place

Chapelle des Carmes-Déchaussés

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une Infobox
Battant (Besançon)Chapelle dans le DoubsChapelle monument historique (France)Monument historique inscrit en 1937Monument historique à BesançonPage avec des cartesPage avec des données de géolocalisation non prises en chargePage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePage pointant vers des bases relatives à la religionÉdifice religieux à Besançon
Besançon, chapelle des Carmes Déchaussés
Besançon, chapelle des Carmes Déchaussés

La Chapelle des Carmes-Déchaussés est une chapelle située à Besançon dans le département du Doubs.

Extrait de l'article de Wikipedia Chapelle des Carmes-Déchaussés (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Chapelle des Carmes-Déchaussés
Rue Champrond, Besançon Rue Battant

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Chapelle des Carmes-DéchaussésContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.2419 ° E 6.02082 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue Champrond 3
25000 Besançon, Rue Battant
Bourgogne-Franche-Comté, France
mapOuvrir sur Google Maps

Besançon, chapelle des Carmes Déchaussés
Besançon, chapelle des Carmes Déchaussés
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Synagogue de Besançon
Synagogue de Besançon

La synagogue de Besançon (hébreu : בית הכנסת הגדול בזאנסון - Beit ha knesset hagadol bezanson - ; yiddish : שול פון בעזאנסאן ; arabe : كنيس بيزانسون), plus rarement dénommée temple israélite de Besançon, est le principal lieu de culte juif de la ville française de Besançon (Doubs), situé 23, quai de Strasbourg, dans le quartier de Battant. Elle succède à une précédente synagogue, construite en 1830 au 19 rue de la Madeleine par Pierre Marnotte, devenue trop étroite pour accueillir l'ensemble de la communauté, qui était en pleine croissance dans les années 1860 (472 personnes en 1854). La construction du bâtiment, dessiné par Pierre Marnotte, dure de 1867 à 1870 mais la synagogue fut inaugurée le 18 novembre 1869. C'est un chef-d’œuvre de style hispano-mauresque, inspiré par la mosquée de Cordoue et par l'Alhambra de Grenade. Elle est le principal site de réunion des Juifs de la ville. Si le lieu de culte a été transformé en magasin à fourrage par la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale et l'occupation allemande, le bâtiment n'a connu aucun changement significatif quant à son affectation et son architecture. Le plan, les décors et le mobilier font de cet édifice l'un des plus originaux de la ville. Outre son style atypique, on note la présence remarquable de minarets, de vitraux, d'une sculpture des tables de la Loi, d'un orgue, ainsi que d'une arche sainte (ou heikhal), particuliers dans leur raffinement ou leur réalisation. La synagogue est toujours active, et ouverte au public notamment lors des journées européennes du patrimoine. Le service religieux maintient les traditions du rite séfarade, bien qu'hommes et femmes ne soient plus séparés. Les offices traditionnels n'attirent cependant pas plus de trente fidèles, et les grandes fêtes comme la Pâque et le Nouvel an moins d'une centaine, alors que la synagogue peut accueillir deux cent seize fidèles. L'édifice constitue le siège du consistoire de Besançon. Les personnalités juives de la ville ont toutes été liées à la synagogue, non seulement les rabbins tels Paul Haguenauer, mort en déportation, ou René Gutman, mais aussi les Veil-Picard et les autres grandes familles juives de la ville. Avec le cimetière israélite, la synagogue témoigne de l'importance de la communauté juive bisontine.