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Calvaire du cimetière de Locqueltas

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Croix de cimetière monument historique en FranceLocqueltasMonument historique inscrit en 1927Page avec des cartes
Locqueltas calvaire (4)
Locqueltas calvaire (4)

Le calvaire du cimetière de Locqueltas est située à l'entrée du cimetière de Locqueltas dans le Morbihan.

Extrait de l'article de Wikipedia Calvaire du cimetière de Locqueltas (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Calvaire du cimetière de Locqueltas
Chemin du Calvaire, Vannes

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Coordonnées géographiques (GPS)

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N 47.7572 ° E -2.76722 °
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Adresse

Chemin du Calvaire

Chemin du Calvaire
56390 Vannes
Bretagne, France
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Locqueltas calvaire (4)
Locqueltas calvaire (4)
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Bataille du pont du Loc'h
Bataille du pont du Loc'h

La bataille du pont du Loc'h, aussi appelée bataille de Grand-Champ, se déroule le 25 janvier 1800 pendant la Chouannerie. Elle oppose les troupes républicaines du général Olivier Harty aux chouans de Georges Cadoudal. Les combats ont lieu dans le cadre d'une expédition lancée depuis Vannes par le général Harty avec une partie des 22e et 52e demi-brigades de l'Armée de l'Ouest. Celui-ci se rend maître le 22 janvier des bourgs de Grand-Champ, Locmaria et Locqueltas, où il réquisitionne toutes les têtes de bétail et les réserves de grains et de blé disponibles. Trois jours plus tard, les républicains sont attaqués par quatre légions de l'Armée catholique et royale du Morbihan, commandée par Cadoudal. Largement supérieurs en nombre, les chouans coupent la retraite de l'armée de Harty en l’encerclant au cours de la nuit. Les combats débutent avant le lever du jour, mais en raison de l'obscurité, du brouillard et de la désobéissance d'une partie des troupes, les chouans ne parviennent pas à coordonner efficacement leurs attaques. Malgré sa situation critique, l'armée républicaine évite sa destruction en réalisant une percée à travers les lignes royalistes et se réfugie dans la ville de Vannes à la tombée de la nuit. La bataille s'achève sans véritable vainqueur et sans issue décisive. Informé quelques jours après de l'arrivée de renforts républicains et de la soumission de plusieurs autres armées royalistes de l'Ouest, Cadoudal engage des pourparlers le 28 janvier auprès du général Guillaume Brune et signe sa reddition le 14 février, lors du traité de Beauregard.