place

Plage de Grenoble

Article géolocalisé en FrancePage avec des cartesPlage en FranceSecteur 4 de GrenobleÉquipement sportif achevé en 2003
Équipement sportif à Grenoble
Plage de Grenoble
Plage de Grenoble

La plage de Grenoble est la première plage urbaine permanente construite en France. Située au 2 rue Gustave-Flaubert à Grenoble, elle a été créée en 2003 par l'association AD2S (Association pour le Développement des Sports de Sable) avec l'aide de la ville de Grenoble. La plage est devenue un équipement de loisirs et sportif municipal qui reçoit chaque saison environ 9 000 visiteurs. C'est un complexe de sable de 2 000 m2 implanté près du quartier Vigny Musset, à proximité immédiate des quartiers sud et de la Bifurk, qui est entièrement destiné à la pratique des sports de sable (ou sports de plage). De véritables tournois s'y déroulent durant l'été en beach-volley, beach soccer, beach ultimate (communément appelé "frisbee") et badminton. D'autres sports de plage y sont également pratiqués comme le sandball, frisbeach (ou beach ultimate), pétéca, tambourin, sepak takraw, tchoukball, de même que les traditionnels châteaux de sable. En raison du climat de la région, la plage est ouverte d'avril à début novembre.

Extrait de l'article de Wikipedia Plage de Grenoble (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Plage de Grenoble
Rue Prosper Mérimée, Grenoble Secteur 4

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Plage de GrenobleContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.173536 ° E 5.727895 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

La plage de Grenoble

Rue Prosper Mérimée
38100 Grenoble, Secteur 4
Auvergne-Rhône-Alpes, France
mapOuvrir sur Google Maps

Plage de Grenoble
Plage de Grenoble
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Jeux olympiques d'hiver de 1968
Jeux olympiques d'hiver de 1968

Les Jeux olympiques d'hiver de 1968, officiellement connus comme les Xes Jeux olympiques d'hiver, se déroulent du 6 au 18 février 1968. La ville candidate, Grenoble, obtient les Jeux dès sa première tentative. Elle est la deuxième ville française à accueillir les Jeux olympiques d'hiver après Chamonix en 1924. L’ensemble des sites de compétition se situent dans le département de l'Isère, à Grenoble pour les épreuves de patinage artistique, de hockey sur glace et de patinage de vitesse, ainsi que dans les stations de sports d'hiver qui entourent la ville pour les autres épreuves. Les Jeux rassemblent 1 158 athlètes de 37 pays, ce qui constitue un record à l'époque pour les Jeux d'hiver. Ils se mesurent dans dix disciplines qui regroupent un total de 35 épreuves officielles, soit une de plus qu'en 1964. Pour la première fois, l'Allemagne de l'Est et l'Allemagne de l'Ouest sont présentes séparément, tandis que le Maroc effectue sa première participation. La Norvège finit en tête du classement des nations en remportant quatorze médailles dont six en or. L'équipe de France obtient son meilleur total jusqu'alors dans l'histoire des Jeux d'hiver avec neuf médailles, un résultat couronné par la performance individuelle de Jean-Claude Killy, qui remporte trois médailles d'or dans les trois disciplines de ski alpin. Ces Jeux innovent dans plusieurs domaines comme l'utilisation de tests antidopage, de tests de féminité, d'une identité visuelle globale, du chronométrage électronique ou de la retransmission télévisée en couleurs via satellite. Si les dépenses liées à l'événement affectent durablement les finances de la ville de Grenoble, les Jeux la font rentrer dans la modernité et lui confèrent l'image d'une ville dynamique. La ville se dote d'équipements généraux et de nouvelles infrastructures sportives ou routières dont la réalisation est accélérée par le biais de cette organisation. Si certaines installations sont abandonnées après les Jeux, comme la piste de bobsleigh de l'Alpe d'Huez ou le tremplin de saut de Saint-Nizier-du-Moucherotte, d'autres sont conservées au bénéfice de la population grenobloise, comme les logements du village olympique ou le stade de glace, converti en Palais des sports et utilisé aussi bien dans le cadre de manifestations sportives que culturelles. L'État, qui finance les Jeux à hauteur de 80 %, y voit un moyen d'accroître le prestige de la France, tout en mettant en œuvre des projets de modernisation des stations de sports d'hiver et de promotion du tourisme.