place

Chapelle de Careil

Article géolocalisé en FranceArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxCareilChapelle en Loire-Atlantique
Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePage pointant vers des bases relatives à la religionÉglise à Guérande
Chapelle de Careil
Chapelle de Careil

La chapelle de Careil est un lieu de culte catholique situé à Careil, un village de la commune de Guérande, dans le département français de la Loire-Atlantique.

Extrait de l'article de Wikipedia Chapelle de Careil (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Chapelle de Careil
Rue de la Chapelle, Saint-Nazaire

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Chapelle de CareilContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.2967 ° E -2.4031 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue de la Chapelle
44350 Saint-Nazaire, Beslon
Pays de la Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

Chapelle de Careil
Chapelle de Careil
Partager l'expérience

Lieux à proximité

La Baule-Escoublac
La Baule-Escoublac

La Baule-Escoublac (prononcé /la.bol.ɛs.ku.blak/) est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Station balnéaire située sur le littoral atlantique, elle fait partie de la Côte d'Amour, entre Le Pouliguen et Pornichet. Elle apparaît dans l'histoire dès le IXe siècle sous le nom d’Escoublac. À deux reprises, au XVe siècle puis à la fin du XVIIIe siècle, le village d’Escoublac est déplacé et reconstruit après un anéantissement presque total sous les sables de la dune. Au début du XIXe siècle, des investisseurs visionnaires comprennent le potentiel de la baie du Pouliguen et de sa plage longue de plus de huit kilomètres, entre Pornichet et Le Pouliguen. Ils décident de fixer les bôles — ces étendues dunaires alors presque désertes —, de les lotir et de créer une station balnéaire. La Baule est née, et la commune va se développer en permettant à des architectes, tels Adrien Grave, Georges Lafont ou Paul-Henri Datessen, de créer un patrimoine architectural constitué de villas et d'hôtels dans une mosaïque de styles d'inspiration néogothique ou médiévale, régionaliste ou résolument futuriste. Certaines rues et quelques quartiers de la localité ont retenu les noms de ces investisseurs, à l'instar d'André Pavie, d'Édouard Darlu, de René Dubois, de Jules Hennecart ou encore de Louis Lajarrige. La commune, qui s'est d’abord appelée Escoublac puis Escoublac-la-Baule, acquiert son nom définitif de La Baule-Escoublac le 16 mai 1962, à une époque où la préférence est donnée sur le front de mer à l'habitat collectif, les immeubles remplaçant petit à petit les villas. « La Baule » est au XXIe siècle le nom d'usage de la station balnéaire. La localité vit au XXIe siècle essentiellement du tourisme, le secteur tertiaire représentant l'essentiel de l'activité économique. Elle jouit d'une infrastructure hôtelière de renom — avec la présence économique du groupe Barrière —, d'un environnement naturel riche et protégé, et d'un patrimoine urbain de qualité qui attire nombre d'artistes et de sportifs depuis le début du XXe siècle, comme Guillaume Apollinaire, Sacha Guitry ou William Grover-Williams. Elle a développé un ensemble de manifestations de dimension internationale comme le Grand Prix automobile de La Baule, le Jumping international de France ou encore la course La Baule-Dakar, lancée en 1980 par le cercle nautique La Baule-Le Pouliguen-Pornichet.