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Château du Belvédère (New York)

Architecture néogothique aux États-UnisArticle géolocalisé aux États-UnisArticle utilisant une InfoboxBâtiment à New YorkCentral Park
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Le château du Belvédère (en anglais Belvedere Castle) est un bâtiment de Central Park, sur l'île de Manhattan à New York (États-Unis). Il est construit sur Vista Rock, le deuxième point le plus élevé du parc. Son architecture de style néogothique reproduit celle d'un château écossais. Ses plans furent dessinés au XIXe siècle par Calvert Vaux et le sculpteur Jacob Wrey Mould. Sa construction, en schiste de Manhattan, débuta en 1869. Au moment de sa construction, le château donnait sur un réservoir d'eau qui a depuis été comblé. Aujourd'hui[Depuis quand ?], il abrite les locaux de l'observatoire météorologique de New York (New York Meteorological Observatory), dirigé par la National Oceanic and Atmospheric Administration depuis 1912.

Extrait de l'article de Wikipedia Château du Belvédère (New York) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Château du Belvédère (New York)
New York Manhattan

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New York, Manhattan
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Central Park
Central Park

Central Park est un espace vert américain d'une superficie de 341 hectares (3,41 km2, environ 4 km sur 800 mètres), situé dans l'arrondissement de Manhattan à New York (État de New York). Il est géré par la Central Park Conservancy (comité de sauvegarde de Central Park) qui dispose d'un budget annuel de 200 millions de dollars, et est entretenu au même titre que les autres espaces verts de la ville par le New York City Department of Parks and Recreation. Achevé en 1873 après treize années de construction, selon les plans de Frederick Law Olmsted et Calvert Vaux, Central Park représente une oasis de verdure au milieu de la forêt de gratte-ciel de Manhattan, même s'il est situé au nord de l'île où les édifices étaient un peu moins élevés jusqu'aux années 2020. Il est délimité par la 110e rue au nord, la 8e avenue à l'ouest, la 59e rue au sud et la 5e avenue à l'est. Ces rues sont respectivement baptisées Central Park North, Central Park West et Central Park South, et le parc est encadré par deux quartiers résidentiels : l'Upper East Side (à l'est) et l'Upper West Side (à l'ouest). Avec 37,5 millions de visiteurs par an, Central Park est le parc le plus visité aux États-Unis. Son aspect naturel est le résultat d'un important travail paysager : le parc contient plusieurs lacs artificiels (dont le plus important, le Jacqueline Kennedy Onassis Reservoir s'étend sur 0,43 km2), des chemins piétonniers, deux pistes de patinage sur glace, une zone de protection de la vie sauvage et des pelouses pour pratiquer sports et jeux de plein air. Le parc est en outre un « sanctuaire » pour les oiseaux migrateurs, où de nombreux observateurs ou de visiteurs viennent les découvrir. Une route de 9,7 km de long, relativement peu fréquentée par les automobilistes, entoure le parc. Elle peut être empruntée par les piétons, les coureurs de fond, les cyclistes ou encore les adeptes du roller, lorsque la circulation automobile y est interdite.

Le Cours de l'Empire
Le Cours de l'Empire

Le Cours de l’Empire (en anglais : The Course of Empire), également appelé Le Destin des Empires,, est une série de cinq tableaux, peints, de 1833 à 1836, par Thomas Cole, fondateur de la Hudson River School. Elle est remarquable en partie parce qu'elle reflète les sentiments populaires américains de l'époque, où beaucoup voyaient le pastoralisme comme la phase idéale de la civilisation humaine, craignant que l'empire ne conduise à la gloutonnerie et à la décadence inévitable, « destin commun des nations ». Le thème des cycles est un thème sur lequel Cole est revenu fréquemment, comme dans sa série Le Voyage de la vie. Le Cours de l’Empire comprend les œuvres suivantes : Le Cours de l'Empire - L'État sauvage ; L'État arcadien ou pastoral ; La consommation de l'Empire ; La Destruction et La Désolation. Elles sont toutes des peintures à l'huile sur toile et mesurent 100 × 161 cm, sauf L'Apogée (La consommation de l'Empire) qui mesure 130 × 193 cm. Thomas Cole s'est inspiré, pour cette œuvre, principalement d'un voyage de trois ans à travers l'Europe, au cours duquel il a vu d' innombrables peintures d'autres romantiques dans les musées, ainsi que des échanges artistiques cultivés et visité des ruines romaines en Italie. En particulier, cette preuve des cultures passées l'a fasciné et a influencé ses travaux ultérieurs, notamment Le Cours de l’Empire, dans le sens où il voulait montrer que tout empire, aussi puissant soit-il, s'effondrera un jour. Dans le même temps, le cycle illustre la peur de Cole de l’obsession croissante des États-Unis pour le progrès au détriment de la nature et reflète les idées religieuses, artistiques, scientifiques et sociopolitiques prédominantes dans la culture américaine des années 1830. Le titre de la série de tableaux est inspiré du poème du XVIIIe siècle Verses on the Prospect of Planting Arts and Learning in America , que George Berkeley a écrit en 1726. Il y fait allusion à cinq étapes de la civilisation. La dernière strophe commence par la ligne « Vers l'ouest, le cours de l'empire prend son chemin » et prophétise que l'empire à venir naîtra en Amérique.