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Fort de Dave

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Page avec des cartesPosition fortifiée à Namur
Entrée principale du Fort de Dave
Entrée principale du Fort de Dave

Le Fort de Dave est un des neuf forts composant la position fortifiée de Namur établie à la fin du XIXe siècle en Belgique. Ce fort fut construit de 1888 à 1892 selon les plans du général Brialmont. Contrairement aux forts français construits à la même époque par Séré de Rivières, ce fort était en béton non-armé, nouveau matériau pour l'époque, au lieu de maçonnerie. Lors du siège de Namur, en août 1914, le fort est lourdement bombardé par l'artillerie allemande. Le fort de Dave fut remis à niveau en 1930 dans l'espoir de prévenir ou ralentir une, alors hypothétique, attaque allemande. En 1940, il est attaqué le 15 mai et est capturé 9 jours plus tard. Actuellement, le fort est à l'abandon.

Extrait de l'article de Wikipedia Fort de Dave (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Fort de Dave
Rue du Fort de Dave, Namur

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.421389 ° E 4.890278 °
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Adresse

Fort de Dave

Rue du Fort de Dave
5100 Namur
Namur, Belgique
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Entrée principale du Fort de Dave
Entrée principale du Fort de Dave
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Lieux à proximité

Château de Fooz

Le château de Fooz est situé en Wallonie à Wépion en province de Namur (Belgique). Les terres du château appartenaient à l'hôpital Saint-Jacques de Namur, elles furent vendues à Albert de Tamison pour une rente de 23 florins en 1623 et celui-ci y construit un château de plaisance accompagné de deux pavillons. Cet ensemble est représenté par Remacle Le Loup dans Les Délices du Pays de Liège en 1738. Le domaine fut ensuite vendu en 21 février 1736 à Thomas Maloteau président du Conseil provincial . L’année suivante il remboursa à l’hôpital le capital de 366 florins. Ses terres et au-delà furent érigés en seigneurie hautaine par un acte de 1753 et confirmé par patentes de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche en 1755 pour 1550 florins. La seigneurie fut à nouveau vendu en 1793 à Lambert-Alexis de Montpellier, il transforma le jardin à la française en jardin à l'anglaise, il y plaça notamment un des premiers Magnolia tripetala du pays, ses héritiers vendirent le domaine au médecin Maximilien-Josephe Janmart. La vente a eu lieu le 4 octobre 1835. Le domaine était constitué du château, des bâtiments de ferme, remises, écuries, étables, granges, jardins, bois, prairies et terres labourables sur 77 bonniers 33 perches et 27 aunes . Depuis lors il est resté dans sa descendance. Le château a subi d'importantes modifications aux XVIIIe, XIXe et XXe siècles. Par exemple, en 1910 Paul Saintenoy reçut comme commande la réalisation d'une extension côté Meuse, qu'il réalisa dans l'esprit de Viollet-le-Duc.

Abbaye de Géronsart
Abbaye de Géronsart

L'abbaye de Géronsart était un monastère de chanoines réguliers augustins. Fondé en 1128 en tant que prieuré sur les hauteurs de Jambes, en Belgique, non loin de Namur, l'établissement s'est affiliée d'abord, en 1221, aux Écoliers du Christ. Au cours des XIIIe et XIVe siècles, la gestion du prieuré fut variable. Les XVe et XVIe siècles correspondent à une période où le relâchement de la discipline religieuse, la mauvaise gestion et les guerres eurent des conséquences désastreuses pour Géronsart. Le redressement s'est dessiné au XVIIe siècle, quand le cloître fut transformé et l'église renouvelée. Le pape Paul V élèva alors le prieuré au rang d'abbaye. L'affiliation de Géronsart à la congrégation de Sainte-Geneviève (ordre augustin), puis la réforme génovéfaine, dans l'esprit du concile de Trente, permit un renouveau monastique. Cependant, l'abbaye souffrit des guerres entre la France et l'Espagne, Géronsart étant choisi comme quartier-général militaire. Un nouvel âge d'or survint au XVIIIe siècle. En effet, le bon ordre fut rétabli, des reconstructions entreprises, les rapports de visites annuelles soulignèrent le zèle pastoral des religieux de Géronsart desservant de nombreuses paroisses des environs. L'abbaye fut supprimé par le régime révolutionnaire français en 1795, ses bâtiments vendus alors comme biens nationaux. De nombreux propriétaires se succédèrent aux XIXe et XXe siècles.