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Fort de Côte-Lorette

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Ceinture de LyonFort en FranceFortification Séré de RivièresMonument à Saint-Genis-LavalPage avec des cartes
Fort de Côte Lorette
Fort de Côte Lorette

Le fort de Côte-Lorette est un ancien ouvrage militaire construit de 1874 à 1894 sur la commune de Saint-Genis-Laval, au sud-ouest de Lyon. Il fait partie de la deuxième ceinture de Lyon et plus globalement du système Séré de Rivières. Ce fort, culminant à 290 mètres d'altitude, couvrait les communes de Chaponost et Brignais. Il servait aussi à contrôler les routes vers Saint-Étienne et Givors, ainsi que d'appui pour le fort du Bruissin et le fort de Feyzin. 120 détenus de la prison Montluc y sont massacrés le 20 août 1944.

Extrait de l'article de Wikipedia Fort de Côte-Lorette (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Fort de Côte-Lorette
Rue de la Croix Rouge, Lyon

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.6984 ° E 4.7839 °
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Adresse

Fort de Côte-Lorette

Rue de la Croix Rouge
69230 Lyon
Auvergne-Rhône-Alpes, France
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Fort de Côte Lorette
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Observatoire de Lyon
Observatoire de Lyon

L'Observatoire de Lyon est un observatoire astronomique professionnel dont le site historique est situé à Saint-Genis-Laval, près de Lyon. Créé par décret en 1878 par le président Mac Mahon et fondé par l'astronome Charles André, c'est aujourd'hui un observatoire des sciences de l'univers ainsi qu'une école interne de l'université Claude-Bernard-Lyon-I qui réunit le Centre de recherche astrophysique de Lyon (CRAL) et le Laboratoire de géologie de Lyon : Terre, planètes, environnement (LGL-TPE). Les locaux de l'Observatoire se trouvent sur son site historique de Saint-Genis-Laval ainsi que sur les campus universitaires de La Doua et de Gerland. Dans ses premières années, en plus de sa mission d'observation céleste, l'observatoire assurait un service horaire pour la ville de Lyon ainsi que des mesures météorologiques. Tout au long du XXe siècle, les astronomes qui y travaillent étudient des champs de recherche variés comme les étoiles variables, les comètes et la haute atmosphère. Parmi les chercheurs qui se sont succédé à l'observatoire de Lyon, on retrouve notamment Jean Dufay, François Gonnessiat, Émile Marchand, Michel Luizet, Marie Bloch, Agop Terzan, Roland Bacon et Hélène Courtois. Son code UAI est 513. Depuis les années 1980, plus aucune observation directe du ciel n'est réalisée depuis le site historique à des fins de recherche, notamment à cause de la pollution lumineuse de la métropole de Lyon. Les activités du CRAL se concentrent maintenant principalement sur la recherche fondamentale et l'instrumentation : il a notamment piloté la création de MUSE, un spectrographe 3D grand champ qui équipe le Très Grand Télescope depuis 2014. Le LGL-TPE, lui, participe notamment à plusieurs missions d'exploration martienne comme le programme ExoMars de l'Agence spatiale européenne. Depuis le 21 avril 2008, la lunette équatoriale coudée de l'observatoire, la dernière au monde encore dans son état d'origine, fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques. Le reste du site de Saint-Genis-Laval et ses instruments faisait déjà l'objet d'une inscription depuis le 9 mai 2007.

Centre de recherche astrophysique de Lyon
Centre de recherche astrophysique de Lyon

Le Centre de recherche astrophysique de Lyon (CRAL en abrégé, anciennement le Centre de recherche astronomique de Lyon avant le 1er janvier 2007), est une unité mixte de recherche (UMR 5574) créée en 1995 à la suite du regroupement des activités d'astrophysique au sein des établissements lyonnais de l'Observatoire de Lyon et de l'École normale supérieure de Lyon scientifique. Le CRAL est un laboratoire de recherche fondamentale en astrophysique et de développement d'instruments destinés aux grands observatoires. Ses locaux sont répartis sur deux sites géographiques de la métropole de Lyon : le site historique de l'observatoire de Lyon à Saint-Genis-Laval et le campus Monod de l'ENS Lyon. Le CRAL a pour tutelles le Centre national de la recherche scientifique, l'université Claude-Bernard-Lyon-I et l'École normale supérieure de Lyon. D'après l'évaluation du Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, le CRAL est un laboratoire « excellent », « compétitif » et « à grande visibilité internationale ». Le CRAL a notamment piloté le consortium européen de l'instrument Multi Unit Spectroscopic Explorer (MUSE), un spectrographe intégral de champ destiné au Very Large Telescope de l'Observatoire européen austral. Cet instrument a été intégré sur le site de l'Observatoire de Lyon. En 2018, le CRAL comprend environ 30 chercheurs, 20 ingénieurs, techniciens et administratifs, 30 doctorants et post-doctorants. Le CRAL s'inscrit dans une recherche collaborative via des projets de recherche scientifiques et soutenus par des organismes nationaux ou étrangers. Dans ce contexte le CRAL héberge plusieurs partenariats comme des projets de ERC, ANR, et le Labex LIO.