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Musée d'Art national de Chine

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Musée d'art en ChineMusée fondé en 1963Musée à PékinPage avec des cartesPage avec des données de géolocalisation non prises en charge
BeijingNationalArtMuseumofChina4
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Le musée d'Art national de Chine (chinois simplifié : 中国美术馆 ; chinois traditionnel : 中國美術館 ; pinyin : Zhōngguó měishùguǎn ; litt. « musée des Beaux-Arts de Chine », aussi NAMOC) est un musée d'art situé rue Wusi, à Pékin, en Chine. C'est un des plus grands musées du pays.

Extrait de l'article de Wikipedia Musée d'Art national de Chine (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Musée d'Art national de Chine
五四大街, Dongcheng 景山街道 (首都功能核心区)

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N 39.92361 ° E 116.4028 °
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Adresse

中国美术馆

五四大街 1
100010 Dongcheng, 景山街道 (首都功能核心区)
Pékin, Chine
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Palais de la Pureté céleste
Palais de la Pureté céleste

Le palais de la pureté céleste, ou palais de Qianqing (chinois : 乾清宫 ; pinyin : qiánqīng gōng ; Mandchou : ᡴᡳᠶᠠᠨᠴᡳᠩᡤᡠᠩ ; Möllendorff:kiyan cing gung) est un palais de la cité interdite à Pékin, en Chine. C'est le plus grand des trois pavillons de la cour intérieure, qui est située à l'extrémité nord de la Cité interdite. Les deux autres sont le pavillon de l'Union et le palais de la tranquillité terrestre. Durant la dynastie Qing, le palais sert souvent de salle d'audience de l'empereur, où il siège en présidant le Grand Conseil. Le palais de la pureté céleste est un bâtiment à deux niveaux situé sur une plate-forme en marbre blanc qui ne comporte qu'un seul niveau. Il est relié à la Porte de la Pureté Céleste (en), située au sud, par une passerelle surélevée. Sous la dynastie Ming, ce palais était la résidence de l'empereur. Il a été divisé en neuf chambres, réparties sur deux niveaux, et comportant 27 lits. Pour des raisons de sécurité, l’empereur en choisissait une au hasard chaque nuits. Cette façon de faire a perduré au début de la dynastie Qing; mais lorsque l'empereur Yongzheng est monté sur le trône, il ne souhaitait pas habiter le palais occupé par son père pendant 60 ans. Il a préféré s'installer dans le Pavillon de la Culture de l'Esprit (en), plus petit et situé plus à l'ouest. Les empereurs qui lui ont succédé ont fait de même. Le palais de la pureté céleste devient alors la salle d'audience de l'empereur, où il tient sa cour, reçoit des ministres et des émissaires et organise des banquets. Au centre du palais, au sommet d'une plateforme élaborée, se trouvent un trône et un pupitre sur lequel l'empereur écrivait des notes et signait des documents lors de conseils et réunions qu'il tiens avec ses ministres. On trouve dans le plafond de cette pièce un caisson comportant un dragon enroulé. Au-dessus du trône se trouve une tablette sur laquelle est rédigée en script de droite à gauche, le texte zhèng dà guāng míng ( 正大光明 ), écrit par l’ empereur Shunzhi. Cette tablette a été traduite de plusieurs façons, mais la transcription la plus littérale est "laissez le juste briller". Il est souvent utilisé comme un idiome chinois, signifiant "être décent, honnête et magnanime", ou "ne pas avoir de secret ou faire un acte impudique". À partir du règne de l'empereur Yongzheng, qui avait lui-même accédé au trône au milieu d'un conflit de succession, les empereurs de la dynastie Qing ont désigné leurs héritiers en secret, par testament. Un exemplaire dudit testament était caché derrière cette tablette et un autre toujours porté par l'empereur lui-même.

Pavillon de l’Harmonie suprême
Pavillon de l’Harmonie suprême

Le pavillon de l'Harmonie suprême (chinois : 太和殿 ; pinyin : Tài Hé Diàn; Mandchou : ᠠᠮᠪᠠᡥᡡᠸᠠᠯᡳᠶᠠᠮᠪᡠᡵᡝᡩᡳᠶᠠᠨ ; Möllendorff:amba hūwaliyambure diyan) est la plus grande salle de la cité interdite de Pékin, en Chine. Il est situé sur l'axe central de la Cité, derrière la Porte de l'Harmonie Suprême. Construit sur une base formée de trois niveaux de marbre et entouré de brûleurs d'encens en bronze, le pavillon de l'harmonie suprême est l'une des plus grandes structures en bois de Chine. C'est le lieu où les empereurs des dynasties Ming et Qing célébraient leurs cérémonies d'intronisation et de mariage. Le nom de la salle a changé plusieurs fois au cours des derniers siècles, passant de Fengtian Dian (奉天 殿) lors de sa construction à Huangji Dian (皇 极 殿) en 1562. Son nom actuel lui a été donné par l'empereur Shunzhi de la dynastie Qing en 1645. Avec le « pavillon de l’Harmonie parfaite » (Zhonghe) et le « pavillon de l’Harmonie préservée » (Baohe), il constitue le cœur de la cour extérieure de la Cité interdite. Le pavillon de l'Harmonie suprême s'élève à environ 30 mètres au-dessus du niveau de la place environnante et est divisé en plusieurs segments, délimité par des piliers. Il est large de onze segments - dont neuf pour la salle principale - et profond de cinq. La présence des nombres neuf et cinq dans les dimensions de la salle est symboliquement liés à la majesté de l'empereur. Les six piliers les plus proches du trône impérial sont recouverts d'or et toute la zone est décorée d'un motif de dragon. Le trône du dragon, en particulier, a cinq dragons enroulés autour du dos et des repose-mains. L’écran derrière celui-ci représente des groupes de neuf dragons, reflétant à nouveau le symbolisme des « neuf-cinq ». Le pavillon de l'harmonie suprême comprend un magnifique trône en bois de santal rouge, utilisé autrefois par les empereurs de la dynastie Qing. Dans la partie du plafond situé juste au-dessus du trône se trouve un caisson complexe orné d'un dragon enroulé, de la bouche duquel sort un ensemble de boules en métal rappelant un lustre. Cet ensemble est appelé le « miroir Xuanyuan », en référence à l'empereur jaune, un souverain mythologique chinois. Selon la légende, ces billes de métal tomberaient pour frapper mortellement quiconque voudrait usurper le trône. Sous la dynastie Ming, les empereurs ont siégé dans ce pavillon pour discuter des affaires de l'État. Par contre, sous la dynastie Qing, les empereurs quittaient la cour beaucoup plus souvent. En conséquence, l'emplacement des réunions de la Cour a été déplacé dans la cour intérieure et le pavillon de l'harmonie suprême n'a plus été utilisée qu'à des fins cérémonielles, telles que les intronisations, les investitures et les mariages impériaux. La salle d'origine a été construite en 1406 sous la dynastie Ming, détruite à sept reprises par des incendies au cours de la dynastie Qing et reconstruite pour la dernière fois entre 1695 et 1697. Après la reconstruction du XVIe siècle, les dimensions de la salle ont été réduites pour passer d’environ 95 m sur 48 m à ses dimensions actuelles, 64 m sur 37 m. Parmi les raisons invoquée pour expliquer ce changement, on avance l’impossibilité de trouver assez de troncs d'arbres suffisamment grand, chaque pilier de la salle n'étant qu'un tronc unique aux dimensions conséquentes.