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Église Saint-Vincent d'Avanne

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EgliseAvanneAveney
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L'église Saint-Vincent d'Avanne est un lieu de culte chrétien situé dans la commune franc-comtoise d'Avanne-Aveney, limitrophe de Besançon. Inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 5 mars 1998, elle fut réalisée par l'architecte bisontin Pierre Marnotte afin de remplacer un autre édifice trop souvent victime des crues de la rivière du Doubs.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Vincent d'Avanne (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Vincent d'Avanne
Grande Rue, Besançon

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.20111 ° E 5.96417 °
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Adresse

Église Saint-Vincent

Grande Rue
25720 Besançon
Bourgogne-Franche-Comté, France
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EgliseAvanneAveney
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Fort de Planoise
Fort de Planoise

Le fort de Planoise, appelé brièvement le fort Moncey, est un ensemble de fortifications militaires bisontines de type Séré de Rivières dont l'ouvrage le plus important est le fort principal situé au centre d'un véritable môle, regroupant plusieurs abris, des chemins de traverses ainsi que quatre grandes batteries annexes utilisées pour le stockage de poudre, le casernement et l'usage de mortiers. L'ensemble fortifié fut bâti à Besançon, en France, entre 1877 et 1892 dans le but de protéger le pont d'Avanne-Aveney interdisant les routes de Dijon et de Lyon, plusieurs voies ferrées capitales ainsi que pour soutenir de nombreuses batteries de la ville. Dans leur architecture, les ouvrages du fort ne comprennent pas globalement d'éléments particulièrement techniques ou technologiques avancés pour l'époque. On note cependant une spécificité concernant la façade du front de gorge, ainsi que la présence d'une batterie unique en son genre car elle fut réalisée en fonction du mortier 200 mm de Bange MIe 1880 et MIe 1881. Aussi, le grand nombre d'ouvrages qui composent la place sur près de dix hectares rendent le site de Planoise particulier, car il est en effet le plus grand complexe militaire de Besançon intra-muros, et le second de l'agglomération après le môle défensif de Montfaucon. Malgré sa position stratégique primordiale, le fort de Planoise ne fut pas utilisé lors de conflits, comme pendant la Première ou la Seconde Guerre mondiale à l'instar d'autres édifices militaires importants. Entre 1976 et 2013, le fort était utilisé par le Mouvement Emmaüs de Besançon comme lieu de vente. Sa visite est de ce fait soumise à autorisation, bien que les nombreuses batteries et ouvrages annexes soient libres d'accès. Les alentours de l'édifice ainsi que toute la colline sont un lieu de promenade et de pique-nique privilégié pour les Bisontins à la recherche de verdure et d'un large panorama sur la capitale comtoise, ainsi qu'une piste prisée pour l'exercice du parapente.

Planoise
Planoise

Planoise est l'un des quatorze quartiers de Besançon (France). Situé au sud-ouest de la ville, il est au cœur d’un site de 3,5 km² ceinturé par quatre forêts (Planoise, Monsieur, Franois, et Pirey) et deux collines (Planoise et Rosemont), à environ 2 km du Doubs et 3,5 km du centre-ville. Il est limitrophe des Tilleroyes, de Saint-Ferjeux, et de Velotte au nord et à l’est, ainsi que des communes d'Avanne-Aveney, Grandfontaine-la Belle Étoile, et Franois au sud et à l’ouest. Le secteur est bien desservi par les transports en commun grâce au tramway et à plusieurs lignes de bus Ginko et d'agglomération, et se trouve également à un carrefour routier avec la rue de Dole/R.N.73 et la R.N.57. Il faisait administrativement partie du canton de Besançon-Planoise jusqu’en 2014 mais est désormais associé à celui de Besançon-1, relevant de la ville de Besançon pour tout le reste de son administration et de sa gestion. Les premières traces de vie durable sur place remontent au Moyen Âge, période de faible démographie champêtre et agricole qui perdurera jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1950 à 1980, la constitution d'un habitat récent de barres d'immeubles et de tours donne à Planoise son caractère définitivement citadin. Imaginé comme une ville nouvelle et satellite, devenu ZUP et ZUS, le quartier intramuros, axé autour des sous-divisions de Cassin, Île-de-France, et Franche-Comté, connait dès la fin des années 1980 de graves problématiques économiques et sociaux à l’instar de nombreuses cités similaires. Pourtant elle dénombre des atouts majeurs, avec un parc immobilier de plus de 8 000 appartements représentant 14 % des logements locaux, trois centres commerciaux et des zones franches réunissant une partie notable des entreprises bisontines du secondaire et tertiaire, ou encore un fort taux d’infrastructures publiques et sièges divers notamment dans l’enseignement, le sport, et la culture. Son extension géographique, nommée Grand Planoise, y inclut Châteaufarine, les Hauts du Chazal, la Malcombe, Micropolis, la zone industrielle de Planoise, ainsi que la colline de Planoise et celle du Rosemont, dont l’ensemble forme un pôle régional stratégique de premier plan. Ses habitants, appelés les Planoisiens, sont estimés à environ 21 000 personnes, affichant 17 % du total municipal ce qui en fait le quartier le plus peuplé de Besançon et une des entités urbaines les plus importantes en Franche-Comté. Cette population, sociologiquement très diverse, recense cependant quelques généralités, notamment sa jeunesse et son dynamisme, une correspondance massive à la classe populaire et moyenne avec un chômage élevé, l'appartenance à plus de cinquante groupes ethniques différents et une présence marquée de l'islam, ainsi qu'une tendance politique fondée sur une abstention nettement majoritaire et des scrutins bénéficiant à l’extrême-droite, à la gauche réformiste, et à l’extrême-gauche.