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Bataille de la Bidassoa

1813 en EspagneArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant une InfoboxBataille de 1813Bataille de la guerre d'indépendance espagnole
Bataille des guerres de la Révolution et de l'Empire impliquant le PortugalBataille des guerres de la Révolution et de l'Empire impliquant le Royaume-UniBataille survenue en Pays basqueOctobre 1813Page avec des cartes
Battle of the Bidassoa October 9th 1813 Fonds Ancely B315556101 A HEATH 032
Battle of the Bidassoa October 9th 1813 Fonds Ancely B315556101 A HEATH 032

La bataille de la Bidassoa (ou bataille de La Rhune) est livrée le 7 octobre 1813 entre les armées alliées sous le commandement de Arthur Wellesley et l'armée napoléonienne sous le commandement de Jean-de-Dieu Soult dans le cadre de la guerre péninsulaire. Les Alliés percent les lignes françaises derrière la Bidassoa, près de La Rhune (Pyrénées).

Extrait de l'article de Wikipedia Bataille de la Bidassoa (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Bataille de la Bidassoa
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Baionetako gotorlekua

Zigorriagako bidea
31789
Navarre, Espagne
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Battle of the Bidassoa October 9th 1813 Fonds Ancely B315556101 A HEATH 032
Battle of the Bidassoa October 9th 1813 Fonds Ancely B315556101 A HEATH 032
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Fortifications de la Rhune à l'époque contemporaine
Fortifications de la Rhune à l'époque contemporaine

Les fortifications de la Rhune à l’époque contemporaine sont des ouvrages militaires, situés sur la montagne de la Rhune, à proximité immédiate et à l'ouest de la frontière entre l'Espagne et la France. Ils ont été construits pour certains d’entre eux lors de la campagne de 1793 - 1794 et réutilisés par la suite pour contenir l'avancée des troupes de la coalition anglo-hispano-portugaise du futur duc de Wellington. Plus de vingt redoutes se répartissent sur le territoire des communes d'Ascain, de Sare et d'Urrugne et partiellement sur ceux de Saint-Pée-sur-Nivelle et de Biriatou. Les combats de la fin du XVIIIe siècle se sont déroulés principalement sur la commune d’Urrugne. Les forces révolutionnaires sont alors déployées dans les redoutes Louis XIV, de Bertuste, de la Bayonnette et des Émigrés situées sur la frontière et surveillant la Bidassoa ainsi que la route qui vient de Vera de Bidassoa. Le dispositif parvient à contenir l’avancée des assaillants espagnols. Théophile de La Tour d'Auvergne, « premier grenadier de la République », s’illustre particulièrement durant ces affrontements. Toute autre est la situation du début du XIXe siècle. Wellington s’avance en conquérant et essaie avec succès de faire sauter le verrou de Sare, en partant à l’assaut des pentes de la Rhune, avant de se diriger vers Bayonne. Sous les ordres du maréchal Soult, l’armée française résiste vaillamment en défendant les redoutes de Zuhalmendi, de Grenada ou de la chapelle de la Madeleine. La faiblesse du dispositif, mal adapté à des actions de contre-attaque, alliée à l’inexpérience des défenseurs des redoutes d’Ermitebaïta et de Mendibidea, permet aux troupes de la coalition anglo-hispano-portugaise de pénétrer le dispositif de défense et, finalement, de repousser les forces françaises vers Saint-Pée-sur-Nivelle. Les redoutes, perchées sur les hauteurs, sont construites selon deux plans principaux, adaptés à la topographie. On trouve ainsi des redoutes en étoile, comme celle de Santa-Barbara, celle dite « de la borne frontière 29 » (BF 29), ou encore celle de la Bayonnette. D’autres forment des quadrilatères assez réguliers, telle la redoute de la chapelle de la Madeleine, ou des pentagones, comme la redoute des Émigrés ou celle de la chapelle d’Olhain. Un troisième type regroupe des formes moins usitées, comme l’ovoïde redoute Louis XIV de Sare, qui est probablement une réutilisation d’un ouvrage protohistorique. Treize de ces fortifications font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques.