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Arts et Métiers (métro de Paris)

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Arts et Métiers est une station des lignes 3 et 11 du métro de Paris, située dans le 3e arrondissement de Paris.

Extrait de l'article de Wikipedia Arts et Métiers (métro de Paris) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Arts et Métiers (métro de Paris)
Rue de Turbigo, Paris Paris 3e Arrondissement (Paris)

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N 48.8655 ° E 2.3561 °
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Adresse

Arts et Métiers

Rue de Turbigo
75003 Paris, Paris 3e Arrondissement (Paris)
Île-de-France, France
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Lieux à proximité

Institut national des techniques de la documentation

L’Institut national des sciences et techniques de la documentation (INTD) est un institut du Conservatoire national des arts et métiers, formant des spécialistes de l’information et de la documentation. Il a été fondé en 1950 et se trouve à Paris. L’INTD prépare à trois diplômes (selon le Journal officiel du 5 mars 2006) : le diplôme technique de documentaliste spécialité audiovisuel, entreprises ou collectivités territoriales. Ce diplôme est homologué bac + 2 et conduit en partenariat avec le Centre national de la fonction publique territoriale et l'Institut national de l'audiovisuel (INA). la licence professionnelle ressources documentaires et bases de données. Deux spécialités sont proposées : spécialité documentation audiovisuelle, en partenariat avec l'INA. spécialité documentation d'entreprise, en partenariat avec la Chambre de commerce et d'industrie de Rouen. Cette spécialité est assurée par l'Institut régional des techniques documentaires, créé par la Chambre de commerce en 1984. le diplôme professionnel de « chef de projet en ingénierie documentaire », niveau bac +5.L'INTD est la plus ancienne et la plus importante formation dans son domaine en France (420 élèves ou stagiaires par an). Il existe donc un important réseau de professionnels de la documentation, présents dans tous les secteurs de l'économie. L’Association des diplômés de l'Institut national des techniques de la documentation (AINTD) a pour objectif d'entretenir et de faire vivre ce réseau. La directrice de l'INTD est Ghislaine Chartron.

Prieuré Saint-Martin-des-Champs
Prieuré Saint-Martin-des-Champs

Le prieuré ou abbaye Saint-Martin-des-Champs est une ancienne abbaye catholique devenue prieuré, situé dans le 3e arrondissement de Paris, aux nos 270–292 rue Saint-Martin. Collégiale fondée en 1059 pour remplacer une basilique de la fin du VIe siècle détruite par les Normands, l'établissement est confié en 1079 aux Clunisiens et devient rapidement la principale dépendance de la puissante maison mère bourguignonne. L'abbaye comportait un enclos privilégié avec foire annuelle. Grâce à la protection des rois et aux nombreux dons que le prieuré reçoit, celui ci peut fonder une trentaine de filiales réparties sur dix diocèses, et ses possessions s'étendent jusqu'en Angleterre. Le chœur de l'église priorale est édifié entre 1135 et 1155 environ. D'un style encore essentiellement roman, son déambulatoire, ses arcades en tiers-point, ses voûtes d'ogives et ses murs boutants annoncent déjà l'architecture gothique. Le plan est trop complexe pour qu'il connaisse une descendance directe, mais le chevet de Saint-Martin-des-Champs constitue néanmoins un prototype du déambulatoire à chapelles rayonnantes. Un nouveau réfectoire est construit entre 1225 et 1235, généralement considéré comme un chef-d'œuvre de l'art gothique rayonnant, et préservé jusqu'à ce jour. La nef actuelle n'est pas antérieure au milieu du XIIIe siècle, et comparée aux parties orientales et au réfectoire, son intérêt architectural est limité. Le prieuré connaît encore d'importantes transformations au XVIIIe siècle, quand la plupart des bâtiments médiévaux sont remplacés. La Révolution française met un terme à l'existence du prieuré en 1790. Ses bâtiments sont néanmoins préservés grâce à l'installation du Conservatoire national des arts et métiers (le CNAM) en 1798. L'église est en grande partie restaurée, voire reconstruite, sous l'architecte Léon Vaudoyer, à partir de 1845. Vaudoyer crée aussi des bâtiments supplémentaires, qu'il convient de ne pas confondre avec ceux de l'ancien prieuré. Les plus importants, dont l'église, sont classés monument historique par liste de 1862. La partie sud-est du déambulatoire et le clocher sont restaurés par Henri Deneux entre 1913 et 1916, et l'église accueille depuis lors une partie des collections du musée. Une nouvelle campagne de restauration est entreprise à partir de 1993, et à cette occasion, les bâtiments du prieuré non encore protégés sont à leur tour classés aux monuments historiques par arrêté du 15 mars 1993.