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Beit Jamal

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Beit Jamal (Bet Gemal, ou Beit Jimal) (hébreu : בית ג'מאל; arabe : بيت جمال / الحكمه) est un village situé dans les collines de Judée (à une trentaine de kilomètres de Jérusalem), près de la limite sud de la ville de Bet Shemesh, où vit une communauté catholique de la congrégation des Salésiens souvent désignée par le même nom. Le site se trouve sur une colline à 370 mètres au-dessus du niveau de la mer et à 65 kilomètres à l'est de la côte méditerranéenne. Il est constitué de trois bâtiments principaux et de plusieurs bâtiments annexes : un couvent pour les femmes, l'église Saint-Étienne et le couvent pour les hommes.

Extrait de l'article de Wikipedia Beit Jamal (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Beit Jamal
הרב ישראל גרוסמן,

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 31.725 ° E 34.976389 °
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Adresse

بيت جمال

הרב ישראל גרוסמן
9901312 , Ramat Avraham
District de Jérusalem, Israël
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linkWikiData (Q2776942)
linkOpenStreetMap (336882522)

Beitgemal1
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Hartouv
Hartouv

Hartouv (הרטוב) est une municipalité israélienne installée dans la vallée située entre la côte méditerranéenne et les Monts de Judée, à 2 km au Nord de Beït-Shemesh. Hartouv s'élève à une hauteur de 190 m d'altitude. Les premières maisons du lieu abritent aujourd'hui diverses institutions. Les terres sont une première fois vendues par l'effendi de Ishwa (devenue plus tard le village de Eshtaoul) à Alexander, consul d'Espagne à Jérusalem, qui en 1883 les revendra à une mission religieuse anglaise. En 1884, cette dernière y loge plusieurs familles juives dans le besoin venues de Jérusalem. Les missionnaires chrétiens proposent alors aux Juifs installés sur le terrain de financer la création d'une implantation agricole, à la condition que ces derniers se convertissent. Face au refus de conversion, la mission cesse son soutien aux familles, qui quittent alors les lieux après y avoir séjourné pendant 8 années. L'histoire de Hartouv est liée au réveil des communautés juives de Bulgarie aux idées du sionisme, de la fin du XIXe siècle jusqu'au début du XXe siècle. En 1895, l'association juive bulgare "Shévet-Ahim" rachètent les terres de Hartouv, où 12 familles de Bulgarie s'installent. Les Bulgares étant considérés encore citoyens de l'empire ottoman, ce dernier permet aux familles d'inscrire le titre de propriété sur les terres à leur nom, non sans s'y opposer un premier temps du fait de la religion juive des acquéreurs. L'implantation alors développe de bonnes relations de voisinage avec la population arabe. C'est sur proposition de Eliezer Ben-Yehuda que le lieu est baptisé "Hartouv". Les difficultés liées à l'approvisionnement en eau et le manque d'expérience des pionniers dans le domaine agricole amènent à l'effondrement économique de l'implantation. En 1910, une partie des terres est acquise par Y.L. Goldberg, leader du mouvement des Amants de Sion à Vilnius, qui y construit une propriété. Il soutient en parallèle financièrement la population de Hartouv, jusqu'au début de la Première Guerre mondiale. Le village traverse alors une nouvelle crise économique et les terres sont vendues au KKL. Les Britanniques y aménagent plus tard le premier accès aménagé reliant Hartouv à Shaar-Hagaï. Lors des évènements de 1929, une partie de Hartouv est détruite par les Arabes du village voisin de Mahséya, et Hartouv évacué de ses habitants, qui durant une année séjournent à Tel-Aviv. En 1930, le village est reconstruit. Avec la Guerre israélo-arabe de 1948, les femmes et les enfants sont transférés à Tel-Aviv. C'est au départ de Hartouv que le Bataillon du Lamed-Hé (ל"ה) part en renfort de Gush Etzion, le 16 janvier 1948. Le 20 mars de la même année, les forces israéliennes installées à Hartouv repoussent l'assaut combiné de la Légion arabe et des Frères musulmans d'Égypte. Mais le 15 mai 1948, les membres de la Hagana se replient sur Kfar-Ouria, et abandonné, Hartouv est détruit. Lors de l'Opération Hahar, en octobre 1948, Tsahal se réinstalle sur les terres, mais il n'y aura plus qu'une maigre réinstallation humaine sur les lieux. Portail d’Israël

Azéqa
Azéqa

Azéqa ou Azéka (en hébreu עזקה) est une ville de l'Israël antique située dans la vallée d'Elah dans la Shéphélah. Le tel d'Azeqa se trouve aujourd'hui en Israël et fait partie du parc Britannia (he). Dans le cadre des fouilles archéologiques conduites par les archéologues anglais Frederick J. Bliss et R. A. Stewart Macalister dans les années 1898-1900, on y a découvert des restes de fortifications et de tours, et des sceaux LMLK. On y a également trouvé des grottes-refuges utilisées pendant la révolte de Bar Kokhba. Selon le livre de Jérémie (34:7), Azéqa est n'est pas encore détruite lorsque les Babyloniens assiègent Jérusalem. Elle est ensuite reconstruite à l'époque perse sous Néhémie. Azéqa est mentionnée dans l'ostracon numéro 4 des « lettres de Lakish ». Dans ce texte, un officier judéen de Maresha fait un compte-rendu à son supérieur des observations des signaux lumineux servant à la communication lors de l'invasion babylonienne du siège de Lakish (VIe siècle av. J.-C.) : « que [mon seigneur] sache que pour les feux de signalisations de Lakish, nous surveillons selon toutes les indications qu'a donné mon seigneur, car nous ne voyons pas Azeqa » — Lettres de Lakish, ostracon 4 Une interprétation de ce texte est que la garnison de Maresha veut informer le gouverneur de Lakish qu'elle a bien déchiffré les signaux codées grâce aux codes transmis, mais que les signaux en provenance d'Azéqa ont cessé, ce qui semble indiquer que la ville a déjà été détruite par l'armée babylonienne, contrairement à ce qu'affirme le prophète Jérémie. Une autre interprétation place cet ostracon dans le cadre des préparatifs militaires face à l'imminence de l'invasion babylonienne. Dans cette perspective, il s'agirait de faire une inspection de moyens de communications entre les forteresses judéennes.