, la forêt de Loches et la vallée de l'Indre, Chambourg abrite sur son territoire une faune très variée qui lui vaut d'être partiellement intégrée à plusieurs dispositifs nationaux (ZNIEFF) ou européens (réseau Natura 2000) d'évaluation et de protection de la biodiversité.

Reignac-sur-Indre
Reignac-sur-Indre

Reignac-sur-Indre (prononcé [ʁe.ɲak sy.ʁ‿ɛ̃dʁ]) est une commune française, située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Les plateaux qui, à une altitude d'environ 100 mètres, composent une grande partie de son territoire ont été voués à l'agriculture dès la Protohistoire. Un gué sur l'Indre a fixé le peuplement dans la vallée à l'époque antique ; la route empruntant ce passage, devenue chemin de Saint-Jacques au Moyen Âge puis route d'Espagne jusqu'au XVIIIe siècle a assuré au village une certaine richesse. Pourtant, dans cette vallée resserrée entre deux coteaux, les crues de l'Indre ont été dévastatrices, surtout en 1770. La menace n'en sera écartée qu'à la fin des années 1980 avec la construction de digues protégeant les habitations. Reignac a connu de nombreux changements de nom au cours de son histoire, pas moins de six depuis sa première mention dans les écrits de Grégoire de Tours jusqu'à l'adoption de son appellation définitive en 1920. Le nom de Reignac provient d'ailleurs de Louis de Barberin, qui en avait acheté la terre en 1700 et qui était également comte de Reignac en Charente, commune saintongeaise avec laquelle Reignac-sur-Indre a tissé des liens étroits depuis 1978. Selon la population légale 2014 actuellement en vigueur, la population municipale est de 1 174 habitants, niveau jamais atteint depuis les premiers recensements et Reignac-sur-Indre continue à bénéficier de l'élan industriel initié par l'arrivée du chemin de fer en 1879 ; autour de la gare se sont alors implantées les premières fabriques, devenues en 2011 une zone industrielle employant près de 200 personnes soit plus de 40 % du total des emplois offerts sur la commune. Reignac conserve également un patrimoine naturel important, comme en témoignent les zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et le site du réseau Natura 2000 qui couvrent une partie de son territoire et qui sont parcourus par le sentier de grande randonnée 46.