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Chapelle Saint-Christophe de Lorient

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Chapelle monument historique dans le MorbihanMonument historique inscrit en 1934Monument historique à LorientPage avec des cartesSite classé ou inscrit dans le MorbihanÉdifice religieux du XVe siècle en BretagneÉdifice religieux à Lorient
Lorient Chapelle Saint Christophe facade sud ouest
Lorient Chapelle Saint Christophe facade sud ouest

La chapelle Saint-Christophe est une chapelle du XVe siècle et l’un des plus anciens édifices de Lorient (Morbihan), avec le château de Tréfaven, fortifié en 1474, appartenant aux princes de Guéméné. Ce sont ces princes qui firent édifier la chapelle (une seule date trouvée, celle de 1505). Il existait pourtant la chapelle de Saint Judicaël avec son chapelain Dom Alanou.

Extrait de l'article de Wikipedia Chapelle Saint-Christophe de Lorient (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Chapelle Saint-Christophe de Lorient
Place Chapelle Saint-Christophe, Lorient

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Place Chapelle Saint-Christophe 1
56100 Lorient
Bretagne, France
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Lorient Chapelle Saint Christophe facade sud ouest
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Siège de Lorient
Siège de Lorient

Le siège de Lorient est une opération amphibie de la guerre de Succession d'Autriche menée du 29 septembre au 10 octobre 1746 par des troupes anglaises dans la région de Lorient, port d'attache de la Compagnie française des Indes orientales. Elle est conçue comme une diversion devant amener la monarchie française à retirer des troupes de Flandres pour les envoyer en renfort sur le littoral français. Le débarquement d'environ 4 500 soldats anglais dans la baie du Pouldu, puis la marche vers la ville prennent plusieurs jours, ce qui permet à la garnison de Lorient d'organiser ses défenses et d'obtenir des troupes en renfort d'autres villes de la région. Les Anglais n'arrivent dans les environs de la cité que le 3 octobre, et des discussions en vue d'obtenir la reddition de la ville repoussent les bombardements au 5 octobre. Les opérations de bombardement durent jusqu'au 7 octobre, jour où la retraite anglaise est ordonnée. L'incompétence des ingénieurs anglais, ainsi que les pertes en hommes par fatigue et maladie, obligent le commandant à cesser l'offensive. Dans le même temps, le commandement français croyant à une supériorité écrasante de l'adversaire, et ne pouvant compter que sur de faibles défenses et sur des troupes médiocrement formées et armées, projette une reddition. Celle-ci est effectivement proposée le 7 octobre, peu après le départ de l'ennemi et reste sans suite. Le raid a des conséquences militaires, comme celle d'obliger la monarchie française à développer les fortifications dans le sud de la Bretagne, mais aussi culturelles puisqu'il suscite une controverse entre David Hume et Voltaire et la création de plusieurs chansons évoquant le siège, ainsi qu'un culte marial dans la ville.